Actualités amusantes... Ou pas [V.4].

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Faire de la masturbation un viol contre soi-même, c'est assez fort :eek:

Je n'y aurais jamais pensé :D
 
J'essaye de me persuader que c'est un fake...


Heu... Ce site est juste un gigantesque Gorafi spécialisé à propos de la masturbation.
J'aimerais bien en connaitre la genèse (pas de la masturbation, mais du site), par contre. Les mecs qui font ce trucs sont déchainés ;)

Sinon, c'est plein de délires sympas (dont certains me rappellent furieusement South Park) : j'ai bien aimé l'article village de Sibérie qui a disparu à cause de l'impact environnemental de l'activité masturbatoire asiatique. Après ce qui est à la fois jubilatoire et déstabilisant, ce sont les réactions et commentaires des internautes. Là, on sait plus du tout ce qui relève du fake ou de la réalité : certains sont franchement inquiétants.
J'ai mis quelques "Pray for" ici et là :D

Sinon, pas de panique : l'objet est juste un assemblage taquin de diverses attelles.
 
Dernière édition:
ils oublient que pour beaucoup, la masturbation est l'introduction à la géographie.

Combien d'entre nous avons nous découvert la dérive des incontinents grace à la main de god? Compris les phénomènes climatiques en engendrant des flux incontrôlables à cote desquels les Tsunami sont à l'humanité ce que sont les ruisseaux?

Et la physique? "tout volume plongé dans un liquide déplace son même volume". Ah!

Hein? dites?
 
Et la physique? "tout volume plongé dans un liquide déplace son même volume". Ah!



Hein? dites?

Je dis que si à chaque fois tu te retrouves plongé dans suffisamment de volume pour déplacer ton corps, et ben, respect.

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C'était donc toi ?
:D
 

"Peu importe ce que je sens si ce que je vois ne me plaît pas" déclare une des participantes. Tu m'étonnes. En dépit des fantasmes les phéromones ne jouent aucun rôle dans l'humanité pour la même raison qu'elles n'en jouent pas chez les autres grands singes ou les cétacés : comme eux nous ne sommes pas équipés des récepteurs pour les recevoir et les zones associées dans le cerveau (pour les analyser) n'existent pas. Le récepteur en question est l'organe de Jacobson qui, s'il avait existé en nous serait dans notre palais.
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Ce fil est d'une grande richesse : philosophie, physique, SVT...
 
"Peu importe ce que je sens si ce que je vois ne me plaît pas" déclare une des participantes. Tu m'étonnes. En dépit des fantasmes les phéromones ne jouent aucun rôle dans l'humanité pour la même raison qu'elles n'en jouent pas chez les autres grands singes ou les cétacés : comme eux nous ne sommes pas équipés des récepteurs pour les recevoir et les zones associées dans le cerveau (pour les analyser) n'existent pas. Le récepteur en question est l'organe de Jacobson qui, s'il avait existé en nous serait dans notre palais.
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Je n'ose imaginer les plats que l'on aurait pu avoir si c'était le cas :eek:
Jarret de porc, ses Knödel, et sa sauce à la bière & aux phéromones :sick:
 
Une étude de 1995, dans laquelle des femmes devaient renifler des t-shirts imprégnés de sueur masculine et choisir celui qui leur plaisait le plus, a montré que les femmes étaient attirées par les T-shirts portés par les hommes dont le système immunitaire différait le plus fortement du leur. Ces préférences étaient inversées lorsque les femmes du groupe-témoin prenaient des contraceptifs oraux.

http://www.coherer.org/pub/mhc.pdf (en anglais)
 
Il y a d'assez nombreuses études de ce genre ; ce que je me demande c'est ce qu'en déduisent les scientifiques (ou supposés tels) qui les mènent ? Ça débouche sur quelque chose ces études ?
 
J'ai vu il n'y a pas longtemps dans un émission scientifique : dans une salle d'attente occupée par des femmes on avait imprégné un siège de phéromones mâles, durant la journée aucune femme ne s'est assises sur cette chaise.
 
À part suggérer aux femmes qui recherchent un partenaire de ne pas se prononcer sur le désir que leur inspire une odeur corporelle lorsqu'elle prennent la pilule, ni avant d'avoir réellement reniflé la sueur non-masquée par le parfum de l'homme en question, l'étude que j'ai citée ne semble mèner à rien de concret. Et le fait de choisir un partenaire génétiquement proche ne débouche probablement pas sur des inconvénients automatiques tels qu'ils justifient une paranoïa liée aux odeurs ou le choix d'une stricte politique d'abstinence sexuelle de la part des femmes enrhumées (quoique cela puisse attirer certains pervers raffinés, si j'en crois mes souvenirs, peut-être embellis par le temps, du passage de Lolita où Humbert Humbert tire une jouissance particulière de ses ébats avec sa jeune amante/victime enrhumée et enfiévrée…
redface.gif
).

Par contre, c'est un peu plus intéressant du point de vue de l'anthropologie, dans la mesure où cela apporte des éléments de réflexion intéressants sur la question toujours débattue des déterminants biologiques et/ou cuturels de la prohibition de l'inceste : les humains disposent-ils d'un sens particulier qui leur permettrait instinctivement d'éviter l'accouplement avec des partenaires génétiquement trop proches d'eux ?
 
Il y a d'assez nombreuses études de ce genre ; ce que je me demande c'est ce qu'en déduisent les scientifiques (ou supposés tels) qui les mènent ? Ça débouche sur quelque chose ces études ?

Non, rien de concret.
Ah, si, les spays de phéromones pour empêcher les chats mal castrés de pisser sur tes canapés en cuir.
Sinon, c'est vrai que c'est assez à la mode ces courants neuro-physho-pharmaco-biologistes qui expliquent réduire à des sécrétions diverses endocrines ou exocrines nos émotions, sentiments et comportements. C'est toujours un grand moment quand ils viennent faire une communication dans un congrès ou un truc du genre. J'ai comme ça un souvenir encore ému de ces italiens venus nous expliquer que l'attachement à un partenaire était lié à "la sécrétion d'ocytocine déclenchée au cours du coït vaginal". Un rare moment de poésie romantique qui nous ouvre des pans entiers d'une nouvelle médecine consacrée au traitement de l'attachement anormal à divers objets (voire à certains légumes).

---------- Nouveau message ajouté à 15h29 ---------- Le message précédent a été envoyé à 15h25 ----------

Sinon, toutes les bouches ne sont pas aussi faciles à nourrir (ou : avoir les crocs, pour certains, c'est pas une petite plaisanterie).
Et dire qu'il aurait pu devenir un requin de la finance, soupire sa mère.

---------- Nouveau message ajouté à 15h32 ---------- Le message précédent a été envoyé à 15h29 ----------

http://www.lemonde.fr/ameriques/bre...-va-etre-a-nouveau-autorise_4463385_3222.html

«*Les États-Unis sont le seul pays à être passé de la barbarie à la décadence sans connaître la civilisation.*»
Georges Clemenceau

Ouaip.
Allez tirer un coup dans les quartiers chauds, ça veut pas du tout dire la même chose que chez nous, là bas.
 
De quoi encore augmenter la criminalité :mad:

Non. Le taux de criminalité est en chute marquée aux États-Unis depuis le pic des années 80. Le taux d'homicide par armes à feu a notamment diminué, en dépit d'une forte progression du nombre d'armes en circulation. Il n'y a clairement pas de corrélation observable entre les deux, même si cela paraît effectivement contre-intuitif.

http://www.disastercenter.com/crime/uscrime.htm

http://www.pewsocialtrends.org/2013/05/07/gun-homicide-rate-down-49-since-1993-peak-public-unaware/
 
Non. Le taux de criminalité est en chute marquée aux États-Unis depuis le pic des années 80. Le taux d'homicide par armes à feu a notamment diminué, en dépit d'une forte progression du nombre d'armes en circulation. Il n'y a clairement pas de corrélation observable entre les deux, même si cela paraît effectivement contre-intuitif.

http://www.disastercenter.com/crime/uscrime.htm

http://www.pewsocialtrends.org/2013/05/07/gun-homicide-rate-down-49-since-1993-peak-public-unaware/

Ah, oui, effectivement.
Mais bon :
http://www.lemonde.fr/ameriques/art...s-a-feu-30-000-morts-par-an_1813806_3222.html
Et il y a ici et dans la page du Guardian qui y est référencée une statistique état par état qui montre bien qu'on ne peut pas raisonner pour les USA globalement, et qui fait comprendre que l'état de Washington a quelque velléité de légiférer à propos des armes ;)
Et quand même, dans beaucoup d'études épidémiologiques médicales il existe une corrélation très claire (et logique) entre la disponibilité d'un dispositif létal dans un groupe de population et le taux de mortalité lié à celui-ci (pour le suicide c'est complètement établi, pour le meurtre, il y a pas mal de papiers, quand même, sans oublier les accidents).

Je reste donc dubitatif...
 
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