Depuis la fin des rois de droit divin, la souveraineté appartient aux peuples. Certains voudraient nous le faire oublier, à leur principal avantage.
La commission européenne ni la CEDH n’ont le pouvoir de s’imposer aux peuples de l’Union. Ce n’est que la complicité d’intellectuels dévoyés, de journalistes lâches, de politiciens étrangers à leur propre pays qui donne cette illusion.
On ne peut qu'être d'accord avec toi.
Tu t’avances un peu vite.
Quant à la constitution 'approuvée par les citoyens', humhum, et je ne parle pas que de la Pologne. 'approuvée par une majorité de représentants des citoyens, élus à un instant T' serait plus exact.
Qui ont été élus pour cela, parfois même précisément pour cela.
Je n’étais pas né en 1958, ni en 1962, pourtant je suis globalement d’accord avec la constitution de la cinquième république. Si ce n’était pas le cas, je militerai pour qu’on y apporte les changements que je juge opportuns. Il y a des partis qui défendent une écriture complète ou partielle de la constitution. Ce n’est pas parce que jusqu’à présent leur position n’a pas reccueilli suffisamment de suffrages qu’elle ne reste pas au cœur d’un débat vivant.
D’ailleurs, j’ai été consulté sur un changement majeur apporté la constitution : le quinquennat. J’ai voté NON. Néanmoins, conformément aux principes démocratiques, j’ai admis le choix de la majorité et participé aux scrutins suivants.
Lorsqu’on a demandé aux Français des abandons majeurs de souveraineté avec la « Constitution Européenne » ils ont voté très majoritairement NON.
Cette « Europe » est nulle et non avenue. Sauf pour les traitres.
La France n’a pas besoin d’une « Cours européenne » pour définir les droits de l’Homme. Nous en avons inventé le concept. Ils sont inscrits par le fer et le sang de nos Révolution dans l’âme de notre Constitution. On n’a pas de leçon a recevoir de ces bourgeois qui léchaient alors le cul des Höllenzolern, des Habsbourg et des Romanov. Maintenant, ils lèchent le cul des banquiers. Il y en a décidément qui aiment vivre à genou le nez dans la merde.