[size=+1]L'échange gratuit de fichiers n'inquiète pas les artistes[/size]
[font=arial,helvetica] WASHINGTON (Reuters) - La plupart des musiciens et artistes affirment qu'internet les a aidés à augmenter leurs revenus en dépit des services gratuits d'échanges de fichiers, selon une étude publiée dimanche soir.[/font]
[font=arial,helvetica] Les grands labels et les studios de cinéma ont poursuivi en justice les réseaux "peer to peer" comme Kazaa et ont engagé des procès contre des milliers d'internautes qui ont utilisé ces réseaux pour échanger des oeuvres soumises au droit d'auteur.[/font]
[font=arial,helvetica] Mais la majorité des artistes interrogés par l'association à but non lucratif Pew Internet and American Life Project a assuré que l'échange gratuit de fichiers ne les inquiétait pas beaucoup.[/font]
[font=arial,helvetica] Si 47% des artistes assurent que de tels services grèvent leurs revenus, 43 % admettent également qu'ils participent à la promotion et à la distribution de leurs oeuvres.[/font]
[font=arial,helvetica] Deux tiers d'entre eux considèrent que l'échange de fichiers représente une petite menace quand moins d'un tiers y voient un véritable danger pour la création.[/font]
[font=arial,helvetica] Seulement 3% estiment qu'internet nuit à la possibilité de protéger leurs créations.[/font]
[font=arial,helvetica] "Voilà ce que nous avons entendu d'un grand nombre d'artistes: en dépit du véritable défi que représente la protection d'oeuvre sur internet, le web a fait naître de nouvelles manières d'exercer leur imagination et de vendre leurs créations", a commenté Mary Madden, auteur de ce rapport.[/font]
[font=arial,helvetica] L'association a interrogé 809 artistes en décembre 2003 pour cette étude dont la marge d'erreur est de quatre points de pourcentage.
source : http://fr.news.yahoo.com/041206/85/466h4.html
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[font=arial,helvetica] WASHINGTON (Reuters) - La plupart des musiciens et artistes affirment qu'internet les a aidés à augmenter leurs revenus en dépit des services gratuits d'échanges de fichiers, selon une étude publiée dimanche soir.[/font]
[font=arial,helvetica] Les grands labels et les studios de cinéma ont poursuivi en justice les réseaux "peer to peer" comme Kazaa et ont engagé des procès contre des milliers d'internautes qui ont utilisé ces réseaux pour échanger des oeuvres soumises au droit d'auteur.[/font]
[font=arial,helvetica] Mais la majorité des artistes interrogés par l'association à but non lucratif Pew Internet and American Life Project a assuré que l'échange gratuit de fichiers ne les inquiétait pas beaucoup.[/font]
[font=arial,helvetica] Si 47% des artistes assurent que de tels services grèvent leurs revenus, 43 % admettent également qu'ils participent à la promotion et à la distribution de leurs oeuvres.[/font]
[font=arial,helvetica] Deux tiers d'entre eux considèrent que l'échange de fichiers représente une petite menace quand moins d'un tiers y voient un véritable danger pour la création.[/font]
[font=arial,helvetica] Seulement 3% estiment qu'internet nuit à la possibilité de protéger leurs créations.[/font]
[font=arial,helvetica] "Voilà ce que nous avons entendu d'un grand nombre d'artistes: en dépit du véritable défi que représente la protection d'oeuvre sur internet, le web a fait naître de nouvelles manières d'exercer leur imagination et de vendre leurs créations", a commenté Mary Madden, auteur de ce rapport.[/font]
[font=arial,helvetica] L'association a interrogé 809 artistes en décembre 2003 pour cette étude dont la marge d'erreur est de quatre points de pourcentage.
source : http://fr.news.yahoo.com/041206/85/466h4.html
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