J'y reviens, hein. Parce que ma première réaction était courte, j'en avais le souffle coupé.
Je suis très ému que tu le penses, et je te remercie de m'avoir permis de patienter.
Je n'ai jamais perdu espoir, mais je t'avoue que tes mots, même si ce n'était que des mots, ont été parfois très douloureux.
Les miens aussi, j'en ai conscience.
Bref.
Ça réchauffe.
Je t'embrasse, madame.
:zen: