Bonjour à tous.
Je sais que mon message peut en rebuter plus d'un, d'autant plus sur un forum tourné vers l'univers Apple, mais c'est en tant qu'ancien amateur d'Apple que je vous parle. Je ne dis pas "fan" mais bien "amateur" dans la mesure où j'aimais bien, il y a quelques années, regarder régulièrement (tous les jours en fait) les actualités d'apple sur le site de macgeneration, dont je félicite les membres de l'équipe pour leur travail assidu et complet.
L'univers Apple apparaissait, aux yeux des clients, comme une sorte d'idéal de l'entreprise américaine. Avec un boss exigeant, parfois même décrit comme étant "tyrannique", la marque de la pomme a su se distinguer par son originalité, son image de produit "classe", et par la quasi absence du moindre bug. "Le mac ne plante pas contrairement au PC" dit-on souvent. Les produits tierces, tels que l'iPod, l'iPhone, l'iPad, ou encore l'Apple TV, ont su révolutionner chaque domaine dans lesquels ils apparaissaient : le lecteur de musique est devenu intuitif, tous les téléphones modernes sont devenus des smartphones, les tablettes graphiques sont en passe de remplacer les ordinateurs portables (à mon avis, mais là, ça ne tient que d'une intuition, je comprendrais tout à fait un avis contraire ). Tous ces éléments ont conduit à faire d'Apple l'entreprise la plus chère du monde sur la bourse : elle était le symbole de la réussite, quand on sait qu'elle a failli tomber en faillite, quelques années à peine auparavant, en l'absence de son "père spirituel", Steve Jobs.
Aujourd'hui, le père est de nouveau absent, mais définitivement. La transition avait été préparée, le grand manitou ayant dit qu'il ne fallait pas chercher à l'imiter, mais à agir selon une intuition propre, et à travailler selon les nouvelles circonstances. Or, qu'avons-nous reçu de la part d'Apple depuis l'arrivée de Tim Cook ? Un iPhone 5 dérisoire, avec comme seul changement significatif 3 centimètres en plus sur la verticale. Un iPad dit "Résolutionnaire" : certes, la qualité d'image peut avoir son importance, mais cela est-il un changement aussi significatif que n'a pu l'être l'écran tactile, le contrôle vocal, la visioconférence ? De plus, les récents projets de la pomme sont, me semble-t-il, mis en péril : on peut parler du flop de la télévision Apple (pour lequel je pense, Jobs n'aurait jamais lâché, connaissant son caractère hargneux à l'extrême), à cause d'une concurrence dite "trop rude", ou encore de ce projet d'une montre Apple dont l'intérêt me laisse, personnellement, dubitatif. Cela se ressent en général, je pense, comme l'indique le cours de la marque d'Apple qui ne cesse de chuter.
C'est pourquoi je souhaite soulever ces questions : la marque Apple est-elle en perte de vitesse, ou peine-t-elle simplement le temps de cette transition Jobs-Cook, le nouveau directeur devant s'habituer à sa fonction pour faire ensuite du bon travail ? Le problème vient-il réellement de la direction ? Je parlais plus haut de Jobs comme étant celui qui a sauvé l'entreprise, et qui aurait pu rendre les choses différentes, mais peut-être aurait-il subi les mêmes difficultés à la même époque, s'il avait été présent aujourd'hui. Mais bon, je ne me perdrai pas en uchronies, je souhaitais simplement vous dire que, pour les raisons qui viennent d'être dites, je cesse de m'intéresser aux produits Apple. Je travaille sur un Macbook Air et sur un iPhone 4, tous les deux obtenus il y a deux ans, et, si, auparavant, je m'extasiais devant les nouveautés que préparait Apple, je me suis aujourd'hui totalement désintéressé de l'actualité portant sur la firme de Cupertino : ma présence sur le site de macgeneration me le révèle bien : c'est à peine si je m'y rends une fois par mois, et encore, brièvement.
J'aimerais savoir votre avis sur cette question, peut-être des arguments contredisant les miens, ou au contraire des avis allant dans mon sens. J'ai cherché à être le plus clair et le plus juste possible dans ce message : autrefois, nous justifions les prix élevés des produits Apple par le caractère innovateur et performant de la marque. Pouvons-nous tenir le même discours aujourd'hui ?
Un ancien amateur d'Apple.
Je sais que mon message peut en rebuter plus d'un, d'autant plus sur un forum tourné vers l'univers Apple, mais c'est en tant qu'ancien amateur d'Apple que je vous parle. Je ne dis pas "fan" mais bien "amateur" dans la mesure où j'aimais bien, il y a quelques années, regarder régulièrement (tous les jours en fait) les actualités d'apple sur le site de macgeneration, dont je félicite les membres de l'équipe pour leur travail assidu et complet.
L'univers Apple apparaissait, aux yeux des clients, comme une sorte d'idéal de l'entreprise américaine. Avec un boss exigeant, parfois même décrit comme étant "tyrannique", la marque de la pomme a su se distinguer par son originalité, son image de produit "classe", et par la quasi absence du moindre bug. "Le mac ne plante pas contrairement au PC" dit-on souvent. Les produits tierces, tels que l'iPod, l'iPhone, l'iPad, ou encore l'Apple TV, ont su révolutionner chaque domaine dans lesquels ils apparaissaient : le lecteur de musique est devenu intuitif, tous les téléphones modernes sont devenus des smartphones, les tablettes graphiques sont en passe de remplacer les ordinateurs portables (à mon avis, mais là, ça ne tient que d'une intuition, je comprendrais tout à fait un avis contraire ). Tous ces éléments ont conduit à faire d'Apple l'entreprise la plus chère du monde sur la bourse : elle était le symbole de la réussite, quand on sait qu'elle a failli tomber en faillite, quelques années à peine auparavant, en l'absence de son "père spirituel", Steve Jobs.
Aujourd'hui, le père est de nouveau absent, mais définitivement. La transition avait été préparée, le grand manitou ayant dit qu'il ne fallait pas chercher à l'imiter, mais à agir selon une intuition propre, et à travailler selon les nouvelles circonstances. Or, qu'avons-nous reçu de la part d'Apple depuis l'arrivée de Tim Cook ? Un iPhone 5 dérisoire, avec comme seul changement significatif 3 centimètres en plus sur la verticale. Un iPad dit "Résolutionnaire" : certes, la qualité d'image peut avoir son importance, mais cela est-il un changement aussi significatif que n'a pu l'être l'écran tactile, le contrôle vocal, la visioconférence ? De plus, les récents projets de la pomme sont, me semble-t-il, mis en péril : on peut parler du flop de la télévision Apple (pour lequel je pense, Jobs n'aurait jamais lâché, connaissant son caractère hargneux à l'extrême), à cause d'une concurrence dite "trop rude", ou encore de ce projet d'une montre Apple dont l'intérêt me laisse, personnellement, dubitatif. Cela se ressent en général, je pense, comme l'indique le cours de la marque d'Apple qui ne cesse de chuter.
C'est pourquoi je souhaite soulever ces questions : la marque Apple est-elle en perte de vitesse, ou peine-t-elle simplement le temps de cette transition Jobs-Cook, le nouveau directeur devant s'habituer à sa fonction pour faire ensuite du bon travail ? Le problème vient-il réellement de la direction ? Je parlais plus haut de Jobs comme étant celui qui a sauvé l'entreprise, et qui aurait pu rendre les choses différentes, mais peut-être aurait-il subi les mêmes difficultés à la même époque, s'il avait été présent aujourd'hui. Mais bon, je ne me perdrai pas en uchronies, je souhaitais simplement vous dire que, pour les raisons qui viennent d'être dites, je cesse de m'intéresser aux produits Apple. Je travaille sur un Macbook Air et sur un iPhone 4, tous les deux obtenus il y a deux ans, et, si, auparavant, je m'extasiais devant les nouveautés que préparait Apple, je me suis aujourd'hui totalement désintéressé de l'actualité portant sur la firme de Cupertino : ma présence sur le site de macgeneration me le révèle bien : c'est à peine si je m'y rends une fois par mois, et encore, brièvement.
J'aimerais savoir votre avis sur cette question, peut-être des arguments contredisant les miens, ou au contraire des avis allant dans mon sens. J'ai cherché à être le plus clair et le plus juste possible dans ce message : autrefois, nous justifions les prix élevés des produits Apple par le caractère innovateur et performant de la marque. Pouvons-nous tenir le même discours aujourd'hui ?
Un ancien amateur d'Apple.