J'entends pas mal de gens ces temps-ci commencer leurs phrases par "Si Apple avait 90 % du marché...."
Bon. Nous savons tous que, dans ce cas de figure, le monopole serait peut-être aussi terrible, voire plus, et celà grâce à l'éminente personnalité derrière la compagnie de Cupertino.
Cependant, ce n'est pas le cas, et ça ne le sera vraissemblablement pas pendant au moins les dix prochaines années, sauf cas de force majeure gravissime (un virus chinois qui exploserait toutes les cartes-mères ou qui plomberait tellement Windows que...). En tout cas, rien de tout ça dans mon Palantir.
Le "si Apple..." relève de l'uchronie, de la science-fiction. Ce qui n'en relève pas, par contre, c'est le monopole de Microsoft, à terme dangereux pour les libertés publiques.
Palladium se rapproche : je connais certains "vrais" pirates et/ou linuxiens qui commencent à flipper menu sur les capacités de la choses...
Le grand public, lui, s'en fout : l'essentiel, c'est que ça fonctionne. On ne peut pas lui donner tort, mais à certains moments de la journée, j'en viens presque à me demander si une partie non négligeable de la population ne troquerait pas volontiers une partie de son libre-arbitre en faveur d'une "sécurité" future (informatique, personnelle, morale, etc.) réputée comme infaillible. Je la soupçonne même d'avoir de la compassion pour Mini-Bill, grand philanthrope devant l'éternel.
Microsoft a fait appel ? En attendant, grouillons-nous de profiter de notre liberté.
Un peu défaîtiste, moi, ce soir : c'était une bonne nouvelle, l'origine de ce fil de discussion, non ?
Bon. Nous savons tous que, dans ce cas de figure, le monopole serait peut-être aussi terrible, voire plus, et celà grâce à l'éminente personnalité derrière la compagnie de Cupertino.
Cependant, ce n'est pas le cas, et ça ne le sera vraissemblablement pas pendant au moins les dix prochaines années, sauf cas de force majeure gravissime (un virus chinois qui exploserait toutes les cartes-mères ou qui plomberait tellement Windows que...). En tout cas, rien de tout ça dans mon Palantir.
Le "si Apple..." relève de l'uchronie, de la science-fiction. Ce qui n'en relève pas, par contre, c'est le monopole de Microsoft, à terme dangereux pour les libertés publiques.
Palladium se rapproche : je connais certains "vrais" pirates et/ou linuxiens qui commencent à flipper menu sur les capacités de la choses...
Le grand public, lui, s'en fout : l'essentiel, c'est que ça fonctionne. On ne peut pas lui donner tort, mais à certains moments de la journée, j'en viens presque à me demander si une partie non négligeable de la population ne troquerait pas volontiers une partie de son libre-arbitre en faveur d'une "sécurité" future (informatique, personnelle, morale, etc.) réputée comme infaillible. Je la soupçonne même d'avoir de la compassion pour Mini-Bill, grand philanthrope devant l'éternel.
Microsoft a fait appel ? En attendant, grouillons-nous de profiter de notre liberté.
Un peu défaîtiste, moi, ce soir : c'était une bonne nouvelle, l'origine de ce fil de discussion, non ?