hier soir je regardais une oeuvre cinématographique du grand réalisateur marc dorcel.
c'était sous-titré et là quel ne fut pas mon choc de lire :
"vas y chéri bouffe moi l'ognon !"
mais quelle dépravation !
Je suis zoutré !!!!! :mad:
hier soir je regardais une oeuvre cinématographique du grand réalisateur marc dorcel.
c'était sous-titré et là quel ne fut pas mon choc de lire :
"vas y chéri bouffe moi l'ognon !"
mais quelle dépravation !
Avec un i (un nid) c'eut été plus mieuxhier soir je regardais une oeuvre cinématographique du grand réalisateur marc dorcel.
c'était sous-titré et là quel ne fut pas mon choc de lire :
"vas y chéri bouffe moi l'ognon !"
mais quelle dépravation !
Article déjà cité.Bof… Si j'aime et continue à utiliser l'orthographe et la grammaire telle que je les ai apprises, je trouve que tout ce vent fait beaucoup de raffut pour rien, ou pas grand chose.
Intéressant fil à lire, tiré d'un forum sur la langue française :
Et un article à lire sur le sujet :
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs...xe-ne-va-pas-disparaitre_4859439_4355770.html
Et là, je ne suis pas contre cette démarche-là. Ce qui n’implique nullement (je le précise parce que je sens bien qu’il vaut mieux que je le fasse, les raccourcis étant rapidement pris…) d’être d’accord avec les marchés évoqués (organe, sexe, drogue, va savoir quoi…)Plutôt que d’adopter sans réfléchir une posture morale condamnant a priori le marché, il est préférable d’analyser nos tabous moraux ; cette analyse revêt un caractère décisif pour la conception d’une bonne politique publique, et se révèle bien plus utile et efficace qu’une attitude émotive fondée sur nos sentiments
moraux comme l’indignation.
un peu comme un exercice de disputatio à l’ancienne.
[...] comme l’expliquait Pierre Bourdieu, l’économie du don et du contredon implique une relation de dépendance, voire de domination du donateur sur le donataire dans le cadre d’une relation de générosité sans calcul, qui peut se traduire par une violence entre les acteurs. Le dogme du renforcement du lien social est donc aussi à questionner. Car une distension du lien social a indéniablement des effets positifs et souhaitables. Le marché nous apprend par exemple à interagir et à connaître des étrangers. Le marché rend moins dépendant d’un prestataire, d’un acteur, d’un monopole. Montesquieu parlait ainsi du « doux commerce ».
Absolument d'accord avec toi.C'est justement ce que ne fait pas Tirole. Il ne peut y avoir de débat lorsqu'on se cantonne dans la caricature ou le déni des arguments des contradicteurs. <...>
La question est légitime (quand on voit tous les donneurs de bons conseils qui ont été de piètres dirigeants ou qui ne s'y sont surtout pas risqué).<...>c'est pas de l'économie c'est de la théologie ce truc. Le marché, nouvelle religion.
et ce monsieur a-t-il déjà dirigé une boite ? (oui je vois venir, je vais me faire traiter de poujado )
D'un autre côté, tous autant que nous sommes avons un avis sur un peu tout (exemple : le présent fil et pleins d'autre dans rien que dans nos forums) et cela ne nous dérange guère. C'est un peu l'arroseur arrosé, quoi.
quel charabia...
c'est pas de l'économie c'est de la théologie ce truc. Le marché, nouvelle religion.
et ce monsieur a-t-il déjà dirigé une boite ? (oui je vois venir, je vais me faire traiter de poujado )