10.11 El Capitan Comment clôner un Disque Dur avec OS X et Windows ?

beegeezzz

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17 Janvier 2013
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Bruxelles
Bonjour,

J'ai un imac avec El capitan et Windows 7 64 bits (bootcamp).

J'aimerais clôner ce disque sur un nouveau disque dur SSD.

Est-il possible de clôner la partition mac et la partition Windows en même temps avec une application ?
J'ai trouvé CCC, super duper, Stellar Drive Clone, Winclone et HD Clone, mais je ne sais pas si ces applications peuvent clôner les deux partitions sur mon SSD ?

Je suis prêt à acheter une licence pour le programme qui m'aidera à faire cela.

Merci d'avance.
 
Je ne connaissais pas Stellar Drive. Ca a l'air bien pratique, par contre une remarque en bas de page web de Stellar m'interroge:

Note: The Boot Camp partition will be cloned to EXFAT partition. Stellar Drive Clone for Mac is available for 1 user license, 3 and 10 user licenses.

Récupérer un Bootcamp en exFAT plutôt que NTFS c'est pas un problème ?
 
Merci pour vos réponses.

Est-ce que cela change quelque chose que la partition soit en ExFat ?

Est-ce que la taille des fichiers est limitée en taille comme pour le fat ?

Merci pour l'aide.
 
Pas de limite de taille en exFAT, mais si l'installeur de Windows formate la partition en NTFS, le fait de le réécrire sur une partition exFAT ne doit pas être l'idéal.
Une recherche Google semble confirmer que Windows ne peut pas être installé sur un disque en exFAT:
http://answers.microsoft.com/en-us/...94ebca0d-eff0-4873-829d-86fc30164c4f?p&auth=1

Du coup je ne comprends pas comment une partition BootCamp clonée sur une partition exFAT peut rester fonctionnelle.



WinClone recrée bien une partition NTFS pour restaurer la partition BootCamp.

Pour moi, le couple CCC + WinClone est la solution gagnante. (J'ai testé, ça fonctionne très bien)
 
Dernière édition:
Merci pour ta réponse Rémy.

Je dois faire cela sur un iMac appartenant à un architecte, c'est son outil de travail quotidien.

Tu prendrais le risque ou tu penses qu'une réinstallation complète serait préférable ?
 
Cloner le disque vers un disque externe ne présente pas de risques (en tous cas pas avec CCC ni WinClone) car de toutes façons, le disque d'origine ne subit aucune modifications. Donc même si le disque cible etait non fonctionnel en fin de clonage, le disque d'origine est toujours utilisable sans aucun changement.

Le clonage via Stellar me semble voué à l'échec si effectivement la partition BootCamp obtenue se voit appliquer un formatage ExFAT (ca mériterait de leur faire confirmer ce point quand même).
Mais avec CCC puis création d'une partition Fat32 sur le disque cible obtenu, et enfin clonage via WinClone de BootCamp (WinClone se chargeant de convertir de fat32 en NTFS) fonctionne parfaitement.
 
:coucou: Locke

Tiens, tiens, je serais curieux de savoir ce qu'en pense macomaniac. :coucou:

Hé ! J'ignorais complètement ce logiciel : «StellarDriveClone.app». Et dans cet état de « bienheureuse ignorance » (s'il est vrai que : « quiconque augmente sa science, augmente sa douleur ») > la méthode que j'aurais spontanément employée est la même que celle décrite par r e m y :coucou: : partitionner le SSD en 2 partitions d'accueil principales, une au format jhfs+ pour l'accueil d'OS X et une format FAT-32 pour l'accueil d'un clonage par «Winclone» (lequel reformate en ntfs) > cloner par «CCC» la partition OS X du HDD dans celle dédiée du SSD (ce qui aurait aussi cloné la Recovery HD en-dessous) > cloner par «Winclone» la partition Win du HDD dans celle dédiée du HDD.


Mais une méthode "tout-en-un" est bien entendu séduisante - surtout par les questions théoriques qu'elle soulève : comment cela peut-il se faire ? - de ce point de vue, j'ai une réponse passant par l'utilitaire UNIX dd (disk_doubler : duplicateur de disque - disk_destroyer disent les mauvaises langues : destructeur de disque, parce que si on inverse la source et la destination, on clone du vide sur du plein et on a 2 vides à l'arrivée au lieu de 2 pleins). dd est parfaitement capable de cloner un disque entier (et pas telle ou telle partition d'un disque) sur un disque entier - ce pour la simple raison qu'il opère en mode "blocs" et pas en mode "fichiers".

Quand on copie en mode "fichiers", on est dépendant aussi bien sur la source que sur la destination d'un mécanisme logique qui a commencé par monter des volumes : il s'agit des systèmes de fichiers gérant les partitions concernées, qui convertissent l'espace des blocs d'écriture bruts de la partition en un espace de répertoire (= un volume monté) dans lequel se montrent des fichiers (des séquences d'écriture reconnaissables). Et donc un cloneur en mode "fichiers" va copier le "contenu" d'un espace de répertoire (un volume monté) dans un autre - ce qui implique, qu'en destination, il faut qu'une partition préexiste, formatée par un système de fichiers, lequel doit avoir monté l'espace de blocs en un "espace-répertoire" = volume. C'est ainsi qu'opère «CCC».

Quand on copie en mode "blocs", on n'est pas dépendant de l'activation de systèmes de fichiers montant des volumes > mais ce qui est cloné est l'espace-blocs brut de la partition dont le volume est démonté, et dont le système de fichiers gestionnaire est désactivé. Système de fichiers désactivé résidant sur l'en-tête de la partition source qui va donc se trouver cloné comme gestionnaire d'en-tête de la partition destination. Car il s'agit d'un remplacement d'écritures total des blocs bit à bit. Si la source d'un clonage en mode "blocs" n'est pas une partition de disque, mais un disque entier, alors le procédé est d'une radicalité totale, car il y a recopie bit à bit des écritures de blocs, impliquant le secteur de boot du disque compris (les premiers blocs portant les fichiers de la Table de Partition), les headers des partitions supportant les systèmes de fichiers et les alignements d'écriture de données des blocs des partitions. À l'arrivée, on obtient un clone intégral : càd. un disque "doublé" sur un autre disque, où chaque partition a l'exacte taille de son original etc.

Je n'ai jamais essayé à l'échelle de gros disques (durs ou SDD), mais je présume qu'une opération dd prenant pour source un disque entier partitionné en OS X et Win donnerait à l'arrivée un disque entier partitionné en OS X et Win qui serait le jumeau intégral de l'original et dont aucun bit d'information n'aurait été perdu, à condition qu'il n'y ait pas de mauvais blocs sur la source non plus que sur la destination. Mais j'ai essayé expérimentalement à petite échelle, avec 2 clés USB de taille comparables (15 Go), la source partitionnée en 2 volumes de données avec une Recovery HD de 650 Mo en intercalaire créée par mes soins > j'ai passé une commande du type :
Bloc de code:
sudo dd if=/dev/rdisk1 of=/dev/disk2 bs=4096 conv=notrunc,noerror
(ou disk1 est le disque de la clé source et disk2 celui de la clé destination) > à l'arrivée, la clé de destination est la jumelle absolue de l'originale : même partitionnement, mêmes données, même icônes et intitulés > c'en est troublant : impossible de distinguer "graphiquement" l'une de l'autre.

L'utilitaire dd est donc un opérateur particulièrement impressionnant - mais comme en toutes choses, cela a un coût : le procédé de clonage en mode "blocs" est infiiniment plus lent que celui qui opère en mode "fichiers". Le clonage expérimental du disque entier d'une clé sur le disque entier de l'autre (15 Go) a pris des heures ! Et pourtant j'avais opté pour une valeur numérique de "blocksize" (nombre de blocs à considérer comme un "super-bloc" à transférer) de 4096 censée augmenter la vélocité de dd.


Cette apparente digression par l'utilitaire UNIX dd n'est pas inopportune, car elle amène à se demander quelle sorte de procédé de clonage est implémentée dans le logiciel «StellarDriveClone.app», lorsqu'on utilise son option de recopie de disque à disque. Conjecturalement parlant, j'écarte un recours radical à dd à l'image de la commande que j'ai citée, car les temps de transferts seraient immensément longs, ce qui donnerait une application peu "vendeuse" à l'usage. Mais je m'interroge sur le moyen utilisé pour cloner un partitionnement logique : clonage des fichiers de la GPT de la source sur la destination (backup) ? Ou plus modestement lecture du partitionnement de la source et commande de repartitionnement de la destination d'après cette information ?

La mention d'une partition dédiée à Win créée au format exFAT me laisse conjecturer qu'il s'agirait du 2è procédé. Cela fait, un dispositif des partitions sur le disque d'accueil congruent de celui du disque source > il doit être concevable de gérer temporellement un clonage en mode "fichiers" des partitions JHFS+ sur leurs homologues, et je le présume (pour répondre aux objections de r e m y à ce sujet) un clonage de type «Winclone» des fichiers d'une partition Win dans son homologue préfigurée au format exFAT d'accueil («Winclone» requérant pour sa part une partition d'accueil FAT-32 qu'il reformate en NTFS) > ce qui fait qu'on aurait bien en sortie une partition en format NTFS bootable sur la destination, comme sur la source.

=> cela supputé, je m'accorde avec r e m y pour dire que, le disque source ne devant être accédé qu'en lecture seule sans modification intrinsèque et le SDD étant vierge => il n'y a rien à perdre (sinon l'argent de la licence d'un logiciel) à tenter le clonage disque à disque par «StellarDriveClone.app» mais tout à gagner (logiquement parlant). Attention quand même (en cas d'essai de boot) au type de connexion du SSD à l'iMac s'il s'agit de booter Windows en externe...

[NB. Pour ne pas faire mentir l'adage latin : « in cauda venenom » > cloner un disque à destination d'un autre disque comporte toujours un risque énorme > c'est celui de confondre la source et la destination > car au lieu d'avoir 2 disques "pleins" au final > on obtient en cas de bévue 2 disques "vides" en sortie...
361608_original.png
]


 
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Tu as raison d'insister sur le fait qu'il faut être vigilant à ne pas confondre source et destination dans les opérations de clonage...

Je conseille de nommer le disque de destination avec des noms explicites, different du nom du disque source, et de relire 3 fois, tranquillement, le message qu affichera le logiciel de clonage pour récapituler ce qui sera cloné vers quoi, avant de valider.
 
Pour moi, le couple CCC + WinClone est la solution gagnante. (J'ai testé, ça fonctionne très bien)
Je confirme aussi cette option qui de plus marche parfaitement en utilisant un disque USB en Thunderbolt (c'est mon cas). Aucun problème non plus avec SuperDuper! + WinClone.
 
Par rapport à SuperDuper, je préfère CCC qui propose spontanément de cloner la partition RecoveryHD. (Mais peut être SuperDuper le fait-il egalement maintenant... Il y a un bon moment que je ne l'utilise plus)
 
Par rapport à SuperDuper, je préfère CCC qui propose spontanément de cloner la partition RecoveryHD. (Mais peut être SuperDuper le fait-il egalement maintenant... Il y a un bon moment que je ne l'utilise plus
Non, SuperDuper! ne permet toujours pas de copier cette partition de secours, mais ce n'est pas un problème, car on peut la récréer très facilement ou redémarrer via les serveurs d'Apple.
 
Merci à vous tous pour vos réponses et surtout à macomaniac pour dd qui semble très intéressant.

J'ai essayé expérimentalement à petite échelle, avec 2 clés USB de taille comparables (15 Go)

Cela veut dire qu'on a besoin de deux disque dont la taille est identique ? si c'est le cas, ça n'ira pas pour moi, j'ai un HD 1To et un SSD 500 GB.

IL y a quelques mois, j'avais utilisé Winclone (j'avais donc acheté une licence) pour cloner la partition bootcamp sur le disque dur.

Encore merci pour votre aide.
 
Cela veut dire qu'on a besoin de deux disque dont la taille est identique ? si c'est le cas, ça n'ira pas pour moi, j'ai un HD 1To et un SSD 500 GB.

Tu as bien vu le problème que j'avais diplomatiquement esquivé en me donnant expérimentalement 2 disques de tailles égales. Que se passe-t-il avec la commande dd si les disques source et destination sont de taille inégale ?

Si le disque source (que j'appelle disk1 en exemple) est plus petit que le disque destination (disk2 en exemple) > disons disk1=500GB et disk2=1To > et si on ne fait rien (dans la commande) > alors dd va cloner les 500GB de blocs de disk1 sur les 500 premiers GB de blocs de disk2 et, n'ayant plus rien à cloner sur les 500 derniers GB de disk2 > va soustraire ces 500 derniers GB de disk2 du formatage gérant les blocs précédents, càd. va les virer à un statut de free_space hors partitionnement, ce qui fait que disk2 va apparaître supporter des partitions équivalentes en taille à disk1. Bref : 500 GB seront gelés hors partitionnement > ce qui implique pour les récupérer de passer une commande de type différent derrière dd afin de ré-intégrer les blocs libres dans la table de partition GPT.

Inversement, si le disque source disk1 est plus grand que le disque de destination disk2 (1To vs 500GB - supposons) - un clonage par dd n'a de sens que si la taille des données sur disk1 n'excède pas pas la capacité d'accueil du disk2 de destination > sinon toutes les données excédantes sur la source seraient perdues sur la destination. Mais à supposer qu'il n'y ait que 400 GB de données sur disk1 de 1 To > alors la gestion de la disproportion des tailles de disques s'effectue par un mécanisme de troncage des blocs libres des partitions de la source disk1 à l'échelle de l'espace offert sur la destination.

Supposons que disk1 ait une seule partition OS X de données principales disk1s2 (disk1s1 étant l'en-tête EFI de 209MB) avec supposons encore une disk0s3 Recovery HD de 650 Mo derrière > alors cela revient à dire qu'il y a environ 600 GB d'espace libre en queue de la partition disk1s2 dont les 400 premiers GB de blocs sont porteurs des données écrites > dd va donc cloner la table de partition GPT des 32 premiers blocs définissant 3 partitions > cloner l'espace de blocs de la partition EFI > cloner les 400 GB de blocs écrits de la partition disk1s2 > et (s'il n'y a pas d'option contradictoire) tronquer les 600 GB de blocs suivants correspondant à des 0 d'écritures de manière à en produire un équivalent "tronqué" (des chaînes d'astérisques) sur les 100 GB d'espace libre restant sur le disk2 > en préservant un espace de 650 MB de blocs terminaux (correspondant à la dernière partition établie dans la GPT = la Recovery HD) pour y cloner les données de cette partition du disque source.

Ce mécanisme de "copie-compressée des blocs libres de la source par troncage sur la destination" est donc susceptible de gérer un multi-partitionnement d'un disque source plus grand sur un disque cible plus petit à la condition que la taille des données écrites sur la source n'excède pas l'espace du disque cible. Pour ce faire, il faut absolument exclure des arguments de l'option conv (convention) l'argument notrunc (ne pas tronquer en sortie) - sinon la commande dd est logiquement inadaptée. Il faudrait donc réduire la commande à :
Bloc de code:
sudo dd if=/dev/rdisk1 of=/dev/disk2 conv=noerror bs=4096

[Si le disque source ne requiert pas d'avoir ses volumes démontés a priori, car il n'est accédé qu'en lecture > par contre il est impératif de démonter au préalable tout volume monté sur le disque de destination, car ce dernier est accédé en écriture en mode "blocs" et ne doit donc supporter aucun système de fichiers monté qui bloquerait cet accès.]

NOTE: n'ayant jamais eu la patience d'expérimenter sur des disques de grande capacité où disk1 > disk2 en taille => je ne peux pas confirmer que le "mécanisme de transposition par troncage de n blocs 0 de la source sur * blocs 0 de la destination" dans le respect des limites des partitions GPT s'opère avec l'exactitude escomptée. Je dis « patience », parce que malgré l'introduction dans la commande d'une option bs (blocksize) associée à une valeur censée accélérer l'opération comme 4096 > l'opération dd demande régulièrement un temps fou - ce qui a régulièrement excédé mon stoïcisme.


Personnellement parlant, dans ta situation, je partitionnerais à l'avance le SSD, dans le cadre d'une GPT (GUID Partition Table) en 2 partitions principales : une partition OS X au format JHFS+ de (supposons) 350 Go et une partition Windows au format FAT-32 de (supposons encore) 150 Go > puis je clonerai en mode fichiers par «CCC» les données du volume source Macintosh HD dans le volume cible correspondant (si leur taille n'excède pas la capacité de cette partition) > puis pareil via «Winclone» pour ce qui est est du volume source BOOTCAMP sur le Windows cible. Et tout serait dit...
 
Dernière édition par un modérateur:
On est donc tous d'accord sur la méthode la plus sûre (cf dernier paragraphe de MacO... vous pouvez donc garder le début de ce message saturdinal pour plus tard dans le weekend qu'on annonce pluvieux :D )

NB: je fais cadeau à la langue française ce saturdinal que je donne au samedi à l'image de ce que dominical est au dimanche....
 
Je clonerai en mode fichiers par «CCC» les données du volume source Macintosh HD dans le volume cible correspondant (si leur taille n'excède pas la capacité de cette partition) > puis pareil via «Winclone» pour ce qui est est du volume source BOOTCAMP sur le Windows cible. Et tout serait dit...

Merci pour vos réponses.

Voici ce qui est fait :
Disque dur mécanique remplacé par le SSD
Installation d'El Capitan OK
Deuxième partition créée avec Bootcamp

L'ancien disque dur (mécanique) contient donc la partition Bootcamp à transférer sur la partition Windows créée par Bootcamp.

Je peux donc utiliser cette partition du HD mécanique avec Winclone pour la transférer sur le disque dur SSD ?

Encore merci pour l'aide.
 
Je peux donc utiliser cette partition du HD mécanique avec Winclone pour la transférer sur le disque dur SSD ?

C'est bien la fonction de «Winclone» - d'opérer le clonage d'une partition BOOTCAMP recelant un Windows démarrable sur une partition d'accueil vide au format initial MS-DOS (FAT-32) > de manière à y dupliquer un Système Windows démarrable en miroir.

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je fais cadeau à la langue française ce saturdinal que je donne au samedi à l'image de ce que dominical est au dimanche....

« Dominical », en effet, a je ne sais quel parfum cérémonial hérité des offices religieux, dont le rituel empesé se prolongeait dans des sorties endimanchées et dans des collations guindées. Façon noble de dire qu'on s'y emmerdait ensemble cérémonieusement.

« Saturdinal », par suite, à l'image de ce « dominical », évoque la couleur saturnienne d'heures plombées par la lecture de la prose de macomaniac - bien loin des danses fiévreuses du samedi soir ou des beuveries saturnales de pubs anglais...
 
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Réactions: scoliaste
J'ai effectivement opté pour ce saturdinal car saturnal existe mais fait référence aux Saturnales romaines telles celles que les virées nocturnes de tes pubs anglais peuvent évoquer,
quant à sabbatique, bien que faisant référence au samedi, il est au moins autant connoté que notre dominical endimanché.

Je m'en vais de ce pas, faire une communication à l'Académie.