C'est pas le bon fil, en effet ... mais ivresse, flacon, tout ça : pourquoi pas (puisque Dylan a écrit des choses).
Enfin, ce que j'en dis, hein ... Comme je le précisais auparavant, je n'aime guère le genre de musique de Dylan (folk-rock ... voix nasillarde ...) mais le personnage est nettement plus sympathique qu'environ les 9/10 (au moins) de ses congénères. Quant à Bowie, je trouve qu'il ne fait des choses bien que lorsqu'il est aidé par la bonne personne (à savoir le brillant Eno).
Revenons aux livres ... En déambulant mélancoliquement à la FNAC cet après-midi, mélancolie due pour l'essentiel au fait qu'il me faille travailler demain et qu'en dépit de cela mon compte en banque est anémique dès ce jour des morts, je repensais à un auteur dont je n'ai plus aucune nouvelle et que j'ai adoré en son temps : Richard Jorif. Relativement inconnu, un brin monomaniaque, centré sur le style et la langue, française en l'occurrence, ce monsieur a écrit de belles pages.
Donc de ce pas je vais relire (et vous engage chaleureusement à le faire) "Clownerie", roman court et captivant, d'une langue superbe, vaguement biographique par certains côtés (je crois), qui se passe dans cette période funeste menant à la guerre mondiale deuxième du nom.
PS : Ce type est suffisamment fada pour avoir essayé de reconstituer des fragments de la vie de Littré à partir des exemples de son dictionnaire qui ne sont attribués à personne. On peut alors penser qu'ils lui ont été inspirés par sa vie propre. Amusant (et quasi oulipien).
Enfin, ce que j'en dis, hein ... Comme je le précisais auparavant, je n'aime guère le genre de musique de Dylan (folk-rock ... voix nasillarde ...) mais le personnage est nettement plus sympathique qu'environ les 9/10 (au moins) de ses congénères. Quant à Bowie, je trouve qu'il ne fait des choses bien que lorsqu'il est aidé par la bonne personne (à savoir le brillant Eno).
Revenons aux livres ... En déambulant mélancoliquement à la FNAC cet après-midi, mélancolie due pour l'essentiel au fait qu'il me faille travailler demain et qu'en dépit de cela mon compte en banque est anémique dès ce jour des morts, je repensais à un auteur dont je n'ai plus aucune nouvelle et que j'ai adoré en son temps : Richard Jorif. Relativement inconnu, un brin monomaniaque, centré sur le style et la langue, française en l'occurrence, ce monsieur a écrit de belles pages.
Donc de ce pas je vais relire (et vous engage chaleureusement à le faire) "Clownerie", roman court et captivant, d'une langue superbe, vaguement biographique par certains côtés (je crois), qui se passe dans cette période funeste menant à la guerre mondiale deuxième du nom.
PS : Ce type est suffisamment fada pour avoir essayé de reconstituer des fragments de la vie de Littré à partir des exemples de son dictionnaire qui ne sont attribués à personne. On peut alors penser qu'ils lui ont été inspirés par sa vie propre. Amusant (et quasi oulipien).