Je ne fait que suivre un article de Macandphoto qui pour mois mérite l'attention des personnes qui aime la photo !
Un coup de gueule pour les 30 ans de Geo !
- Créateur du sujet Gabone
- Date de début
En résumé ils mettent en place un système de vol des droits d'auteurs des photographes déposant leur images sur leur site internet ce qui a terme leur permettra de se passer de photographes pro et de constituer une belle banque d'images gratos ... les enc... mais c'est pas étonnant !!!
Ça date du jour où "les amoureux de la place de l'Hôtel de Ville" de Doisneau ont demandé des royalties... On n'en sort pas...
Pardon, mais j'ai peur de ne pas le voir non plus..
Je voulais exprimer une nostalgie d'un temps où la photo était un plaisir, on se faisait des souvenirs, des aide-mémoires, on avait l'impression de créer, de peindre mieux que les peintres...
Le mercantilisme ne faisait pas partie du jeu.
C'était du temps où on pensait gratis !
Je voulais exprimer une nostalgie d'un temps où la photo était un plaisir, on se faisait des souvenirs, des aide-mémoires, on avait l'impression de créer, de peindre mieux que les peintres...
Le mercantilisme ne faisait pas partie du jeu.
C'était du temps où on pensait gratis !
Ne discutons pas ! Une histoire révélatrice de l'évolution... un souvenir plutôt qu'un fantasme...
http://100photo.free.fr/wordpress/index.php/2007/02/14/parlons-damour.html
Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un couple hétérosexuel qui s'embrasse tout en marchant sur un trottoir encombré de passants devant une terrasse de café. Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Bornet et son petit ami Jacques Carteaud. Ces derniers, dont l'identité fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même, se séparèrent par la suite.
Wikipédia...
C'est en 1992 qu'on a parlé de gros sous...
http://100photo.free.fr/wordpress/index.php/2007/02/14/parlons-damour.html
Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un couple hétérosexuel qui s'embrasse tout en marchant sur un trottoir encombré de passants devant une terrasse de café. Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Bornet et son petit ami Jacques Carteaud. Ces derniers, dont l'identité fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même, se séparèrent par la suite.
Wikipédia...
C'est en 1992 qu'on a parlé de gros sous...
OK bon elle n'était qu'arrangée, je retire donc ce que j'ai dit à propos de fantasme 
Cela dit ça ne m'aurait pas choqué outre mesure qu'il y ait une rémunération normale des modèles, ça s'est toujours fait, ça n'est pas incompatible avec le fait d'être choqué par les demandes de royalties des décennies après en voulant une part du gâteau.
Cela dit ça ne m'aurait pas choqué outre mesure qu'il y ait une rémunération normale des modèles, ça s'est toujours fait, ça n'est pas incompatible avec le fait d'être choqué par les demandes de royalties des décennies après en voulant une part du gâteau.
En fait, "fantasme" c'est gentil !
Je suis habitué aux: gâtisme... sénilité... vieux tromblon... périmé...!
Un photographe qui demande à deux amoureux de s'embrasser pour capturer l'instant, de nos jours, j'imagine la réponse... combien ? :casse:
Je suis habitué aux: gâtisme... sénilité... vieux tromblon... périmé...!
Un photographe qui demande à deux amoureux de s'embrasser pour capturer l'instant, de nos jours, j'imagine la réponse... combien ? :casse:
Photographions des chiens, des oiseaux, des éléphants et des arbres, eux ne demandent pas de droits à l'image! :hein:
On peut fort bien refuser d'être pris en photo, c'est un droit absolument défendable et à respecter, mais de là à demander des droits pour l'être... l'artiste, celui qui bosse, c'est le photographe!
Je suis super déçue par Géo là, c'est pas bien ça! :mouais: :mad:
Autre exemple dans un genre analogue: un magazine de voyage qui dit "oui, je publie votre carnet de voyage, mais non, je ne paie pas". C'est comme si j'allais à la boulangerie: "je prends une baguette mais je ne la paie pas!". Qu'on photographie, dessine, peigne ou écrit, on fait un travail, il n'y a pas de raison que ce ne soit pas payé!
On peut fort bien refuser d'être pris en photo, c'est un droit absolument défendable et à respecter, mais de là à demander des droits pour l'être... l'artiste, celui qui bosse, c'est le photographe!
Je suis super déçue par Géo là, c'est pas bien ça! :mouais: :mad:
Autre exemple dans un genre analogue: un magazine de voyage qui dit "oui, je publie votre carnet de voyage, mais non, je ne paie pas". C'est comme si j'allais à la boulangerie: "je prends une baguette mais je ne la paie pas!". Qu'on photographie, dessine, peigne ou écrit, on fait un travail, il n'y a pas de raison que ce ne soit pas payé!
idem pour les gens qui pose la demande de rémunération est naturel, quand a ne rien payer pour photographier des animaux tu reve, même en "pleine nature" faut souvant sortir les billets ... notament pour des espèces rare qui sont conservé en semi liberté et le scoop est laissé contre renumeration ........ bcp de fantasme autour du concept du scoop et de l'instant magique !!! nos ainés nous ont longtemps fait prendre des vessie pour des lanternes !!!!
Tiens, je n'avais pas pensé à ça :rateau:... Il faut dire que les bestioles que je prends en photo ne sont pas trop rares ni trsè exotiques
... quand je prends les fleurs dans mon jardin, je me demande à moi-même l'autorisation et j'y vais! N'empêche, on marche un peu sur le tête là...
Marche pas sur la tête, tu vas n.quer tes fleurs.
Ou alors, va jusqu'à Géo comme ça, ils te prendront peut être pour un perchoir à pigeons... Paraît qu'ils en élèvent en ce moment.
Faisez des photos et proposez les à mon festival... En plus faut nous payer pour ça ! On est plus fort que Géo
Ou alors, va jusqu'à Géo comme ça, ils te prendront peut être pour un perchoir à pigeons... Paraît qu'ils en élèvent en ce moment.
Faisez des photos et proposez les à mon festival... En plus faut nous payer pour ça ! On est plus fort que Géo
ou dans le cas d'animaux très rare mis sous séquestre par des petits malins, c'est le cas d'un rino nain qui a vecu un temps dans un enclos pas loin d'une piste touristique, fallait payer pour aller le shooter, et des animaliers et un célèbre homme de télé avaient fait croire a un super scoop et allant le shooter ...
les photographes animaliers, j'ai un ami dans la partie qui m'a raconté ... a par un ou deux pur et dures, les autres c'est montage and co ...
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