Etant donné que tu scannes et que tu ne le tires pas à l'agrandisseur, tu te ferais moins c*** avec une incrustation de texture. Certes moins aléatoire mais plus maîtrisé et probablement plus abouti![]()
Ceci dit, la démarche me plait![]()
Tu ne serais pas plutôt en train de nous vanter les joies du undo là plutôt. Il n'y a que dans le monde numérique qu'une telle possibilité existe. Dans la vraie vie, une brûlure ça fait mal.
Et dans le monde de l'image fixe, l'instant fugace que tu attends l'il dans le viseur est tout autant aléatoire que ne pas savoir où va tomber la goutte d'acide sur le film
:mouais: :rolleyes: Peut-être as-tu oublié ce que tu sais (en fait) sur la génèse d'un tableau classique. Les peintres depuis toujours sont des champions du undo. Il y a plein de techniques de laboratoire photo pour faire du Undo.
Dans la vraie vie, lorsque l'on se trompe de voie, on fait demi-tour. Le numérique rend la chose plus facile et fait donc gagner du temps, c'est tout.
Pour ce qui est de l'instant fugace, il ne faut pas résumer la photographie à Bresson ou Franck. Comme tu le sais (en fait) Adams et Shore existent aussi.
Que l'on ne se méprenne pas, je n'ai rien contre l'écriture automatique. Mais réduire la littérature à ça alors que c'est une goutte d'eau.![]()
dites, les gars, ça vous embêterait d'arrêter de vous tirer la nouille là ?