Niconemo a dit:Bientôt la SNCF s'appellera volynis, celilo, ou un truc comme ça et fera des sandwiches :sick:
D'ailleurs je tiens à signaler en passant que chez Carré Noir (pour ceux qui veulent jeter un coup d'½il à ce brontosaure du graphisme) ils ont une grosse expérience dans le congelé !
Pour ceux qui n'ont pas compris la justesse et la pertinence de ce fabuleux logo, petit récapitulatif à l'intention des récalcitrants :
L'écriture a trouvé ses racines fondatrices dans le logo moisi de 1937. Tout en ne s'inspirant pas de ce patrimoine culturel de la gastronomie française (le sandwich SNCF), la nouvelle typographie taillée dans le jambon introduit un véritable appétit (fincancier) d'idées nouvelles et colorées (c'est déjà ça) et incarne dans ce sens une entreprise psychédélique qui a tout prouvé musicalement depuis la création du jingle sonore de quai (repris par Daft Punk sur leur dernier opus, si si le truc en boucle...) et du cochon grillé à l'initiative de bons piquets de grèves barbecue. Dans cet esprit créatif, les contrôleurs de train aussi bigarrés que chaleureux ont toujours eu soin de transmettre cet esprit (vif comme le TER) d'entreprise enthousiaste auprès des usagers de train en leur rendant leur billet assorti d'une joyeuse amende bien ferme et dans le respect de l'histoire du train et bien derrière ses valeurs humanistes (bien cachées).
Les capitales du logo donnent de l'impuissance et des majuscules partout... (ça gratte sévère). Intimement nouées, elles évoquent l'esprit d'équipage moite qui amène à la douche et à une tentative d'explication cramoisie du concept de la réalisation de la savonnette (d'où la forme du logo et le petit coté émoussé). L'écriture entièrement mal dessinée, souple et pourtant fluide manifeste le glissement et la souplesse d'une poignée de main d'un agent SNCF toujours au repos dans la poche de sa toute nouvelle tunique rouge et rose.
Au fait, 67 000 euros c'est le prix de la charte graphique complète pas du logo quand même (enfin... vous me foutez le doute là....)