Ben tiens, c'est le principe : je lâche une grosse vanne bien grasse, puis je m'excuse, de toutes façons le but est atteint.Il s'est excusé
Et on voudrait qu'on reprenne confiance dans la politique :vomit:
Pour bien faire, ce serait même plutôt "Veuillez m'excuser" voire, encore mieux : "Je vous prie de m'excuser" (l'absence d'impératif étant préférable, à mes yeux).Ben tiens, c'est le principe : je lâche une grosse vanne bien grasse, puis je m'excuse, de toutes façons le but est atteint.
Pis d'abord on ne dit pas "je m'excuse" mais "excusez moi". Et pour ça il peut toujours courir. Même pas capable d'assumer c'te tête de thon. Et on voudrait qu'on reprenne confiance dans la politique :vomit:
Les managers souffrant du syndrome de l'imposteur favorisent les salariés qui leur ressemblent
Si cela ne fonctionnait que dans l'entreprise, ce serait rassurant. Mais non, y'a pas de raisons…
Ça me fait penser à un syndrome dont je ne retrouve pas le nom : en gros, plus l'entreprise est importante, plus on va trouver d'incompétents dans les postes à responsabilités, parce que de manière plus ou moins consciente, un responsable à un poste X va protéger son emploi en favorisant la nomination au poste X-1 de quelqu'un qui ne menacera pas sa propre carrière.
Je ne sais pas si je suis clair ?
Ça me fait penser à un syndrome dont je ne retrouve pas le nom : en gros, plus l'entreprise est importante, plus on va trouver d'incompétents dans les postes à responsabilités, parce que de manière plus ou moins consciente, un responsable à un poste X va protéger son emploi en favorisant la nomination au poste X-1 de quelqu'un qui ne menacera pas sa propre carrière.
Un petit mélange de "charisme en réunion", de "populisme" dans les départements et "d'art de noyer le poisson" et l'affaire était bouclée avec les félicitations du jury en fin de mission !:muted:
Ton incompétence était une forme de compétence, en résumé ?
Les incompétents peuvent-ils survivre dans n'importe quel métier,
par exemple soudeur ou couvreur ?
Ça ! C'est l'éternel problème de l'évaluation du travail. Et somme toute, il n'y a pas que dans les métiers "intellectuels" (notez les guillemets) que se pose le problème. Qui pourra dire s'il vient de se faire enfler par son garagiste ou si l'onéreuse réparation qu'il vient de vous facturer était si indispensable que ça ? Pas moi en tout cas… Phénomènes similaires en médecine, éducation, et dans bien d'autres domaines.Les incompétents peuvent-ils survivre dans n'importe quel métier,
par exemple soudeur ou couvreur ?
[…] j'oubliais aussi quelques phrases préliminaires toutes faites du style : "C'est VOUS qui avez les compétences ! Moi, je suis simplement là pour les mettre en valeur !" ... ou : "J'ai tellement entendu parler de VOS compétences et de VOTRE efficacité que je me demande pourquoi on m'a confié cette mission ?" ... Et tchac, ils se défoncent toutes et tous pour prouver que tu es inutile et c'est gagné pour les 2 ou 3 mois qui suivent !
J'imagine la fine équipe d'arnaqueurs qu'on aurait pu former : un intellectuel à deux balles et un faux prophète du management… Nos mystifications auraient été imparables.
Déjà tout petit, je n'aimais pas les cons. C'est pas pour ça que je leur saute dessus avec une barre de fer. J'ai même appris à être gentil avec eux (à peu près), parce qu'ils sont nombreux et qu'ils ont parfois du pouvoir.
Faut arrêter de parler des faux artistes, c'est ça leur gagne-pain.[[Mais, du coup, il a dépassé la limite qu'il cherchait à atteindre, on dirait. Ou ce n'est pas valide ?]]
Allez, on en remet une couche...