Un pti coup de superglue ou de colle néoprène, ça devrait suffire à eviter la chourre en 2 secondes, non ? Encore qu'il faudrait que le malandrin™ en trouve une autre dans la rue, et il ne doit plus y en avoir beaucoup.
Pas le genre de la maison.
Pas de pose définitive ou semi-définitive.
J'en serais malade.
Ces bagnoles ne courent plus trop les rues, effectivement. Mais j'en croise au moins deux assez souvent dans mon coin (ça fera 4 avec les deux miennes). Dont une absolument superbe. D'un vert bouteille du plus bel effet. Conduite (je vous le donne en mille) par un type relativement de mon âge. Et je me dis à chaque fois que je vais le suivre pour lui demander si, par hasard, il n'a pas envie de s'en débarrasser (enfin quoi merde, qui veut conduire un vieux ravan comme ça ?).
Ce genre de pièce doit coûter trois francs six sous, les gens sont malhonnêtes à ce point ? Je suis sûr que ça se récupère pour quelques euros dans une casse…
Les clignos : 10 balles en adaptable.
C'est pas excessif mais ça fait vraiment chier de se les faire voler.
Avant que je ne remette les mains sérieusement dans cette bagnole, on a essayé de me voler un cligno. Mais bon, il était dans un tel état que le mec l'a laissé. Sans prendre la peine de le reposer.
Quand tu retrouves ta caisse avec un cligno qui pendouille, tu comprends de suite ce qu'il s'est passé.
Les baguettes tu n'en trouves plus en neuf. Et ça ne court pas les rues en casse.
Il te faut écumer les groupes d'aficionados qui vendent leur bagnole à la pièce.
Et là, c'est rare que le type te lâche une seule baguette. Selon le sacro-saint principe que c'est toujours plus avantageux pour lui de vendre un lot complet.
Moralité : au mieux, ça te coûte un bras.
Alors, les gens sont malhonnêtes ?
Certains, oui.
Pour moi c'est plié. Si, plus jeune, je n'avais aucun scrupule à me servir sur une autre bagnole (je parle d'une époque où il y avait encore pas mal de ces bagnoles en circulation), j'en suis incapable maintenant. Je me mets à la place du type qui va retrouver sa caisse dépouillée (à cause d'un connard - passez-moi le gros mot) et ça me fait tellement chier pour lui que je passe mon chemin.