En direct de Netflix du Le Bar de la Terrasse...

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Michael Dorman, je l’avais adoré dans American patriot. Un agent du renseignement peinant à remplir sa mission, mise en péril par un enchaînement de quiproquos et situations loufoques. Je m’étais bien marré. Le jeu d’acteur y était pour beaucoup.

Du coup, après des mois d’hésitation, j’ai fini par le regarder jouer un garde-chasse dans le Wyoming. Joe Pickett. Fraîchement sorti de l’école de formation des gardes-chasse, Joe est embauché dans un comté du Wyoming. Il débarque avec sa femme et enfants au milieu de bourrus du cru. Et forcément… Ça se passe mal ! Je viens de terminer la première saison. C’est avec plaisir que je vais entamer la seconde. ;)
 
Michael Dorman, je l’avais adoré dans American patriot. Un agent du renseignement peinant à remplir sa mission, mise en péril par un enchaînement de quiproquos et situations loufoques. Je m’étais bien marré. Le jeu d’acteur y était pour beaucoup.

Du coup, après des mois d’hésitation, j’ai fini par le regarder jouer un garde-chasse dans le Wyoming. Joe Pickett. Fraîchement sorti de l’école de formation des gardes-chasse, Joe est embauché dans un comté du Wyoming. Il débarque avec sa femme et enfants au milieu de bourrus du cru. Et forcément… Ça se passe mal ! Je viens de terminer la première saison. C’est avec plaisir que je vais entamer la seconde. ;)
Joe est aussi extrême dans la série que dans les bouquins ?
 
Anaon, 6 épisodes sur AmZ
Mini série fantastico-policière où les zombies sont remplacés par une créature mythologique bretonne. Pas si mal, aurait été mille fois mieux sans (ne me dites pas que ça vous étonne !) une musique saoulante, démonstrative et omniprésente y compris pendant les dialogues, parce que vous comprenez, on cause, on cause, mais c'est angoissant non ?

Les réals ont hélas oublié la puissance du silence. Hier je regardais 'une journée particulière' d'Ettore Scola. Peu ou pas de musique, y compris à la fin où pendant de longues minutes Marcello Mastroianni descend plusieurs étages par un escalier, Sophia Loren le regarde partir, dans le seul bruit des chaussures sur les marches de l'escalier et de la fenêtre qu'elle referme. Tellement plus prenant comme ça qu'avec une soupe de violons langoureux que ne manquerait pas de réclamer le producteur aujourd'hui.
 
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Réactions: Toum'aï
Les réals ont hélas oublié la puissance du silence. Hier je regardais 'une journée particulière' d'Ettore Scola. Peu ou pas de musique, y compris à la fin où pendant de longues minutes Marcello Mastroianni descend plusieurs étages par un escalier, Sophia Loren le regarde partir, dans le seul bruit des chaussures sur les marches de l'escalier et de la fenêtre qu'elle referme. Tellement plus prenant comme ça qu'avec une soupe de violons langoureux que ne manquerait pas de réclamer le producteur aujourd'hui.
Peu ou pas de musique ? T'as pas entendu la radio de la concierge ? Elle participe pourtant grandement à l'ambiance du film.

Giovinezza, Horst Wessel Lied, Teufelslied, etc.

Le contraste avec les moments de silence est totalement volontaire.

Et le générique final, le Horst Wessel Lied au piano, genre petite ritournelle enfantine.
 
Dernière édition:
J'ai commencé The Residence sur Netflix. Comédie policière, légère et décalée : ça se regarde sans déplaisir.

Quelle est l'intrigue de la série La résidence ?
132 pièces, 157 invités et 1 mort pendant un dîner d'Etat à la Maison-Blanche. Et voilà que débarque une inspectrice excentrique pour mener l'enquête, exaspérée d'être obligée de coopérer avec un directeur du FBI plus discret.
 
T'as pas entendu la radio de la concierge ?
Bien sur que si, mais justement
Elle participe pourtant grandement à l'ambiance du film.
Quand je parle de musique absente, c'est de la musique démonstrative dont il est question : 'attention danger', 'attention suspense', 'attention action', en gros la musique qui pollue l'image et l'histoire plus qu'elle ne la valorise. Une tare de plus en plus présente hélas. J'ai eu du mal à arriver au bout de la saison 12 de Dr Who à cause de ça.
 
Bien sur que si, mais justement

Quand je parle de musique absente, c'est de la musique démonstrative dont il est question : 'attention danger', 'attention suspense', 'attention action', en gros la musique qui pollue l'image et l'histoire plus qu'elle ne la valorise. Une tare de plus en plus présente hélas. J'ai eu du mal à arriver au bout de la saison 12 de Dr Who à cause de ça.
Eric Rohmer n'aimait pas cela non plus. Toutes les musiques de ces films étaient "naturelles".

Je suis Wagnérien, donc je reste attaché au concept d'art "total". Parfois la musique "d'ambiance" peut apporter un vrai plus. Par exemple, le vol. 3 de Star Wars, La revanche des Sith. Lorsque je suis allé le voir au cinéma, j'avais les oreilles pointées sur la bande musicale de John Williams, et là la notion de "Space Opera" prenait tout son sens. C'était grandiose.

Sinon, c'est comme dans beaucoup de domaine, il y a ceux qui "savent faire" et ceux qui se contentent de copier sans vraiment comprendre. Dans ce cas, cela donne ce qui tu décris et qui est effectivement pénible à la longue.