Bonsoir à tous
Soit 2 documents Pages presque identiques, mais pas tout à fait.
mais ce n’est pas simplement un doc qui est plus complet que l’autre; il y a des lignes qui manquent dans l’un et dans l’autre.
Y a-il un moyen de n’en faire qu’un seul en tenant compte de leurs différences de manière à ce que ce ce nouveau document ne contienne pas de répétitions et pas de manques, bref qu’il y ait une sorte de mise à jour respective ?
Exemple
Dans le doc 1, j’ai :
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
Dans le second, j’ai :
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
Donc
-Il manque
la première strophe dans le second doc
-Il manque
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
dans le premier doc
Donc l’idée est que le nouveau doc soit :
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
Merci
Soit 2 documents Pages presque identiques, mais pas tout à fait.
mais ce n’est pas simplement un doc qui est plus complet que l’autre; il y a des lignes qui manquent dans l’un et dans l’autre.
Y a-il un moyen de n’en faire qu’un seul en tenant compte de leurs différences de manière à ce que ce ce nouveau document ne contienne pas de répétitions et pas de manques, bref qu’il y ait une sorte de mise à jour respective ?
Exemple
Dans le doc 1, j’ai :
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
Dans le second, j’ai :
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
Donc
-Il manque
la première strophe dans le second doc
-Il manque
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
dans le premier doc
Donc l’idée est que le nouveau doc soit :
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
(Poéme l’albatros de Charles Baudelaire)
Merci