Ici il se contente de nous mettre l'eau à la bouche avec ses menus. Peut-être qu'avec un fil dédié on aura droit aux recettes : c'est le but de ma suggestion, arrête de voir le mal partout !
De la vie des macgéens
- Créateur du sujet thebiglebowsky
- Date de début
Quand un plat me met l’eau à la bouche, je m’empresse de le faire. Choper une recette sur le net. Acheter les ingrédients au supermarket. Et en avant la musique des casseroles.
En ce moment j’ai une furieuse envie de soupe au pistou. S’il me reste des cocos de Paimpol au congélo, anticyclone ou pas, ça me fera un repas de la semaine prochaine ! :miam:
Ouais mais nan ! Pas question de générer du trafic web vers ce bouge. Ceux qui suivent et qui souhaitent reproduire une recette, bookmarkent recherchent et cuisinent. Les autres… survolent bavent et ubèrent*
Mais le mal est partout !
* un néologisme qui n’va pas plaire à Louis hi hi hi
Il m’a fallu plusieurs minutes de réflexion, suivies d’une recherche sur internet pour comprendre que tu faisais allusion à ton néologisme « ubérer », lui-même référence à Uber. Cela me fait penser que la remplaçante d’une de mes collègues prof de philo évoque le phénomène d’ « ubérisation » de la société dans le chapitre sur le travail, ce que je trouve assez peu pertinent, compte tenu du caractère éphémère et nouveau de cette tendance. La philosophie se veut une discipline universelle. Mais elle n’est que certifiée et assez jeune, vu que c’était une remplaçante…
Le concept n'est pas nouveau et on en parle depuis déjà quelques années. Le salarié est remplacé par un prestataire de service individuel, rattaché à un service numérique qui le met en relation avec de potentiels clients, payé à la "mission" et sans couverture sociale adéquat. Si tu reste collé au cas français, peut-être que tu trouves ça "éphémère" et "nouveau" mais c'est implanté depuis longtemps dans d'autres pays. D'ailleurs, actuellement, il y a beaucoup de publicité pour ce genre de services à la télévision ou dans les réseaux de streaming (Netflix, Amazon, etc.). Une grosse bataille juridique est en cour entre les plateformes numériques et les États qui entendent défendre leurs législations du travail ainsi contournées.
J'en ai eu un exemple quand je me suis fait installer la fibre. Il y eut quelques problèmes de mise en route. Un des techniciens intervenus et mandaté par Orange était un indépendant, le bout du bout de la chaine de sous-traitance.
Pourquoi parle-t-on d’ubérisation de la société ?
L’évolution du transport de personnes et de livraison de repas a été transformé par le déploiement des plateformes numériques. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ?
www.radiofrance.fr
Clairement ce n’est ni nouveau ni éphémère malheureusement.
Et jamais je n’utiliserai cette merde (pour la livraison de repas) qui exploite les gens.
Et jamais je n’utiliserai cette merde (pour la livraison de repas) qui exploite les gens.
À ubériser je préfère disrupter.
Et moi qui pensait qu’avec le second, le rapprochement serait plus aisé. Mais promis Louis, je ne te convoquerai plus lors d’abus de langage. Et comme tu te limites à une correction hebdo, il y a de grandes chances que mes écarts passent à l’as. Ha ha ha !