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M
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j'ai une envie violente de frites. dorées... un poil croustillante, trop molle chuis pas fan.
une légère couche de sel et hop !
une légère couche de sel et hop !
M
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Frites magret de canard aux pêches et du rouge celui de 2014 Le Ventabren AOP Cairanne
Cépages : 70% Grenache noir, 20% Syrah et 10% Carignan.
Terroir : Commune de CAIRANNE, la majorité de l'exploitation est située en altitude, vers 150 m. Terroir de côteaux où les Grenaches et les vieux Carignans s'expriment à tout petit rendement sur des sols très maigres et fortement calcaires. Un hectare de Grenache sur sable qui apporte de la finesse à l'assemblage final.
Viticulture : Le sol est travaillé en intégralité dans le respect de l'environnement et de la plante. Les Grenaches et Carignans sont en gobelet (60 ans) et les syrah sont sur fil (30 ans).
Vinification : Récolte manuelle. Egrappage et foulage. Cuvaison de 28 à 35 jours. Pigeages journaliers durant la fermentation alcoolique ainsi que deux à trois délestages. Les vins sont élevés en cuve béton pendant 9 mois.
Production annuelle : 20 000 bouteilles.
Notes de dégustation : Robe d'un rouge sombre aux reflets violine. Nez de groseille et petites baies associé à la prune à l'eau de vie. Bouche ronde, structurée sur des arômes de fruits noirs, associés aux épices douces et poivre vert. Un vin élégant, aromatique et expressif d'une appellation qui monte.
Accords : Pavé d'autruche, tajine d'agneau aux abricots, canette rôtie aux cèpes aillés, agneaux de lait aux herbes de la garrigue, filet mignon aux truffes.
Cépages : 70% Grenache noir, 20% Syrah et 10% Carignan.
Terroir : Commune de CAIRANNE, la majorité de l'exploitation est située en altitude, vers 150 m. Terroir de côteaux où les Grenaches et les vieux Carignans s'expriment à tout petit rendement sur des sols très maigres et fortement calcaires. Un hectare de Grenache sur sable qui apporte de la finesse à l'assemblage final.
Viticulture : Le sol est travaillé en intégralité dans le respect de l'environnement et de la plante. Les Grenaches et Carignans sont en gobelet (60 ans) et les syrah sont sur fil (30 ans).
Vinification : Récolte manuelle. Egrappage et foulage. Cuvaison de 28 à 35 jours. Pigeages journaliers durant la fermentation alcoolique ainsi que deux à trois délestages. Les vins sont élevés en cuve béton pendant 9 mois.
Production annuelle : 20 000 bouteilles.
Notes de dégustation : Robe d'un rouge sombre aux reflets violine. Nez de groseille et petites baies associé à la prune à l'eau de vie. Bouche ronde, structurée sur des arômes de fruits noirs, associés aux épices douces et poivre vert. Un vin élégant, aromatique et expressif d'une appellation qui monte.
Accords : Pavé d'autruche, tajine d'agneau aux abricots, canette rôtie aux cèpes aillés, agneaux de lait aux herbes de la garrigue, filet mignon aux truffes.
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C'est une expression . La goutte est un alcool très fort que l'on boit généralement à la fin d'un repas ?
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Il m’est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur :
C’était il y a quelques temps, au bal de la Nuits Saint-Georges que j’ai rencontré la petite Juliénas. Une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard, lorsque je lui ai proposé de l’emmener dans mon Chateauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Crozes-Hermitage !!!
Le temps d’aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est monté dans ma Banyuls et on a roulé jusqu’au matin.
Ah quelle belle journée !
On s’est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l’eau Clairette. On s’est Pouilly-Fuissé dans les dunes et comme le Mercurey montait sérieusement et qu’on commençait à avoir les Côtes-Rôties, on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi !
Je commençais à Minervois sérieusement et là, Juliénas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon. D’un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie ! Je me suis retrouvé comme Macon.
Quoi, me suis-je dit, elle s’est déjà Sauvignon avant même que j’ai le temps de la Sauternes ! Mais je vous Jurançon, je l’avais dans la Pauillac, en effet, j’étais tellement Tokay que j’ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s’est retrouvé, et que je l’ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit :
« Ne fais pas ta Pomerol, et ne t’en vas plus Gamay ! » En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran :
« Ne m’en veux pas, je voulais être sûre que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre ».
Depuis on ne s’est plus cuités !!!
C’était il y a quelques temps, au bal de la Nuits Saint-Georges que j’ai rencontré la petite Juliénas. Une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard, lorsque je lui ai proposé de l’emmener dans mon Chateauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Crozes-Hermitage !!!
Le temps d’aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est monté dans ma Banyuls et on a roulé jusqu’au matin.
Ah quelle belle journée !
On s’est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l’eau Clairette. On s’est Pouilly-Fuissé dans les dunes et comme le Mercurey montait sérieusement et qu’on commençait à avoir les Côtes-Rôties, on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi !
Je commençais à Minervois sérieusement et là, Juliénas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon. D’un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie ! Je me suis retrouvé comme Macon.
Quoi, me suis-je dit, elle s’est déjà Sauvignon avant même que j’ai le temps de la Sauternes ! Mais je vous Jurançon, je l’avais dans la Pauillac, en effet, j’étais tellement Tokay que j’ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s’est retrouvé, et que je l’ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit :
« Ne fais pas ta Pomerol, et ne t’en vas plus Gamay ! » En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran :
« Ne m’en veux pas, je voulais être sûre que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre ».
Depuis on ne s’est plus cuités !!!
Bon, ça va, j'ai à peu près tout goûté, je ne suis pas si inculte !
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presque en jetlag même en plein xd
I would like a...someone who understands me
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