Non.Roooh t’as pas un petit magasin de dvd d’occasion en bas de chez toi ???
Et puis je veux voir ça en Blu-ray Disc.
Non.Roooh t’as pas un petit magasin de dvd d’occasion en bas de chez toi ???
Et puis je veux voir ça en Blu-ray Disc.
Bon. Je viens de le revoir et j’ai passé une très bonne soirée, avec un Saint-Julien, Beineix et Bellini.Je viens de me revoir Diva. En tant que symbole de l'esthétique des années 80 c'est insurpassable, par contre le mélange thriller-comédie romantique est nul : c'est un coup tout l'un, un coup tout l'autre, donc ce n'est pas un mélange ! Mais j'aime bien le personnage de Richard Bohringer, même s'il est totalement improbable.
Charlton Eston était dans les années 50 et 60 à la pointe du combat pour les droits civiques. Il était avec Luther King à la marche sur Washington en 1963. Au syndicat des acteurs, il fut un défenseur de la culture et de l’éducation.malheureusement avec Charlton Eston qui n'a pas dû comprendre ce qu'il tournait
La pollution et la nourriture induisent la question démographique. La surpopulation est représentée dans le film. Le procédé de fabrication des denrées renvoie au nécessaire besoin de nourrir l’ensemble des populations – en excès.Film qui est au départ un livre SF, Make Room ! Make Room ! de Harry Harrison.
Comme son titre l’indique, le livre était surtout concentré sur la question démographie alors que le film pose la question de la pollution et de la nourriture. Il s’agit donc d’une réécriture complète et consciente de l’intrigue.
Pas nécessairement. D’ailleurs, dans le film, il y a-t-il vraiment surpopulation ? Il y a une sur-densité humaine dans les villes mais ce n’est pas forcément une surpopulation mondiale.La pollution et la nourriture induisent la question démographique. La surpopulation est représentée dans le film. Le procédé de fabrication des denrées renvoie au nécessaire besoin de nourrir l’ensemble des populations – en excès.
Euh ... c'est un roman ...Une société surpeuplée n’est pas forcément affamée et en voie de déliquescence. Regarde Les cavernes d’acier d’Asimov, 40 milliards d’individus mais une société mondialisée qui fonctionne, qui est gérée.
Oui. Et là, on parle d’un film et d’un livre de SF. C’est aussi du « roman ».Euh ... c'est un roman ...
J'ai eu l'impression que tu énonçais un théorème ...Oui. Et là, on parle d’un film et d’un livre de SF. C’est aussi du « roman ».
Dacodac. La réécriture du roman en film s’est donc acharnée à masquer la question de la surpopulation, sur le papier, en développant l’intrigue autour de ses conséquences désastreuses, à l’écran.Ce n’est pas la surpopulation qui est dénoncée dans le film mais la pollution, l’industrie, la surconsommation, le gaspillage.
Le premier Indiana Jones, Percy Fawcet qui a inspiré Spielberg pour ses Indy, dans The lost city of Z de James Gray trouvé à la médiathèque, passionnant àLe dernier Indiana Jones
déguster chez soi en charentaises, vautré dans un fauteuil club et un 12 ans d'âge à portée de main
J'ai vu.The lost city of Z
Vu hier, trop long de manière générale, et aussi certaines séquences beaucoup trop longues. Il y a aussi trop d’étapes dans l’intrigue, tout ça pour ne passer pas si longtemps que ça sur l’effet de l’object recherché. Pas trop amusant non plus par rapport aux autres.Le dernier Indiana Jones.
Beaucoup, voire trop, de références aux trois premiers, il fallait du fan service pour faire oublier le quatrième ! mais ne chipotons pas : pas nul, mais pas inoubliable non plus.
Un bon moment, qu'on pourrait déguster chez soi en charentaises, vautré dans un fauteuil club et un 12 ans d'âge à portée de main
J'avais un 12 ans dans le fauteuil de cinéma à côté.Le dernier Indiana Jones.
Beaucoup, voire trop, de références aux trois premiers, il fallait du fan service pour faire oublier le quatrième ! mais ne chipotons pas : pas nul, mais pas inoubliable non plus.
Un bon moment, qu'on pourrait déguster chez soi en charentaises, vautré dans un fauteuil club et un 12 ans d'âge à portée de main