Jean Philae-Chemise, scientifique respecté, propose d'envoyer la chemise, bien repassée, sur la comète pour s'excuser auprès des extraterrestres de leur expédier des ro-bobos paresseux.
Actualités amusantes... Ou pas [V.4].
- Créateur du sujet Nephou
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Reste plus que les joueurs et les journalistes sportifs, et on aura enfin la paix... [/mode Grégoire Moulin off]
Perso, jappelle ça du racket.
http://www.lefigaro.fr/secteur/high...mplace-la-publicite-en-ligne-par-des-dons.php
http://www.lefigaro.fr/secteur/high...mplace-la-publicite-en-ligne-par-des-dons.php
M
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Invité
Il a apris alire et a ecrire
On appelle ça l'évaluation "bienveillante"... De quoi vous faire regretter la malveillance.
On appelle ça l'évaluation "bienveillante"... De quoi vous faire regretter la malveillance.
Il a apris alire et a ecrire
On appelle ça l'évaluation "bienveillante"... De quoi vous faire regretter la malveillance.
Une copie de 4e !!?? :eek:
Le correcteur nest pas terrible non plus : piroge ? Même OS X est meilleur que lui.
Un cheval qui apprend à voler à des ânes.
Pour le reste, tout est dit dans larticle de ce professeur de lettre.
Je voudrais t'y voir : à la fin on manque d'y perdre notre orthographe (de toute manière, dans ma matière on ne note plus les fautes et il est clair qu'on ne peut pas prendre le temps de les souligner toutes, du coup).
M
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Invité
Bof, comme a dit le Président de la FCPE, Paul Raoul, lors de la rentrée 2013, "les enseignants sont là au service des enfants comme la caissière est là au service des clients" : http://tempsreel.nouvelobs.com/educ...ree-scolaire-assez-mitigee-selon-la-fcpe.html
Il y a des figures de style qui en apprennent beaucoup sur leur auteur.
Il y a des figures de style qui en apprennent beaucoup sur leur auteur.
Tu ne comprends pas : il ne fait que manifester son respect pour les caissières.
Sans rire, c'est là qu'on se fait piéger : gueuler revient à te prendre des : "quoi ? tu méprise les caissières".
Ce n’est pas plus respectueux envers les caissières. Les deux professions sont vues comme les domestiques de la consommation de masse.
Il aurait pu évoquer les vendeurs en rayon qui sont au contact du client dans une optique de conseil, d’information. La caissière est à la caisse. Si elle doit faire preuve d’amabilité commerciale, son premier emploi est d’encaisser l’argent.
La caissière, c’est le lumpenprolétariat des hyper-marchés. Perçue comme exécutant des tâches simples et répétitives. L’O.S. n’est plus à la chaine de production mais à celle de la consommation.
Choisir la caissière et définir son emploi de la sorte, c’est marquer un double mépris, celui des enseignants, et celui des caissières. Le monsieur ne se prend pas pour de la merde, mais il considère comme tel les autres.
Après de tels propos, parlez de revalorisation du métier d’enseignant en France…
Il aurait pu évoquer les vendeurs en rayon qui sont au contact du client dans une optique de conseil, d’information. La caissière est à la caisse. Si elle doit faire preuve d’amabilité commerciale, son premier emploi est d’encaisser l’argent.
La caissière, c’est le lumpenprolétariat des hyper-marchés. Perçue comme exécutant des tâches simples et répétitives. L’O.S. n’est plus à la chaine de production mais à celle de la consommation.
Choisir la caissière et définir son emploi de la sorte, c’est marquer un double mépris, celui des enseignants, et celui des caissières. Le monsieur ne se prend pas pour de la merde, mais il considère comme tel les autres.
Après de tels propos, parlez de revalorisation du métier d’enseignant en France…
Dernière édition:
Aucune incompatibilité entre les deux niouzes, bien au contraire... :rateau:
PS : Récemment je lisais le premier tome du Deuxième Sexe de Simone de B. et je n'étais pas forcément convaincu par ce que je lisais (soixante-cinq ans plus tard, les choses ont quand même un peu changé, fort heureusement). Mais là, ce brave Erdogan lui redonne un coup de jeune et son actualité s'affirme de nouveau. Pas de quoi se réjouir, de fait.
PS : Récemment je lisais le premier tome du Deuxième Sexe de Simone de B. et je n'étais pas forcément convaincu par ce que je lisais (soixante-cinq ans plus tard, les choses ont quand même un peu changé, fort heureusement). Mais là, ce brave Erdogan lui redonne un coup de jeune et son actualité s'affirme de nouveau. Pas de quoi se réjouir, de fait.
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