J'ai essayé cette méthode sans créer de bloc texte dans le gabarit.
En clic maj sans glisser, il crée -sur la page du clic- un bloc texte dont le point y est l'endroit de mon clic et le reste (point x, largeur et hauteur) est soumis aux marges de page, et ensuite crée bien des blocs texte auto dans les pages suivantes, mais calés sur les marge de page.
Si j'essaye un clic-maj + glisser pour déterminer une taille de bloc autres que les marges, déjà, ça ne marche plus (pas de pages suivantes créées).
Mais dans un cas comme dans l'autre, si je n'ai pas créé de bloc texte dans mon gabarit, il va devoir en créer un nouveau (ce qu'on peut voir dans mes tests ci-dessus). Ce nouveau bloc créé aura donc des paramètres vierges qu'il faudra modifier à la main ensuite. Et ce sur chaque page créée, apparemment, puisqu'il se cale sur les limites de page.
Et si j'ai besoin de plusieurs blocs textes dans ma page (95 % des cas) je ne sais même pas comment je vais gérer ça.
Donc, cette méthode du maj-clic à l'import, c'est valable pour des documents avec un seul bloc de texte par page, bloc calé sur les marges et avec des réglages par défaut. (en gros, ce qu'on obtient quand on coche la case « bloc de texte type » au moment de la création du document).
Le cas de l'usage de In Data est un peu différent.
Ce n'est pas l'usage de InData qui ne fonctionne pas, d'ailleurs. Ça, ça marche bien. Ce qui me pose problème c'est la partie tests et développement qui précède le document final prêt pour l'import InData. Pour cette phase de tests et développement, je travaille sur un document fixe, sans me soucier des flux de textes qui interviendront par la suite.
Mais au moment de passer de ce mode document fixe, plus pratique pour les divers tests, au mode document à bloc de texte auto, indispensable pour l'usage de InData, je constate un gros manque de souplesse dans inddCS3.
Ce n'est pas un bug bloquant, mais c'est juste très peu souple.
En clic maj sans glisser, il crée -sur la page du clic- un bloc texte dont le point y est l'endroit de mon clic et le reste (point x, largeur et hauteur) est soumis aux marges de page, et ensuite crée bien des blocs texte auto dans les pages suivantes, mais calés sur les marge de page.
Si j'essaye un clic-maj + glisser pour déterminer une taille de bloc autres que les marges, déjà, ça ne marche plus (pas de pages suivantes créées).
Mais dans un cas comme dans l'autre, si je n'ai pas créé de bloc texte dans mon gabarit, il va devoir en créer un nouveau (ce qu'on peut voir dans mes tests ci-dessus). Ce nouveau bloc créé aura donc des paramètres vierges qu'il faudra modifier à la main ensuite. Et ce sur chaque page créée, apparemment, puisqu'il se cale sur les limites de page.
Et si j'ai besoin de plusieurs blocs textes dans ma page (95 % des cas) je ne sais même pas comment je vais gérer ça.
Donc, cette méthode du maj-clic à l'import, c'est valable pour des documents avec un seul bloc de texte par page, bloc calé sur les marges et avec des réglages par défaut. (en gros, ce qu'on obtient quand on coche la case « bloc de texte type » au moment de la création du document).
Le cas de l'usage de In Data est un peu différent.
Ce n'est pas l'usage de InData qui ne fonctionne pas, d'ailleurs. Ça, ça marche bien. Ce qui me pose problème c'est la partie tests et développement qui précède le document final prêt pour l'import InData. Pour cette phase de tests et développement, je travaille sur un document fixe, sans me soucier des flux de textes qui interviendront par la suite.
Mais au moment de passer de ce mode document fixe, plus pratique pour les divers tests, au mode document à bloc de texte auto, indispensable pour l'usage de InData, je constate un gros manque de souplesse dans inddCS3.
Ce n'est pas un bug bloquant, mais c'est juste très peu souple.