Bonjour
nimac
Avoir demandé un chiffrement de ta sauvegarde
Time Machine a dû instaurer un dispositif logique nommé
CoreStorage sur la partition du DDE, car c'est cette architecture logique qui supporte le procédé de chiffrement.
Il doit être possible de commander le déchiffrement de ce
CoreStorage > et même sa réversion logique (suppression de ce format sans porter atteinte aux données contenues dans le volume
Time Machine). Pour cela > il faut connaître les identifiants du
CoreStorage.
Afin de les obtenir > je te propose la démarche suivante : tu attaches à ton Mac le volume
Time Machine > si un panneau te demande un mot-de-passe pour opérer le montage du volume protégé par le chiffrement > tu le renseignes. Cela fait, tu vas à :
Applications >
Utilitaires > tu lances le «
Terminal». Dans la fenêtre ouverte tu saisis (l'une après l'autre) les 2 commandes :
Bloc de code:
diskutil list
diskutil cs list
et ↩︎ (tu presses la touche "
Entrée" du clavier après chaque commande pour l'exécuter -->
- en retour de la première > tu vas obtenir le tableau des disques attachés à ton Mac (en interne / externe) > avec leurs tables de partition > et leurs partitions décrites en format > nom > taille > device (appareil) ;
- en retour de la seconde > le tableau du (ou des) Groupes de Volumes Logiques présents : celui de ton DDE Time Machine > mais aussi éventuellement un du disque interne du Mac si l'installateur d'un OS récent («El Capitan» ou «Sierra») l'a généré à l'installation sur la partition d'accueil de l'OS.
=> tu n'as qu'à sélectionner au pointeur ces 2 tableaux >
⌘C pour copier la sélection dans le presse-papier >
⌘V pour la coller ici (évite les captures d'écran) --> on connaîtra par là les paramètres logiques du
CoreStorage Chiffré de ton DDE
Time Machine.
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NB. Je m'avise que
Jean vient de me devancer au postage. Alors que manifestement mon travail de rédaction d'un brouillon s'était engagé en avance par rapport à son intervention. C'est ça l'inconvénient de rédiger des billets plutôt que des télégrammes : on se fait toujours coiffer sur le poteau à l'écrit pour donner l'impression de produire un doublon.