Depuis que le DADvSI a été adopté:
Si un utilisateur ayant légalement acquis une oeuvre trouve un moyen de faire une copie privée -à laquelle il a droit- de cette oeuvre malgré son dispositif anti-copie, le projet de loi prévoit qu'il s'agit alors d'un acte de contrefaçon, qui peut donc coûter trois ans de prison et trois cent mille euros d'amende. Jouir du droit à la copie privée deviendrait donc un délit lourdement sanctionné.
C'est beau la France.