Marges et bords de coupe Photoshop/InDesign/AdobeReader

Comment oses tu lever les yeux et m'adresser la parole sans y avoir été invité ?
Pardon Maître :zen: désolé, je ne recommencerai plus :zen:


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brucetheplayboy a dit:
Oui, je suis d'accord sur le papier que c'est la solution optimale SAUF que dans ta proposition, je ne peux pas appliquer d'effets sur mon logo (biseautage, dégradé)... :(

Ce qui m'amène à une question finale. Est ce que le meilleur compromis dans mon cas n'est pas : dans ID, :
- insérer mon image de fond
- insérer mon logo avec tous ses effets en .psd
- insérer un texte grâce à l'outil texte d'ID.
Oui, ça peut être un bon compromis : au moins tu auras le texte en vectoriel, un PDF avec des repères de coupes, des bords-perdus et tout ce qu'il faut pour ne pas dépayser l'imprimeur ;) ...

... quant au logo, c'est à toi de choisir entre des effets dans Photoshop qui dégradent la qualité du logo ou un logo tout vectoriel bien net...
 
A propos des logos biseautés, dégradés, etc. : http://goo.gl/1BDv

;)

Heureusement, je ne me reconnais pas dans cette description. Les effets que j'ai mis sont vraiment légers : juste un biseau sur 2-3px et une ombre pour donner un peu de relief. Tout cela sur une forme en applat blanc!

J'ai déjà lu pas mal d'articles sur ce blog et l'humour y est décapant! :up:
Par contre, le terme "professionnel" de l'article, je l'associe à des compétences et à la qualité du rendu et pas seulement le fait d'avoir une vraie licence Adobe. Il y a quand même des guignols qui sont en freelance et qui facture n'importe quoi. Étant amateur, je ne tire aucun revenu de cela, je le fais à titre personnel mais je peux dire que mon taff est parfois bien supérieur à un auto-entrepreneur infographiste du dimanche qui me tondrait pour un torchon fait en 5mn comme décris dans l'article. (C'était ma minute humilité :cool::D).

Oui, ça peut être un bon compromis : au moins tu auras le texte en vectoriel, un PDF avec des repères de coupes, des bords-perdus et tout ce qu'il faut pour ne pas dépayser l'imprimeur ...

... quant au logo, c'est à toi de choisir entre des effets dans Photoshop qui dégradent la qualité du logo ou un logo tout vectoriel bien net...

Au final, je suis tes conseils claude72 pour essayer et voir le résultat (par rapport à d'autres travaux) :).
Le fait que l'effet appliqué soit vraiment très peu marqué m'a poussé à tester la version vectorielle.

J'ai donc :
- retouché ma photo de fond avec PS
- inséré le psd de cette photo dans ID (bitmap pour bitmap, soyons fous!:siffle:)
- inséré mon logo vectoriel
- créé une plage de texte pour ma ligne de texte.
Et j'ai trouvé où était mon erreur pour cette histoire de bords de coupe!
=> bref, j'ai fais un pdf correct pour mon imprimeur.

Petite digression finale : j'ai comparé la version "vectorielle" et la version "effets via PS", et le constat est sans appel : à partir de 400% ça craint un peu concernant le bitmap...

Merci à tous pour avoir éclairé ma lanterne de passionné encore une fois! :zen: :up:
 
Mauvaise habitude, surtout... parceque quand tu aplatis tu pixellises le texte !!!

(et tu dégages défnitivement les infos vectorielles du texte, donc il n'y a plus aucune possibilité de le recupérer en vectoriel :()

Précisons tout de même que je n'aplatis jamais sans avoir auparavant enregistré en PSD pour les éventuelles modifs ultérieures.
 
Précisons tout de même que je n'aplatis jamais sans avoir auparavant enregistré en PSD pour les éventuelles modifs ultérieures.
C'est doublement contre-productif puisque tu dois gérer 2 versions pour 2 fichiers !
==> Il faut importer des PSD ! (ou des Photoshop-PDF s'il y a du texte).

;)
 
Je fais comme ccciolll. J'applatis et j'insère mes PSD et conserve une version éditable.
(Pareil pour mes fichiers AI. Je vectorise tous mes textes avant l'envoi d'une version finale tout en conservant la version éditable).

C'est doublement contre-productif puisque tu dois gérer 2 versions pour 2 fichiers !
==> Il faut importer des PSD ! (ou des Photoshop-PDF s'il y a du texte).

;)

Mais justement, ce PSD non applati ne risque pas de foutre le bazar en raison du nombre important de calques, de masques, d'ajustements et d'effets qu'il contient (lors de l'import dans ID)? :confused:

En revanche, un PSD applati vu qu'il "fige" l'image à l'instant t, il n'y a aucun risque que les réglages soient modifiés par ID car ils n'existent plus! En gros, pour moi ça limite le risque d'avoir des problèmes de conversion entre PS et ID.

Me fourvoie-je? ( :D )
 
Je fais comme ccciolll. J'applatis et j'insère mes PSD et conserve une version éditable.
(Pareil pour mes fichiers AI. Je vectorise tous mes textes avant l'envoi d'une version finale tout en conservant la version éditable).
Ah les mauvais !
Il y a des coups de pied au c.l qui se perdent…
:rateau:

Vectoriser des fichiers AI…
smiley-violence-332.gif

Monstre !
:eek: :rolleyes: :(



Mais justement, ce PSD non applati ne risque pas de foutre le bazar en raison du nombre important de calques, de masques, d'ajustements et d'effets qu'il contient (lors de l'import dans ID)?
En revanche, un PSD applati vu qu'il "fige" l'image à l'instant t, il n'y a aucun risque que les réglages soient modifiés par ID car ils n'existent plus! En gros, pour moi ça limite le risque d'avoir des problèmes de conversion entre PS et ID.
Me fourvoie-je? ( :D )
Oui, complètement. Tu es triplement contre-productif. :p

Comme il est démontré dans le document cité précédemment, quand on importe dans InDesign (ou XPress) un PSD contenant du texte celui est pixelisé à la résolution de l'image.

Pourquoi ?
Parce-que quand on enregistre en PSD cela génère automatiquement une "nouvelle couche" composite et aplatie de l'image. "Couche" qui se présente exactement comme une image au format TIFF.

C'est l'image aplatie contenue dans cette "couche" qui est utilisée par les logiciels de mise en page et rien d'autre, parce-qu'il est (ou devrait être) évident que ce n'est pas un logiciel de mise en page (même InDesign) qui pourrait calculer le rendu des calques de réglages, de remplissage, ou n'importe quelle autre fonction de Photoshop.

Alors utiliser un PSD aplati ou un PSD non-aplati cela revient exactement au même pour le logiciel de mise en page puisque dans tous les cas c'est toujours cette "couche" aplatie et précalculée par Photoshop qui est utilisée.
Il suffit d'essayer pour s'en convaincre.

C'est pour cette raison que j'insiste lourdement à chaque occasion sur le fait qu'il faut utiliser des fichiers Photoshop-PDF quand il y a du texte dedans car il n'est pas pixélisé comme dans un PSD.

:zen:
 
Dernière édition:
Je comprend ce que tu veux dire.
Moi je m'intéressais surtout au fait que les différents calques (et toutes les options/ajustements/effets attenants) soient bien "lus" par ID alors que toi, tu parles des textes et de la qualité finale du document, qui est allègrement dégradée...

Pour grossir le trait, tu viens de m'expliquer que je prends du temps pour (essayer de) faire de belles choses qui sont "encodés" par PS en .psd puis lu avec perte d'infos dans ID... (puisqu'il décode de façon simplifié)
Dur pour le moral ce sujet! :rose: mais tellement formateur :up:

magicPDF a dit:
Vectoriser des fichiers AI…
Monstre !
Bah quoi ? :heu:
Au moins, y'a plus aucun soucis de polices en print :D

Pour bien parler de la même chose : je travaille mon document AI avec des marges de coupe et tout le blabla, je vectorise tous mes textes à la fin et j'exporte en pdf pour mon imprimeur.
À part le fait de ne pas travailler sous ID pour être vraiment dans les règles de l'art, je vois pas bien où est le problème!?
 
C'est l'image aplatie contenue dans cette "couche" qui est utilisée par les logiciels de mise en page et rien d'autre, parce-qu'il est (ou devrait être) évident que ce n'est pas un logiciel de mise en page (même InDesign) qui pourrait calculer le rendu des calques de réglages, de remplissage, ou n'importe quelle autre fonction de Photoshop.
Aussi parceque InDesign NE SAIT PAS LIRE (toutes) les données du fichier .PSD... car seul Photoshop sait lire ses données !

(de la même manière que InDesign ne sait pas lire des données natives Illustrator .AI, que seul Illustrator sait lire ses propres données natives... et c'est donc la raison pour laquelle un fichier .AI ne peut être importé dans InDesign QUE si c'est un .AI hybride qui contient en plus un PDF)



C'est pour cette raison que j'insiste lourdement à chaque occasion sur le fait qu'il faut utiliser des fichiers Photoshop-PDF quand il y a du texte dedans car il n'est pas pixélisé comme dans un PSD.
Et que moi j'insiste encore plus lourdement sur le fait QU'IL NE FAUT PAS FAIRE DE TEXTE DANS PHOTOSHOP !!! (ce qui est une solution encore plus efficace, car beaucoup plus radicale... :rolleyes:)


********


Je fais comme ccciolll. J'applatis et j'insère mes PSD et conserve une version éditable.
Ça m'arrive aussi... mais dans ce cas je garde le fichier original en .PSD, et j'enregistre le fichier aplati en TIFF, ce qui permet de les différencier plus facilement.
(et accessoirement évite d'avoir à changer le nom pour l'enregistrement !)



Pour grossir le trait, tu viens de m'expliquer que je prends du temps pour (essayer de) faire de belles choses qui sont "encodés" par PS en .psd puis lu avec perte d'infos dans ID... (puisqu'il décode de façon simplifié)
Dur pour le moral ce sujet! :rose: mais tellement formateur :up:
Pour une remettre une couche, en fait tu prends du temps pour faire de belles choses, qu'ensuite tu détruits à cause d'une mauvaise utilisation des logiciels et des formats de fichiers...
 
Ça m'arrive aussi... mais dans ce cas je garde le fichier original en .PSD, et j'enregistre le fichier aplati en TIFF, ce qui permet de les différencier plus facilement.
(et accessoirement évite d'avoir à changer le nom pour l'enregistrement !)
Toi aussi tu es contre-productif !
;)

==> Tu peux enregistrer directement tes images en TIFF-6 (transparence et multi-calque), format qui peut s'utiliser exactement comme le format PSD.
Avantage : avec la bonne option de compression activée (ZIP) les TIFF sont toujours plus légers que les PSD.
Inconvénient : InDesign ne permet pas d'accéder aux "Options de calques" pour les TIFF importés.

Exemple : http://abracadabrapdf.net/parking/PhoSchool/Tripoly_2.tif

:)
 
Pour une remettre une couche, en fait tu prends du temps pour faire de belles choses, qu'ensuite tu détruits à cause d'une mauvaise utilisation des logiciels et des formats de fichiers...

Un bouquin, un site à me proposer?
J'avoue que j'ai appris à me servir des fonctionnalités de la suite adobe avant d'apprendre l'utilisation de chaque logiciel et forcément il en découle de mauvaises habitudes (voire des non-sens).
 
Cela dit, un TIFF aplati est tout de même bien plus léger qu'un PSD (ou qu'un TIFF transparent) avec ses calques, ses masques de fusion, ses grandes images qui débordent de la zone de travail ou de la partie visible du masque de fusion, ses calques de travail non activés mais qu'on garde au cas où (variantes, etc… qui peuvent être très nombreuses). Comme les seuls textes rarement présent dans un fichier photoshop sont des gros titres pleins d'effets spéciaux qu'on ne pourrait pas obtenir autrement dans des corps élevés, la conservation des textes au format texte n'est plus une justification suffisante. Donc utiliser un PSD lourd pour l'import dans QXP7 (en espérant que ça marche) ne me parait pas nettement plus productif que de faire un TIFF aplati à la fin du travail photoshop pour importer qqchose de léger et inamovible dans sa mise en page.

Non ?

EDIT : je viens de faire le test avec un fichier que j'ai travaillé récemment.

Le PSD pèse 39,7 Mo
Le TIF non aplati en LZW pèse 37,7 Mo
Le TIF non aplati en ZIp et compression calques ZIP pèse 22 Mo
Le TIF aplati en LZW pèse 4,7 Mo

La comparaison est vite faite, tout de même.
5 fois moins lourd que le meilleur TIFF non aplati, presque 9 fois moins que le PSD

D'ailleurs, je me demande bien pourquoi le TIF non aplati, même LZW, pèse moins que le PSD. Il y a un fichier de prévue dans un PSD maintenant ?
 
Dernière édition:
Si je comprend bien tu utilises un PSD de 39,7 Mo + un TIFF aplati de 4,7 Mo.
Soit 44,7 Mo d'espace disque au total.

Moi j'utilise un seul TIFF de 22 Mo, soit environ deux fois moins d'espace disque que toi…
;)


De plus il faut que tu comptes le temps supplémentaire perdu à gérer deux fichiers : ouvrir le PSD, l'enregistrer, l'enregistrer-sous TIFF, et ensuite mise à jour du TIFF dans la mise en page.

Moi je clique-droit sur l'image : modifier, enregistrer, et c'est terminé. Sans risque d'erreur.
Et comme je travaille avec InDesign je peux modifier directement l'affichage des calques et des compositions de calques, sans avoir besoin de Photoshop.
C'est à dire qu'un seul et même fichier peut être utilisé plusieurs fois pour réprésenter une image différente.
;)

C'est pour ça que je qualifie ta méthode de "doublement contre-productive".
Cependant, ccciolll tu es le seul qui trouve grâce à mes yeux car je sais que tu travailles avec l'XPressosaurus Septus et il est bien possible que tu ne puisses faire autrement.
:)


Un PSD pèse plus lourd parce-que c'est un format de travail qui privilégie la vitesse d'enregistrement et qui donc utilise une compression "légère" et rapide (la compression ZIP est plus efficace mais beaucoup plus gourmande en calculs).

---------- Nouveau message ajouté à 13h48 ---------- Le message précédent a été envoyé à 13h23 ----------

Un bouquin, un site à me proposer?
==> http://abracadabrapdf.net/file/Memento_entree-sortie_InDesign.pdf
et
==> http://www.branislavmilic.com/indesign/

:up:
 
Dernière édition:
De la place sur le DD, il y en a, mais quand les fichiers doivent voyager (par Numéris dans le temps, par mail aujourd'hui), la différence entre 22 et 4,7 Mo, ça compte. (et peut-être, mais là je n'ai aucune certitude, qu'un TIff de 4,7 pèsera moins à l'usage dans le logiciel de mise en page qu'un Tiff-6 de 22 Mo ou un PSD de 39,7 (ce qui peut aussi compter sur des machines faibles ou dans des gros catalogues)).

Mais bon, la question du transfert de fichier c'est aussi parce que je préfère envoyer le fichier + les images + les polices plutôt qu'un PDF que j'aurai mal réalisé. C'est sûr que si après tu exportes tout dans un PDF qui te compacte tes images en JPG à la volée, la question du poids ne se pose plus au même endroit.

J'ai fait des essais d'import dans QX7

Le PSD s'importe mais avec le message d'erreur suivant : PSD Import ne prend pas actuellement en charge les modes d'effets ou d'ajustement de couleurs dans les calques de cette image. PSD import va utiliser l'image composite imbriquée. [10039]
Je ne sais pas si ça veut dire que je peux vraiment l'utiliser tel quel et espérer l'imprimer convenablement.

Le TIF non aplati en LZW s'importe apparemment sans souci.
Pas testé de l'imprimer, néanmoins.

le TIF non aplati en ZIP avec calques en ZIP ne s'importe pas, message d'erreur : Impossible de lire ce format de fichier TIFF. (#259,8) [68]
 
C'est sûr que si après tu exportes tout dans un PDF qui te compacte tes images en JPG à la volée, la question du poids ne se pose plus au même endroit.
C'est ce que je fait, jamais plus je n'enverrais un fichier natif…
(Sauf si le client-payeur insiste)

J'ai fait des essais d'import dans QX7
Le PSD s'importe mais avec le message d'erreur suivant : PSD Import ne prend pas actuellement en charge les modes d'effets ou d'ajustement de couleurs dans les calques de cette image. PSD import va utiliser l'image composite imbriquée. [10039]
Je ne sais pas si ça veut dire que je peux vraiment l'utiliser tel quel et espérer l'imprimer convenablement.
Le TIF non aplati en LZW s'importe apparemment sans souci.
Pas testé de l'imprimer, néanmoins.
le TIF non aplati en ZIP avec calques en ZIP ne s'importe pas, message d'erreur : Impossible de lire ce format de fichier TIFF. (#259,8) [68]
[/QUOTE]
Avec XPress 7 ou Scribus je ne dis pas, mais avec InDesign ce type de processus est sans soucis.

;)
 
Toi aussi tu es contre-productif !
;)

==> Tu peux enregistrer directement tes images en TIFF-6 (transparence et multi-calque), format qui peut s'utiliser exactement comme le format PSD.
Oui, mais non...

Quand je bosse sur des images simples, tout est en TIFF et aplati...

... et quand je fais la différence entre les images aplaties et les images non-aplaties, c'est parceque j'ai travaillé sur l'image et que je veux garder une différence entre les images de travail (non-aplaties) et les images d'import (aplaties)... et dans ce cas, j'utilise le PSD pour les non-aplaties et le TIFF pour les aplaties, et c'est l'extension du fichier qui fait la différence et me sert de repère !
Le plus souvent, j'utilise cette méthode pour des scanns, avec, par exemple, le 1er PSD qui sera en 16 bit par couche, en RVB et à 600 ppi, avec des calques de réglages, des masques, etc. alors que le TIFF final en 8 bits et en CMJN à 255 ppi (avec éventuellement plusieurs PSD à plusieurs étapes d'avancement du travail, et plusieurs TIFF pour des utilisations différentes...)

Ensuite parcequ'avec mes vieux RIP, il valait mieux que je leur fasse bouffer des images matricielles aplaties !

(et moi aussi je bossais avec XPress quand les clients me donnaient des fichiers XPress !!!)