WASHINGTON (Reuters) - Microsoft révélera quelques centaines d'éléments du code propriétaire de son système d'exploitation Windows dans les semaines qui viennent.
Le géant de Seattle a annoncé cette décision qui s'inscrit dans la droite ligne de l'accord à l'amiable signé avec le département de la Justice et neuf Etats en novembre dernier.
Cet accord doit toutefois être approuvé par un juge fédéral et il est en outre rejeté par neuf autres Etats qui réclament au juge Colleen Kollar-Kotelly des sanctions plus lourdes contre Microsoft.
Microsoft compte révéler 272 éléments de code et 113 "protocoles" propriétaires que les fabricants de serveurs pourront utiliser sous licence pour harmoniser le fonctionnement de leurs machines avec le bureau Windows.
Il répond ainsi en partie à l'une des principales critiques qui lui avaient été adressées: à savoir de garder le code de Windows secret pour sciemment entraver la concurrence.
"Avec ces nouvelles (révélations), les éditeurs de logiciels auront davantage de choix de développement dans la conception de leurs programmes (sous) Windows", a déclaré Microsoft dans un communiqué.
De fait, de nouvelles modalités pour les accords de licence sont entrées en vigueur le 1er août, a fait savoir Microsoft. Elles s'appliquent uniformément aux 20 premiers constructeurs de machines et seront proposées à d'autres fabricants pareillement.
De surcroît, a ajouté le numéro un mondial des logiciels, les mises à jour à venir de Windows XP permettront aux constructeurs et aux usagers d'ajouter ou de retrancher à loisir certaines applications jusque là soudées à Windows, comme Internet Explorer, Outlook Express ou le Windows Media Player.
Pour le département de la Justice, c'était là un point crucial car, dans son esprit, les constructeurs doivent pouvoir proposer plus de contenu non-Microsoft dans leurs PC.
C'est pourquoi aussi, il a précisé qu'il examinait les nouvelles modalités de licence pour vérifier si elles sont conformes à ce qui est stipulé dans l'accord.
Microsoft a précisé qu'il garderait secrets un protocole de serveur et une "interface de programmation" Windows pour des raisons de sécurité.
Pour le groupe de Bill Gates, comme il l'avait signifié aux tribunaux, il serait catastrophique de dévoiler la totalité des rouages de Windows car cela entraînerait la production de "clones" à grande échelle et l'obligerait à arrêter net tout investissement de recherche et de développement dans le système d'exploitation.
Le géant de Seattle a annoncé cette décision qui s'inscrit dans la droite ligne de l'accord à l'amiable signé avec le département de la Justice et neuf Etats en novembre dernier.
Cet accord doit toutefois être approuvé par un juge fédéral et il est en outre rejeté par neuf autres Etats qui réclament au juge Colleen Kollar-Kotelly des sanctions plus lourdes contre Microsoft.
Microsoft compte révéler 272 éléments de code et 113 "protocoles" propriétaires que les fabricants de serveurs pourront utiliser sous licence pour harmoniser le fonctionnement de leurs machines avec le bureau Windows.
Il répond ainsi en partie à l'une des principales critiques qui lui avaient été adressées: à savoir de garder le code de Windows secret pour sciemment entraver la concurrence.
"Avec ces nouvelles (révélations), les éditeurs de logiciels auront davantage de choix de développement dans la conception de leurs programmes (sous) Windows", a déclaré Microsoft dans un communiqué.
De fait, de nouvelles modalités pour les accords de licence sont entrées en vigueur le 1er août, a fait savoir Microsoft. Elles s'appliquent uniformément aux 20 premiers constructeurs de machines et seront proposées à d'autres fabricants pareillement.
De surcroît, a ajouté le numéro un mondial des logiciels, les mises à jour à venir de Windows XP permettront aux constructeurs et aux usagers d'ajouter ou de retrancher à loisir certaines applications jusque là soudées à Windows, comme Internet Explorer, Outlook Express ou le Windows Media Player.
Pour le département de la Justice, c'était là un point crucial car, dans son esprit, les constructeurs doivent pouvoir proposer plus de contenu non-Microsoft dans leurs PC.
C'est pourquoi aussi, il a précisé qu'il examinait les nouvelles modalités de licence pour vérifier si elles sont conformes à ce qui est stipulé dans l'accord.
Microsoft a précisé qu'il garderait secrets un protocole de serveur et une "interface de programmation" Windows pour des raisons de sécurité.
Pour le groupe de Bill Gates, comme il l'avait signifié aux tribunaux, il serait catastrophique de dévoiler la totalité des rouages de Windows car cela entraînerait la production de "clones" à grande échelle et l'obligerait à arrêter net tout investissement de recherche et de développement dans le système d'exploitation.