L'intelligence artificielle, je l'ai trouvée, c'est une certaine Ségolène R.
Les scientifiques sont formels : tout est inventé, il n'y a rien.
C'est rassurant. J'ai cru que c'était les modos de la terrasse.
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Regarde cette histoire...
http://ufoetnature.over-blog.com/ar...ardes-du-corps-extraterrestres-116589003.html
C'est a se demander si l'intelligence artificiel n'est pas si artificiel que ça...
Aucune détection d'activité du cerveau a l'infrarouge.
La Loutre
Les Loutres (Lutrinae) sont une sous-famille de mammifères carnivores de la famille des Mustelidés. Il existe plusieurs espèces de loutres, caractérisées par de courtes pattes, des doigts griffus et palmés (aux pattes avant et arrière) et une longue queue.
Cette sous-famille a été décrite pour la première fois en 1838 par le zoologiste Charles Lucien Bonaparte (1803-1857), l'un des neveux de Napoléon Bonaparte.
La loutre est un animal souvent solitaire qui possède une fourrure avec des poils qui s'emboîtent les uns dans les autres[réf. souhaitée]. Les petits loutrons restent avec leur mère jusqu'à l'âge de six mois[réf. souhaitée].
Contrairement à l'ours polaire ou au dauphin, la loutre ne dispose pas d'une épaisse couche de graisse sous la peau. C'est son pelage, composé de poils courts et longs qui s'emboîtent, qui l'isole du froid.
La loutre peut rester en apnée jusquà huit minutes sous leau.
La plupart des espèces ne vivent qu'en eau douce, cependant la loutre de mer, comme son nom l'indique vit dans l'eau salée mais elle a besoin d'eau douce pour le toilettage et l'entretien de sa fourrure. La population de Hongrie est la plus grosse d'Europe avec plus de 10 000 individus.
La loutre est un mammifère majoritairement piscivore. Son régime alimentaire est constitué de 50 % à 90 % de poissons, le reste est occupé par des batraciens, de petits mammifères, de crustacés et même parfois doiseaux. La loutre pêche principalement en solitaire même si de temps à autre elle chasse en bande. Les jeunes loutres mangent jusqu'à 700 grammes de nourriture par jour[réf. souhaitée], et les adultes mangent jusqu'à 1 kg par jour.
En région tempérée, la loutre n'hiberne pas. Dépourvue de réserves importantes de graisse, elle doit aussi chasser en hiver.
Loutre de mer et son petit (Morro Rock, USA).
Cest un animal très joueur qui samuse souvent avec ses proies, elle les entraîne dans des petites baies, peu profondes, pour faciliter sa tâche. Lors de ses plongées, ses oreilles et ses narines sont obstruées, elle perd donc son odorat et son ouïe ce qui handicape sa chasse. Cependant, elle est munie de vibrisses (moustaches rigides) fort sensibles aux vibrations. Grâce à cela, elle parvient à repérer sa proie avec les ondulations de leau émises lors de sa fuite.
La loutre na pas de responsabilité dans la disparition des poissons car elle sattaque généralement aux proies malades ou aux proies les plus abondantes2. La loutre de mer se sert d'outils tels que des galets et pierres pour briser les coquillages trop résistants en les frappant sur son abdomen. Ce qui en fait l'un des rares animaux à se servir d'ustensiles pour se nourrir.
C'est une espèce[Laquelle ?] en très forte régression sur la presque totalité de son aire de répartition, protégée pour cette raison dans la plupart des pays.
Elle[Laquelle ?] a d'abord régressé puis disparu d'une très grande partie de son aire de répartition à cause de la chasse et du piégeage, sa fourrure étant, comme celle du Castor, très recherchée.
Bien qu'elle[Laquelle ?] soit protégée, ses populations continuent à régresser ou peinent à se stabiliser. Un suivi (monitoring) aux Pays-Bas par colliers radio-émetteurs a montré que la première cause de mortalité des loutres dans ce pays était la route ; les loutres sont souvent tuées ou blessées par des véhicules lorsqu'elles tentent de traverser des routes (phénomène dit de « Roadkill »). Elles sont aussi victimes de la pollution (de l'eau et/ou des toxiques bioaccumulés par leurs proies) et de la disparition des zones humides.
En France, on comptait 50 000 individus au début du xxe siècle et à peine 1 500 en 1980. Protégée[Laquelle ?] depuis 1981, sa population est remontée à 2 ou 3 000 en 2010, recolonisant des rivières où elle avait disparu.