Kelle musik écoutez vous donc ? 3.0

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joeldu18cher a dit:
david gilmour ," red sky at night ", extrait de " on a island" ...
magique
large_123381.jpg
Pas mal, rassemble toutefois à Umma Gumma et Relics (Pink Floyd):cool: :cool:
 
tiens .. puisque on en parle .. quel est l'album le plus zen et planant de pink floyd ? "animals " ? "dark side of the moon"? "wish you were here " ? j'hésite avant de m'en procurer un ...


:rose: :zen:
 
la(n)guille a dit:
Wish you were here est très bien... mais je trouve echoes plus avant gardiste, ceci dit ce n'est que mon point de vue... ;)
avant gardiste ... mais écoutable ....?:siffle: :rose:

j'aime beaucoup l'instrumental "signs of life " de "momentary lapse of reason"
 
oui, écoutable, ce qui est étonnant c'est qu'il y avait les prémisces de la musique éléctronique planante, voire technoïde dans le morceau "echoes", pendant un court moment, et c'était en 1972, forts à l'époque, mais le LSD était encore de bonne qualité (du moins d'après mon père)... ;) :D
 
joeldu18cher a dit:
tiens .. puisque on en parle .. quel est l'album le plus zen et planant de pink floyd ? "animals " ? "dark side of the moon"? "wish you were here " ? j'hésite avant de m'en procurer un ...


:rose: :zen:

Regarde là http://en.wikipedia.org/wiki/Pink_Floyd
En ce qui me concerne, je préfère, mais alors largement, l'avant 1975 avec Umma Gumma, More, Piper in the gate of Dawn, Saurceful of Secrets etc.
Relics (compil assez inconnu) est très bien.
Wish you were here était pour moi le dernier (pas le meilleur toutefois).
L'incovenient des premiers disques est le son, qui était encore à ses débuts de la sophisticaction d'aujourd'hui.
Si on écoute en faisant abstraction de cela.......:love: :love:
Bon, je ne suis pas tout à fait objectif of course, pour moi c'est tout un pan de ma petite vie.
La première fois je les ai vu dans une toute petite salle à Zaandam (à coté d'Amsterdam) en 1965 ou 66 (sais plus), j'étais tout jeunot et je n'ai rien compris. C'est que quelques années plus tard que je me suis réalisé que...:D
La deuxième fois (1969 ou 1970) dans un petit festival dans les dunes (sais plus exactement ou, l'époque était assez confus pour moi:D ), cette fois là j'ai même eu droit à jouer avant eux, tout seul avec la guitare:D
Après, ce n'était plus pareil, la grosse cavalerie, mais bien quand même,:love: :love: :love:
 
la(n)guille a dit:
oui, écoutable, ce qui est étonnant c'est qu'il y avait les prémisces de la musique éléctronique planante, voire technoïde dans le morceau "echoes", pendant un court moment, et c'était en 1972, forts à l'époque, mais le LSD était encore de bonne qualité (du moins d'après mon père)... ;) :D
ça sonne année 70 comme certains titres de cette epoque .. un peu bof bof en sonorités ...
 
la(n)guille a dit:
oui, écoutable, ce qui est étonnant c'est qu'il y avait les prémisces de la musique éléctronique planante, voire technoïde dans le morceau "echoes", pendant un court moment, et c'était en 1972, forts à l'époque, mais le LSD était encore de bonne qualité (du moins d'après mon père)... ;) :D
C'est un peu cela que je voulais dire:D :D
 
la(n)guille a dit:
mais le LSD était encore de bonne qualité (du moins d'après mon père)... ;) :D
Change de fourgue, mon con ! ;) :D

1500 mics dans ma chouffe, j'fais Brest-Lille le temps d'dire ouf !
(faut que j'arrête d'écouter ces conneries de rap pour jeunot, ça pour sur ça rend idiot ! ;) :D)

Edit : la preuve des preuves, je ne sais plus reconnaitre Editer de Citer - Trop la misère, mon frère ! Juré sur la tête d'ta veuve !
 
là, je viens de m'écouter un vieux jam enregistré avec un pote décédé depuis peu mais qui a beaucoup écumé Amiens et en a gardé le meilleur (dédicace à Ed donc ;))

c'était lui...



l'image comporte un lien !
 
Alèm a dit:
là, je viens de m'écouter un vieux jam enregistré avec un pote décédé depuis peu mais qui a beaucoup écumé Amiens et en a gardé le meilleur (dédicace à Ed donc )

c'était lui...

On a du se croiser une paire de fois dans ces lieux de débauches.

;)

:zen:


Bon, ben je vais continuer dans le localisme...

Ouroub... Praise to the world
 
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desiderii_marginis_songs_over_ruins.jpg


Rien que le titre de l’album résume bien la musique qui nous est présentée par Desiderii Marginis. En effet « Songs over ruins » est la musique post apocalyptique par excellence, celle-ci apportant bon nombre de visions à son écoute. On s’imagine en fait au milieu d’un monde ou plus rien n’existerait en dehors des ruines d’un glorieux mais douloureux passé et des cendres encore chaudes de toutes les formes de vies organiques anéanties. Rien en dehors de la poussière soulevée par le vent ne bougerait, et au loin une seule et unique musique s’élèverait et ce serait ce « Songs over ruins ». Pour parvenir à dégager en nous ces visions, Desiderii Marginis aura été piocher des éléments aussi bien dans la musique électronique que dans l’indus. En effet, nous retrouvons un savant mélange entre les claviers harmonieux et froids, les percussions sonnant de manière très martiale et les bruits étranges et inquiétants typique de l’indus. Les premiers incarneraient alors toute la désolation du paysage en présence, la grande déchéance, la fin de tout et exprimeraient au mieux les sentiments qui en découleraient. Les sons industriels quant à eux représenteraient le bruit naturel que ferait des tôles ou des morceaux de ferraille s’entrechoquant muent par le vent, ou bien le son qui s’échapperait d’usines désaffectées et désertées, à la fois troublant et inquiétant mais pourtant fascinant. Les structures des morceaux sont parfaitement établies puisque chaque éléments (et ça foisonnent de détails) présents se chevauchent sans pour autant tomber dans une cacophonie désagréable, mais bien en restant dans cet aspect harmonieux, froid, triste et déprimé. Quelques voix viennent agrémenter l’ensemble, que celles-ci soient de simples narrations ou bien des chœurs religieux apportant cette touche supplémentaire de sérénité, comme si pour les musiciens (et peut être moi même puisque je le ressens ainsi), l’apocalypse était source de bien être, voire même salutaire et salvateur, un véritable purgatoire donc. Une œuvre terriblement envoûtante dont j’ai toujours du mal à me remettre tellement ce qui s’en dégage est fort et prenant. (dimanche 7 septembre 2003).

Tiré de : http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=3651
 
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