OUi, répétons le en coeur, Apple est le seul dieu et OS X est son prophète, mais les exègètes de la marque à la pomme, ceux qui connurent les temps anciens du finder et des SE 30, peuvent parfois regarder leurs machines d?un air dubitatif, se demandant si, depuis la fin de mac oS 9, l?âme de nos chères machines n?aurait pas été pervertie, si par hasard la victoire de windows ne serait pas à ce point complète qu?insidieusement, sans que nous n?y prenions garde, la volonté de devenir compatible ne nous aurait pas précipité dans les travers que nous raillions naguère.
Bien entendu, nous avons gagné en stabilité, puissance ect... Mais, depuis OS X, les intégristes pommés doivent le reconnaitre: le mac n?est plus vraiment le mac, et l?on peut légitimement se demander si, lors de cette nouvelle création, c?est bien l?esprit de la pomme qui flottait sur les OS...
En effet, par un curieux retournement de l?hisotire, c?est à l?époque ou window se débarassait de son péché originel le condamnant à n?être qu?un maquillage graphique (plus ou moins) éllaboré au dessus de l?antique MSDOS qu?Apple abandonnait son credo, que nous aurions cru inaltérable, a savoir une osmose parfaite entre la machine et son systéme: OSX n?était plus un systéme entièrement propriétaire, mais une couche (éllaborée, magnifique) de maquillage savant dissimulant un squelette jouant pour notre plate forme le rôle du MSDOS honni: UNIX.
Ainsi, dans la joie et l?allégresse, psalmodiant des cantiques macophiles à la gloire des nouvelles possibilités offertes par l?OS, les mac users avalèrent force couleuvres et se mirent à accepter de leurs machines chéries des caprices qui déclenchaient autrefois chez eux un sourrire de commisérations lorsqu?ils étaient le fait de windows:
- nos fichiers, que jadis nous nommions librement, se virent affligés d?extensions windosiennes, et les .jpg, . gif et autres . txt se mirent à lfeurir, le tout par défaut, et avec forces messages d?avertissement pour ceux que voudraient conserver leur liberté de nommer.
- par le biais du terminal, la ligne de code chère aux geeks et aux gestionnaires de réseaux qui abhoraient le mac, fit son entrée sur notre plate forme, qui s?en était bien passée jusque là.
- nous eurent droit nous aussi à des logiciels concus de façon délirante, multipliant sans cesse le nombre de fichier: alors que l?intallation d?une imprimante, par exemple, ne nécéssitait que 3 ou 4 fichiers, l?installation d?une simple imprimante jet d?encre sous OSX nécessite (selon mon souvenir ému d?une hp 1210 psc), 17432 fichiers....
- Les specifications du sytéme subirent une inflation digne de l?entre deux guerre: alors que notre OS avait été toujours plus ?léger? en RAM que cet ogre de windows, ses demandes firent un bon, devenant comparable à ce dernier.
- On vit apparaitre, ô infamie, des manuels d?utilisation pour OSX dont l?épaisseur n?avait plus rien à envier à celle des encyclopédies apprenant aux novices à démarrer sous windows.
- Traces d?unix, notre systéme devint ?multi-utilisateur?, complicant fortement la vie des mono-utilisateurs avec forces icones et fichier de type maison, des distinctions absconces entre bureau, disque et desktop sur une même machine, ect....
- La navigation prit une forme plus windosienne, avec ses colonnes et sa façon de disperser des documents aux endroits les plus improbables.
- On vit apparaître, inpensable sacrilège, des logiciels accompagnés de désinstallateurs.
- la gestion des polices, si simple et intuitive auparavant, devint un casse tête rédhibitoire (sous jaguar)
- Et enfin, horreur suprême, il m?arriva un matin récent, alors que j?étais à la recherche d?un raccourci (clavier) que jamais je ne trouva, de voir l?inpensable, de les voir: comme une réminiscence des premiers jeux video d?aventure des années Oric et Amstrad, comme un vaisseau spacial venu d?une autre galaxie dellienne, mon mac au redemarrage s?orna d?un écran noir sur lequel un prompt digne de msdos me posait une question laconique autant qu?incongrue dans notre univers: ?Login, please :?
Désormais, je sais que l?envahisseur windosien est là, qu?il à pris forme pommée, et je dois convaincre un monde incrédule que notre cauchemard ne fait que commencer.
PS: je n?ai qu?un seul acrobat reader sur mes disques...
Bien entendu, nous avons gagné en stabilité, puissance ect... Mais, depuis OS X, les intégristes pommés doivent le reconnaitre: le mac n?est plus vraiment le mac, et l?on peut légitimement se demander si, lors de cette nouvelle création, c?est bien l?esprit de la pomme qui flottait sur les OS...
En effet, par un curieux retournement de l?hisotire, c?est à l?époque ou window se débarassait de son péché originel le condamnant à n?être qu?un maquillage graphique (plus ou moins) éllaboré au dessus de l?antique MSDOS qu?Apple abandonnait son credo, que nous aurions cru inaltérable, a savoir une osmose parfaite entre la machine et son systéme: OSX n?était plus un systéme entièrement propriétaire, mais une couche (éllaborée, magnifique) de maquillage savant dissimulant un squelette jouant pour notre plate forme le rôle du MSDOS honni: UNIX.
Ainsi, dans la joie et l?allégresse, psalmodiant des cantiques macophiles à la gloire des nouvelles possibilités offertes par l?OS, les mac users avalèrent force couleuvres et se mirent à accepter de leurs machines chéries des caprices qui déclenchaient autrefois chez eux un sourrire de commisérations lorsqu?ils étaient le fait de windows:
- nos fichiers, que jadis nous nommions librement, se virent affligés d?extensions windosiennes, et les .jpg, . gif et autres . txt se mirent à lfeurir, le tout par défaut, et avec forces messages d?avertissement pour ceux que voudraient conserver leur liberté de nommer.
- par le biais du terminal, la ligne de code chère aux geeks et aux gestionnaires de réseaux qui abhoraient le mac, fit son entrée sur notre plate forme, qui s?en était bien passée jusque là.
- nous eurent droit nous aussi à des logiciels concus de façon délirante, multipliant sans cesse le nombre de fichier: alors que l?intallation d?une imprimante, par exemple, ne nécéssitait que 3 ou 4 fichiers, l?installation d?une simple imprimante jet d?encre sous OSX nécessite (selon mon souvenir ému d?une hp 1210 psc), 17432 fichiers....
- Les specifications du sytéme subirent une inflation digne de l?entre deux guerre: alors que notre OS avait été toujours plus ?léger? en RAM que cet ogre de windows, ses demandes firent un bon, devenant comparable à ce dernier.
- On vit apparaitre, ô infamie, des manuels d?utilisation pour OSX dont l?épaisseur n?avait plus rien à envier à celle des encyclopédies apprenant aux novices à démarrer sous windows.
- Traces d?unix, notre systéme devint ?multi-utilisateur?, complicant fortement la vie des mono-utilisateurs avec forces icones et fichier de type maison, des distinctions absconces entre bureau, disque et desktop sur une même machine, ect....
- La navigation prit une forme plus windosienne, avec ses colonnes et sa façon de disperser des documents aux endroits les plus improbables.
- On vit apparaître, inpensable sacrilège, des logiciels accompagnés de désinstallateurs.
- la gestion des polices, si simple et intuitive auparavant, devint un casse tête rédhibitoire (sous jaguar)
- Et enfin, horreur suprême, il m?arriva un matin récent, alors que j?étais à la recherche d?un raccourci (clavier) que jamais je ne trouva, de voir l?inpensable, de les voir: comme une réminiscence des premiers jeux video d?aventure des années Oric et Amstrad, comme un vaisseau spacial venu d?une autre galaxie dellienne, mon mac au redemarrage s?orna d?un écran noir sur lequel un prompt digne de msdos me posait une question laconique autant qu?incongrue dans notre univers: ?Login, please :?
Désormais, je sais que l?envahisseur windosien est là, qu?il à pris forme pommée, et je dois convaincre un monde incrédule que notre cauchemard ne fait que commencer.
PS: je n?ai qu?un seul acrobat reader sur mes disques...