coup de coeur/de pompe littéraire

Merci à Lumai pour m'avoir fait découvrir De bons présages (Good Omens : The Nice and Accurate Prophecies of Agnes Nutter, Witch en anglais), écrit par Terry Pratchett et Neil Gaiman, où sont décrits une Apocalypse hilarante, un Antéchrist adolescent indécis, un Chien de l'Enfer courant après les papillons, deux anges -dont un déchu et l'autre plutôt déçu...- qui ne savent plus vers qui se tourner et les rencontres imprévues d'une chasseur de sorcières et d'une sorcière (ou presque) et d'un autre chasseur de sorcière et de sa voisine*.
Un régal de lecture et d'imagination, avec ou sans connaissance judéo-chrétienne (mais rien n'empêche de se faire l'Originale avant, ça se lit vite ou même le résumé en wiki :D). Ca donnerait presque envie qu'elle arrive vite...

Gros coup de coeur 2009 :love:

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Edith: * et les Cavaliers de l'Apocalypse sont bien accompagnés apr d'authentiques Hell's Angels... quasi du Margerin ceux là :D
 
Je viens de finir l'intégrale des 3 romans de Dexter.
Incroyable.
Le mec part d'une bonne idée et en fait une soupe sans nom dans les deux premiers romans.
L'idée de base a servi pour la création de la série et je dois dire que les scénaristes sont bien meilleurs que le romancier et n'ont pratiquement rien retenu du texte original !
(...)
Bref, à éviter.

Et les romans qui ont servi de base à True Blood, qqun a lu ? :)
 
Je l'ai découvert par "Une vie française" (ed. de l'Olivier - 2004), dont j'ai plutôt apprécié la douce mélancolie. Une façon de revisiter l'histoire de la Vème République à travers une vie singulière, avec les désillusions politiques, la fuite du temps qui passe, fortune et revers de fortune qui arrivent sans que le narrateur y maîtrise au fond quelque chose. Un style plutôt classique, un peu précieux, mais sachant parfois manier l'ironie à la manière d'un pince-sans-rire. Une fin en suspens, symbolique sans être lourde : le narrateur, devenu grand-père doux et dégagé des passions, emmène sa fille schizophrène sur le sommet venté d'une colline et la serre dans ses bras, en espérant qu'un jour elle sortira de sa prison intérieure.

J'ai repris un autre livre de lui, le dernier je crois : "Les accomodements raisonnables", 2008, même éditeur. J'ai retrouvé pas mal d'éléments du précédent (le narrateur est aussi toulousain) avec une composante américaine cette fois-ci. Ecriture toujours aussi classique, mais dont la préciosité finit un peu par agacer. Aux deux-tiers, le livre m'est tombé des mains et j'ai lu en diagonale pour aboutir à la fin. Sans doute une lenteur dans le rythme qui m'a fait décrocher. Autant le ralentissement, synonyme d'extinction progresive des passions, prévalait dans le précédent, autant dans celui-là, l'aspect contemplatif et un peu paumé du narrateur que veut exprimer l'écriture devient lassant. Sa critique de l'Amérique contemporaine, et particulièrement des milieux du cinéma hollywoodien, devient paradoxalement assez pesante, à l'image de ces redondances ironiques faussement subtiles sur des pratiques new-age consistant à boire le jus d'une culture de champignon en bocal. Et puis cette référence à l'élection présidentielle de 2007 rend paradoxalement l'ouvrage daté, et ce qui est un peu balourd c'est la façon de vouloir évoquer les candidats par des surnoms, car nous, lecteurs, savons bien de quoi il s'agit. Oui, mais dans 20 ans ? Qui les reconnaîtra ? Dans "Une vie française", les dirigeants politiques étaient cités dans une perspective historique. Ici, ça ne fonctionne pas.
La thèse que défend le livre, si j'ai bien compris, est diamétralement opposé à celle d'"Une vie française". En substance, elle dit que, sur le tard, la vie peut nous offrir de vivre ce que nous ne pensions pas possible voire à proscrire, ou de revivre ce que nous pensions définitivement emporté.
 
En ce moment : "Bran Mak Morn" de Robert Erwin Howard, éditions Bragelonne...

Fini il y a un petit moment dans la même maison d'édition : Conan "Le Cimmérien"/"L'ordre du dragon"/"Les clous rouges" en trois tomes...

Bientôt : "Solomon Kane" d'encore une fois le même auteur...

Sinon, mon préféré de Lovecraft est "l'Affaire Charles Dexter Ward"

Je suppose que vous connaissez, je pense...

Sinon "La Patrouille du temps" de Poul Anderson, en nouvelles éditions, est fameuse...

Je trouve que ces nouvelles éditions sont bien meilleures que leur versions poches des années 90, surtout dans la traduction qui est enfin impeccable :up:

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Pour en revenir à quelque chose de plus consistant que vos pavés mousseux, voilà de la vraie littérature. Claire, précise, direct, sans détour, et y'a même des images au cas où.

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De rien. :)

ça va faire 24 ans que je ne lis plus "ça", mais ça m'a appris un à lire et à rêver aussi, graphismes épurés comme ceux de Blake&Mortimer, c'est bien !

Je suis un fan de Lewis Carroll : je suis incollable sur sa vie, j'ai même lu en Anglais "In the shadows of dreamchild"/ "Myths and Reality of Lewis Carroll" de Karoline Leach, on en apprend de belles, en fait ça prend un peu le contre-pied de ce qui a été raconté, sur lui depuis Stuart Dodgson Collingwood (son biographe officiel qui a un peu construit la légende) à Morton N. Cohen (1984)... Il faut dire que la réalité décrite est un tantinet moins reluisante, mais cela on s'en doutait ;) On ne lit plus les anciens auteurs de la même façon... Il y'a eu le même mécanisme que pour Mickaël Jackson (le chanteur), en fait, mais cela il faudra le découvrir par vous mêmes ;)

Je ne suis pas néolibéral mais je suis fasciné par "l'ère de tous les possibles" le XIXème siècle, "Le Horla" par exemple, ou "Le rouge et le noir" voire "Les fourberies de Scapin" ou "Sganarelle ou le Malade Imaginaire" , voilà, j'ai quand même retenu ce qu'on me forçait à lire au lycée, ça me plaisait pas mais je me suis nourri l'esprit

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Ca fait 3/4 ans que je cherche un bouquin sans succès...
C'est un livre de SF que j'avais lu il y a pas mal d'années.
J'ai plus aucunes idées du titre ou de l'auteur, trou complet.
En gros, la terre s'empoisonne... l'eau devient peu à peu grouillante de ver ou truc du genre.
Ils sont tous obligé de se casser sur une autre planète. Et ils passent de planètes en planètes.
Ils leur arrivent pleins de trucs chouettes et ils crèvent comme des merdes aussi.

Quelqu'un connaît ? :confused:

Un Philips Kindred Dick par exemple ? Il a utilisé ce thème, c'est quand l'Humanité s'enterre dans un monde dévasté et non utilisable, il envoient la fusée de la dernière chance sur Mars... Pour découvrir qu'il y'a des éons l'humanité avait déjà ravagé la planète "rouge" :D

Bref Phillip Kindred Dick, l'auteur qui déprime tellement que j'ai arrêté avant la fin de l'intégrale de ses nouvelles...

Minority Report ou "Planète Hurlante"(Screamers en anglais) sont de lui...
 
Il est de livres dont on ne sort pas indemne, voire qui bouleversent entièrement votre façon de concevoir l'existence.
Toujours pas remis de ces deux romans éblouissants, je tenais à vous faire partager mon émotion... :love::love::love:
Deux livres indispensables que vous devriez tous lire le plus vite possible :

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Diana PALMER nous conte la passion de Ken et Cindy dans un style ciselé et d'une clarté si forte, si belle que l'on a l'impression que c'est le livre lui-même qui vous parle !!! C'est d'une beauté stupéfiante, saisissante. Je ne veux vous dévoiler l'intrigue si riche, mais sachez que l'un des moments les plus forts se trouve page 64 quand Ken, pour faire plaisir à Cindy, se décide à acquérir une Ford Focus avec option toit ouvrant !!! :love: Jusqu'où peut aller la passion... !!!! J'avoue avoir pleuré à chaudes larmes !!!

Emily MAC KAY nous narre quant à elle l'amour inéluctable qui réunira Stacy et Dylan au cœur du Nevada. Des moments forts, une écriture volcanique qui, malgré sa limitation à 250 mots selon le cahier des charges très strict d'Harlequin, réveille en chacun de nous la ménagère de moins de 50 ans . C'est si beau !!! :love:
 
Voila, ca y est, apres avoir etale la lecture de la trilogie sur plus d'un an, j'ai enfin finit de lire les fameux tomes qui composent la serie Millenium. J'ai bien aime en general. L'histoire evolue tres bien et c'est du bon roman facile a lire, bien documente quand meme et une bonne plongee dans les personnages ...

Je ne m'etale pas trop, on en a deja parle ici ... :rateau: ...
 
Dans la série des polars nordiques, cher Chang, un coup de coeur, glacial et brûlant: entre Suède, Australie, Espagne, Grèce ou Mozambique :
Le cerveau de Kennedy. Troublant et perturbant, je l'ai gardé à distance un moment, pour mieux le dévorer sur la fin.
Ca m'a touché, fait penser aux récits de voyage d'un ami perdu de vue et qui me manque. Entre manipulation, conspiration et paranoïa. Les descriptions de paysage et d'ambiance sont superbes. On rêve d'aller s'échouer sur des plages perdues du Mozambique. Malgré tout.
J'ai pas trouvé la traduction terrible par moment, mauvais décalage dans le vocabulaire, mais sinon, excellent polar, entre -continents- noir et blanc, plein de rage et de peur.
Et si je devais choisir ma route ? Qui sait...

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Les mauvaises (ou médiocres) traductions sont légions pour les polars (la SF aussi, j'ai l'impression) et ce n'est pas nouveau.

Mais parfois, la traduction paraît mauvaise aussi parce que le style de l'auteur est défaillant ;)
 
Les mauvaises (ou médiocres) traductions sont légions pour les polars (la SF aussi, j'ai l'impression) et ce n'est pas nouveau.

Mais parfois, la traduction paraît mauvaise aussi parce que le style de l'auteur est défaillant ;)

En général les traductions françaises dans les éditions poches sont moins brillantes que sur un équivalent "de luxe", je seconde Bompi ce point, parfois c'est hasardeux.
 
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Tout est "très" dans ce bouquin, à lire tout en écoutant.... ;)
 
Découvert il y a plus de 15 ans, séduit d'emblée par son humour absurde, son style enlevé et ses formules, puis lu ensuite ça et là sporadiquement, j'ai décidé de (re)lire avec plus de constance Alexandre Vialatte. En commençant par son "Grand Œuvre" : les chroniques hebdomadaires qu'il a tenues pour le journal auvergnat "La Montagne". Publiées dans la collection "Bouquins - Robert Laffont" pour les années 1952-1961.
La longue préface que lui consacre Charles Dantzig est à la fois un hommage et une très intéressante découverte de l'écrivain. On y voit un être mélancolique, au-délà de l'image auvergnate qui lui colle encore trop à la peau. Germaniste, premier traducteur français de Kafka avec lequel il partage un art consommé de l'absurde. Profondément marqué par la seconde guerre mondiale, depuis la montée du nazisme dont il fut témoin en Allemagne, réchappant ensuite de peu à la folie suite à la Débâcle, et enfin journaliste au procès de Nuremberg.

De la chronique il a fait un "genre" à part entière, au gré de ses envies, de ses humeurs et de son esprit très curieux, ouvert à tout, parfois à "l'avant-garde" (il fut l'un des premiers défenseurs de Dubuffet en son temps). Ses chroniques réunies se lisent comme ça, au hasard, sans ordre, en gambadant. Elles sont propices au butinage. L'expression est un peu vieillotte mais Vialatte était réellement "un homme d'esprit" qui savait que les choses les plus graves ne peuvent se dire qu'avec légèreté.
 
Début avril, au dernier Salon international du livre de Québec (la ville), j'ai finalement acheté le livre de Louis-Bernard Robitaille - que je ne faisais que feuilleter dans les librairies... Un pur régal pour une Québécoise qui s'est fait ramasser de temps en temps par quelques brumeux Français :siffle:... Ça soulage :love:

Sinon, à ce même salon du livre, mon obsession: la bonne bouffe et l'italienne n'est pas désagréable. Voici mon investissement, une merveille de préparations et d'essais, de dégustations, des heures de bonheur:

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Felice Picano, Late in the season

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Si vous avez aimé des auteurs comme Edmund White ou Andrew Holleran, ne passez pas à côté d'un des autres membres du Violet Quill Club. Au début des années 80, ils échangèrent et confrontèrent leur écrits, laissant 30 ans plus tard l'empreinte et le souvenir de l'époque dorée des années 70 pour un certain nombre de gays américains et européens. Après les émeutes de Stonewall, avant le Sida. Sur les 7 écrivains, il en reste 3. Les autres n'auront pas vu le nouveau siècle.

Late in the season, c'est une histoire de trio improbable, la rencontre fortuite d'une jeune fille avec un écrivain. Le cadre : une fin d'été dans le petit paradis qu'est Fire Island, près de New York à la fin des années 70. L'important n'est plus la sexualité des uns et des autres, 30 ans plus tard, il me semble lire des fragments de mon histoire personnelle (ce ne fut pas facile, l'évocation de ma relation avec celui qui a été Prince Charmant comme je l'appelais ici) ou plus généralement sur ce qui fait un couple, sa "durée" et l'effondrement de ses fondations suite à une rencontre improbable et les façons dont on s'en sort. Ou pas.
Et il y a aussi mon agréable surprise, cette réalité d'il y a 30 ans qui explose déjà à la gueule de tout ces culs serrés, ces frileux de la culotte et de la calotte: des familles hétéroclites et recomposées, ribambelles multicolores et joyeuses, loin de ce qu'est la famille traditionnelle bien-pensante, près de ce qu'est la famille comme je la vis et la conçois. Le décor, la teinte, l'odeur de ce roman à deux voix (alternance des récits entre l'écrivain et la jeune fille) me font penser à Cape Cod ou à la côte Atlantique de la région de Royan/La Tremblade, ces odeurs estivales quand le touriste se fait rare, plus discret...
Et surtout savoir que rien n'est jamais défini d'avance, que tout peut arriver. Gardons les sens en éveil, la surprise nous attend tout prêt.
 
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Réactions: Craquounette
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Une grosse claque, impossible hélas à résumer (au moins pire, le mythe d'Orphée complètement revisité dans le Naples actuel)
 
Découvert il y a plus de 15 ans, séduit d'emblée par son humour absurde, son style enlevé et ses formules, puis lu ensuite ça et là sporadiquement, j'ai décidé de (re)lire avec plus de constance Alexandre Vialatte. En commençant par son "Grand Œuvre" : les chroniques hebdomadaires qu'il a tenues pour le journal auvergnat "La Montagne". Publiées dans la collection "Bouquins - Robert Laffont" pour les années 1952-1961.
La longue préface que lui consacre Charles Dantzig est à la fois un hommage et une très intéressante découverte de l'écrivain. On y voit un être mélancolique, au-délà de l'image auvergnate qui lui colle encore trop à la peau. Germaniste, premier traducteur français de Kafka avec lequel il partage un art consommé de l'absurde. Profondément marqué par la seconde guerre mondiale, depuis la montée du nazisme dont il fut témoin en Allemagne, réchappant ensuite de peu à la folie suite à la Débâcle, et enfin journaliste au procès de Nuremberg.

De la chronique il a fait un "genre" à part entière, au gré de ses envies, de ses humeurs et de son esprit très curieux, ouvert à tout, parfois à "l'avant-garde" (il fut l'un des premiers défenseurs de Dubuffet en son temps). Ses chroniques réunies se lisent comme ça, au hasard, sans ordre, en gambadant. Elles sont propices au butinage. L'expression est un peu vieillotte mais Vialatte était réellement "un homme d'esprit" qui savait que les choses les plus graves ne peuvent se dire qu'avec légèreté.

Vialatte, c'est la littérature buissonnière, celle où les cours de récréation s'agrandissent dans la campagne, se perdent dans les genêts : l'enfance n'est jamais très loin mais une enfance avec aussi des cailloux dans les chaussures. L'humour des chroniques est plus parent de celui de Kafka ou de celui de Ionesco que de Bigard. Mais Vialatte, enfin, il me semble, n'arrive jamais à se noyer ni dans le chagrin, ni dans l'absurde, ni dans la nostalgie. Il lui reste toujours la légèreté de l'air des pays qu'il aimait tant.

Et n'hésitez pas à lire, en plus des chroniques (l'avantage des chroniques, c'est qu'on peut en lire une page au hasard deux minutes et décoller aussi sec vers un autre monde), ses romans : Battling le Ténébreux, c'est magique !
 
Je me permets de posetr un petit coup de gueule contre les éditions Tempus. Etant passionné d'histoire, je me suis pris trois livres chez eux

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Si le livre de Joachim Fest est très abordable, il en est tout autre pour les livres de Colette Beaune et surtout Regis Boyer.

Je suis désolé mais si des lecteurs lisent des livres d'histoire, c'est pour apprendre les faits historiques liés à ces époques et évènements. Mais, contre toute attente, ces deux auteurs prennent le parti dès le début que le lecteur a un doctorat dans le domaine et nous sommes littéralement noyés sous les mots savants et les faits qui nous sont inconnus.

Le livre de Regis Boyer est sans doute le pire vu que même si le livre sur Jeanne d'Arc est très difficile à appréhender, on reste sur l'histoire de France. Mais concernant les Vikings, M. Boyer prend un malin plaisir à mettre 5 mots scandinaves par phrase sans aucune traduction la plupart du temps. La lecture de ce livre devient donc vite un calvaire plus fastidieux que réjouissant. J'ai réussi à lire 100 pages sur les 400 mais je ne peux pas aller plus loin, la plupart des faits m'échappant en même temps que j'essaye de comprendre le déroulement des actes.

Si l'idée de cette collection est formidable, la mise en oeuvre est elle beaucoup moins excitante. Dommage car beaucoup de personnes sont intéressées de découvrir les évènements et les coutumes de ces époques mais proposer des livres intéressants et moins abscons serait peut-être une bonne idée.

Je ne prendrai plus le risque de racheter un livre de cette collection sachant que c'est un peu la loterie du style d'écriture.
 
Ben faut voir qu'en histoire, les bouquins sont plus ou moins savants selon le public auquel ils s'adressent.
C'est peut-être une collection dédiée aux universitaires, si c'est le cas c'est à toi de chercher dans des collections plus "tous publics".
 
Le livre de Regis Boyer est sans doute le pire vu que même si le livre sur Jeanne d'Arc est très difficile à appréhender, on reste sur l'histoire de France.
Ouais, ben on est parfois surpris... :D
Vécu en lycée pro à Dieppe au cours d'une intervention...
Une élève : "Jeanne d'Arc ?... Euh... Mais c'est qui cette meuf ?!"

:D :D :D