De la vie des macgéens

Bonne conclusion mais fausse analyse (pardon, hein, si je te reprends là-dessus). Si le sujet est bien "qui", ce dernier ne renvoie pas à "lui" (pas de "lui" dans le texte original - quand bien même, si lui est bien un pronom personnel singulier, il est à la 3ème personne donc impliquerait le participe "a"), mais à "moi". "Moi" étant celui qui écrit donc "je".
C'est moi qui ai = j'ai.
Pardon, j'avais répondu un peu rapidement, sans prendre le temps de relire en détail la phrase originale. Le pronom personnel est bien "moi" et non "lui", mais les deux ayant la même fonction dans la phrase, cela ne change rien à l'analyse.
En fait, je pensais que la phrase était "c'est lui qui a créé […]", et non "c'est moi qui ai créé […]". Même si j'ai marqué en-dessous, conformément à la phrase originale, "c'est moi qui ai créé […]". Un moment d'égarement sans doute.
 
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Réactions: lamainfroide
Et ben moi vu la tournure du truc je ne vais poster plus qu'avec des smileys dorénavant ...:grinning:
 
Purée ! On avait tout faux tous les deux !
Tu avais faux !? Ma mamie disait… C'est le Bon Dieu qui te punit !
ps1 : si tu pouvais bannir @Louisjoudig ... ça m'arrangerait ! :joy::joy:
Bannir un prof ?! Mais t'es pas bien hin hin !?
@aCLR : Peux-tu me corriger selon les indications du mineur ? Mes fautes me piquent les yeux.
Je vais pouvoir te dire ce que je n'ai pu claquer la fois dernière… Do it yourself !
je vous aime tous ici
J'espère surtout que vous m'aimez tous !
Et ben moi vu la tournure du truc je ne vais poster plus qu'avec des smileys dorénavant ...:grinning:
Ça ne changera pas grand chose à tes interventions, hi hi hi !
Heureusement que je ne rectifie pas toutes les fautes d'orthographe que je croise, ce serait un travail infini !
Et inutile… ;)
(T’as aussi droit à des vacances)
Qui veut des vacances ?! :p
 
Tu as le droit. Si personne ne nous corrigeait, nous ne ferions jamais de progrès.

Je ne reproche jamais à quelqu’un de me signaler une faute de français.

(T’as aussi droit à des vacances)
En fait, j'ai une envie viscérale de corriger toutes les fautes d'orthographe que je peux voir, mais je sais que, d'une part, les gens me prendraient pour un maniaque ; et que, d'autre part, je risque de vexer mes interlocuteurs. Il en est de même à l'oral. Et je ne parle pas des articles de journaux écrits dans un français très moyen, quand il n'est pas fautif. J'ai l'impression, pour certains, qu'ils sont tous écrits par le même robot.
 
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Réactions: loustic
"En fait" ou bien "De fait" ? :wink:
Qu’est-ce que ça peut faire ?! L’essentiel dans une discussion de comptoir est que la chose dites soit comprise !? Nos échanges ne seront pas édités. Donc… OSEF ! :o
 
Y'a plus de comptoir. On est en terrasse ! :grimacing:
Cunnard ! :D Tu m’excuseras de n’avoir pu caser « attablé autour d’un mange debout sous le parasol chauffant de cette terrasse couverte » !
 
  • Haha
Réactions: Romuald
Je maintiens mon "en fait". Ici, je voulais dire "[même si je ne corrige pas toutes les fautes], dans la réalité (=dans les faits, en fait), j'en ai bien envie.". Si j'avais écrit "de fait", cela signifierait "[je ne corrige pas toutes les fautes], par conséquent, j'en ai bien envie.".
 
Toi ce midi au self, tu t’es encore fais refilé du clown avarié !? :p
 
Je maintiens mon "en fait". Ici, je voulais dire "[même si je ne corrige pas toutes les fautes], dans la réalité (=dans les faits, en fait), j'en ai bien envie.". Si j'avais écrit "de fait", cela signifierait "[je ne corrige pas toutes les fautes], par conséquent, j'en ai bien envie.".
Et la ponctuation ?
... j'en ai bien envie".
 
Non, "j'en ai bien envie." J'ai effectivement fait une erreur, si la phrase citée se clôt en même temps que la phrase qui l'englobe, le point se met à l'intérieur des guillemets. À l'inverse, si c'est une portion de phrase qui est citée et qu'elle se termine en même temps que la phrase qui l'introduit, le point se met à l'extérieur.
 
Opération chauffage
où je m'aperçois que je peux, quelques fois, être un abruti.
Ça me fait mal de l'admettre mais j'ai bien du me rendre à l'évidence, par deux fois, au moins.
Tout commence au moment où un petit coup de chauffage dans la voiture ne serait pas de trop, lorsque je me rend compte qu'au plus fort je ne reçois qu'une vague tiédeur.
Je crois me souvenir qu'il y a une résistance de chauffage sur ce véhicule que, par coquetterie comme par sentimentalisme, je me trimballe depuis 20 ans (il en avait déjà 12 à l'achat). Vu l'âge du bolide, cette résistance peut être en bout de course.
Elle est d'un accès facile et je peux constater en la testant qu'effectivement elle ne chauffe pas des masses.
Je passe commande, reçois la pièce et la change.
Nib, que dalle. Ça ne chauffe pas.
Enfin, disons que la nouvelle résistance chauffe beaucoup plus (je la teste avant de l'installer et je me brûle les doigts), mais l'air soufflé est toujours tiédasse.
Internet étant ton ami (quelques fois), je lis plusieurs sujet sur la question.
Dans tout le circuit de soufflerie, divers volets bloquent ou redirigent le flux. Ces volets ajourés sont recouverts d'une mousse qui, avec le temps, se désagrège (quand tu mets la soufflerie à fond et que sans crier gare tu vois passer un morceau de mousse, c'est que ça a commencé - ceux qui l'on déjà vécu comprennent de quoi je parle). Et quand il n'y a plus de mousse sur ces volets, il y a plusieurs phénomènes. Premièrement, le sélecteur de soufflerie ne sert à rien, l'air n'étant plus dirigé correctement, ça sort de partout. Deuxièmement, l'air froid se mélange à l'air réchauffé et ça fait du tiède. Pourquoi faire des volets ajourés recouverts d'un mousse qui finit par rendre les volets inopérant ? Je n'en sais foutre rien.
Je savais pour ces histoires de volets et de mousse mais je n'y ai pas pensé de suite. Ou plutôt, je n'ai pas voulu y penser. Avec mon père nous nous étions occupé de ça sur l'une de ses vieilles bagnoles et nous y avions passé un temps infernal.
Bref, je sais ce qu'il me reste à faire.
Mardi :
Je vais y passer la journée et je vais régler ça.
Abruti !
Rien ne prend 10 minutes sur une bagnole.
Il faut démonter le circuit de soufflerie, caché derrière le tableau de bord. Tu crois que ça se fait comme ça ?
Et ça commence.
Là c'est pas compliqué (façon de parler), le démontage d'une pièce est toujours tributaire du démontage d'une autre pièce qui elle-même...
J'ai du virer toute la console centrale, tout le dessous du tableau de bord, toutes les commandes, le compteur.
Je réussi enfin à enlever un premier morceau du circuit d'air (anxieux à l'idée du remontage parce qu'il y a un clip que je suis persuadé ne jamais réussir à remettre tant il est fichu dans un endroit à la con).
Dans ce premier morceau, il y a, effectivement un volet totalement exempt de mousse. Une plaque dans une sorte d'alliage farcie de trous. Il y a plus de trous que de matière. Tu parles que ça sert à quelque chose en l'état.
Je vais pouvoir sortir cette plaque et recoller quelque chose dessus, c'est pas le problème.
L'autre partie du circuit, en revanche, est beaucoup plus résistante. J'ai beau tirer dessus, ça ne veut pas venir.
Et c'est là précisément que je suis un abruti de haut vol.
Je suis resté sur l'impression qu'il n'y avait pas de radiateur dans mon circuit d'air (un tel radiateur est relié au circuit d'eau du moteur). Lors de mes lectures sur le net, j'ai pu lire une discussion où un type affirmait (sur une voiture qui semblait être du même modèle que la mienne) qu'il n'y avait pas de radiateur. Ceci étant fort possible, d'ailleurs. Ma première voiture n'en avait pas, le système de chauffage n'était autre qu'une récupération de la chaleur du compartiment moteur (ce qui servait à peine à ne pas mourir congelé en plein hiver).
Mais il y en a bel et bien un de radiateur. Ça a fini par me crever les yeux en soulevant une nouvelle fois le capot (j'étais à la recherche d'une vis que j'aurais pu oublier - les manchons d'air son vissé à la carcasse depuis le compartiment moteur). Ouais, mec, les deux durites repiquées sur le moteur qui filent dans l'habitacle, elles vont forcément vers un radiateur.
Tu parles que tu n'arrives pas à enlever la pièce. Elle est retenue par les durites.
Et puis, tu t'imagines quoi, abruti ? Que c'est cette simple résistance qui chauffe l'air. Bien sûr, que le gros du truc est assuré par le passage de l'air à travers un radiateur relié au moteur.
Je me foutrais des claques.
Décision 1 : réparer les volets (parce que dans cette pièce qui ne bouge pas, et pour cause, il y a deux volets - je les vois, bordel) sur place. Mais il va me falloir beaucoup de patience. À l'envers, la tête en bas, couché sous le tableau de bord, quasiment à l'aveugle. Du boulot de merde quoi.
Décisions 2 : débrancher le radiateur et tout ce que ça implique. Vidange du circuit de refroidissement (il n'y a pas de robinet de vidange sur ma bagnole, ça se fait en démontant une durite, il n'y pas de solution facile pour récupérer convenablement le liquide sans en foutre partout), du liquide de partout dans la bagnole (parce que ce radiateur dans l'habitacle, tu ne sais pas le vider), reremplissage du circuit d'eau après l'intervention. Et encore un peu plus de temps de perdu.
Bref, là tu viens de passer une journée complète, une partie du circuit d'air est encore accroché à la voiture, les réparations ne sont pas faites et la moitié de la bagnole est démontée.
Mercredi :
Tant pis, décision 2.
J'ai tout débranché et la pièce ne vient toujours pas.
J'en arrive à la conclusion que je dois enlever totalement le tableau de bord, ce qui me permettra d'enlever une pièce qui dégagera la seule pièce qui m'occupe.
Pour bien faire, je devrais enlever le volant et le commodo. J'y renonce.
Tant bien que mal (vas-y que je tire sur le tableau de bord, que je pousse, que je lève, avec les pieds, avec la tête - c'est bien beau, mais quand tu n'as que deux bras et qu'ils te servent à tenir le tableau de bord, tu n'as plus de membres disponibles pour t'occuper d'enlever les autres pièces), j'arrive enfin à sortir ma grosse pièce. J'en profite (comme convenu) pour me tapisser le froc de liquide de refroidissement.
Dans tout ça, bonne nouvelle.
J'ai réussi à réparer les volets (il suffit de coller à la néoprène de la mousse pas trop dense mais pas trop de piètre qualité - j'ai pris le pari de coller du filtre de hotte aspirante tel que préconisé par mon garagiste). Au passage, je me suis planté un tournevis dans la main car j'ai du désolidariser la grosse pièce pour sortir l'un des volets. Et je fais toujours la même erreur, je plante un tournevis là où c'est clipsé et je fais levier, je tire, le tournevis ripe... et je saigne.
Jeudi :
Il n'y a plus qu'à tout remonter.
Et j'ai intérêt à tout remonter dans la journée parce que j'ai besoin de la voiture vendredi. Du fait que celle de ma femme est utilisée par ma gamine qui a flingué la sienne (@Toum'aï que la casse ne m'a reprise que pour la moitié du prix de la tienne - quand ça veut pas).

@Louisjoudig tu vas certainement trouver des fautes dans ce message. J'ai tenté de faire attention, mais vu la longueur...
Et merci, au fait, pour l'explication sur la position du point final avec les guillemets. Je n'ai pas souvenir de l'avoir appris.