J'ai revu "Meurtre dans un jardin anglais" de peter grennaway (1981) avec la célèbre musique de michael nyman et je me suis bien régalé... C'est un film à tiroir où la forme compte autant que le fond... Une histoire esthétique Un jardin à revisiter en dvd chez Mk2
Hmmm ... Rien n'a changé, doncun film pessimiste sur les fondements de l'amérique: le dénuement, l'argent, la cupidité, la violence, l'obscurantisme religieux...
Je ne voulais pas être dur envers RW : c'est un ratage, voilà tout. Perso, je ne connais pas Fred Vargas (les romans policiers ne m'intéressent plus beaucoup).regis warnier (sans importance)...
je n'ai pas vu le film, mais j'ai lu le livre avec délectation comme tous les livres de fred vargas.
(difficile tout de même d'incarner à l'écran un personnage aussi atypique qu'adamsberg et l'humour, les ambiances de vargas...).
je n'irai pas voir le film, je me l'étais dit une première fois (sauf traquenard style campagne pluvieuse et quelqu'un ramène çà) et merci pour me le redire une deuxième fois...
Quel beau film ! Un choc il y a 27 ans quand je l'ai vu !J'ai revu "Meurtre dans un jardin anglais" de peter grennaway (1981) avec la célèbre musique de michael nyman et je me suis bien régalé... C'est un film à tiroir où la forme compte autant que le fond... Une histoire esthétique Un jardin à revisiter en dvd chez Mk2
Enfin, j'ai revu une fois et demie "The Host"(Gwoemul) de Joon-ho Bong : j'en ai déjà dit ici le plus grand bien et je persiste ! C'est vraiment un magnifique film, à tout point de vue.
J'appuie en retour !! Memories of murder est excellent en effet. On y retrouve Kang-ho Song (le Park Gang-Du de The Host), vraiment épatant.
Ça fait plaisir, ce cinéma : à la fois maîtrisé et un peu fou, classique mais un brin déjanté. Et réciproquement.
Ce soir chez Tadéï , il y avait un double entretien de Besson et Annaud... Ah, JJ Annaud... J'avais 12 ans et c'était la première fois que j'allais au ciné sans les parents et j'avais vu "Le nom de la Rose"... Je ne m'en suis jamais remis. J'ai dû le voir par la suite une trentaine de fois (entre 1987 et aujourd'hui). Et même si je connais la fin, et même si j'ai lu le livre, et même si j'ai eu d'autres coups de coeur filmiques, je ne peux pas oublier cette sauvageonne qui aimait fréquenter la nuit venue les cuisines malodorantes d'une abbaye dont il vaut mieux taire le nom... ...
Bon, ben on a loué ce film hier...ça faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas tant filer d'espoir_le dernier c'était Fight Club_ V comme Vendetta, c'est une sorte de 1984 light, un pamphlet anti Bush & Tatcher, un hymne à la liberté, un retour sur l'histoire américaine et anglaise...bref, ça m'a filer une p..... de patate. Certains trouverons ça trés politique, mais je regrette de ne pas l'avoir vu sur grand écran. Même si on à l'impression de retrouver des morceaux de matrix dedans, j'ai retrouvé l'espoir ! Je sais, ça peut paraitre con, mais en ces temps, où l'on entend nos braves élus vomir du répression, sanction, punition à chaque phrase ...on se dit que peut-être un jour, le grand soir pourrait arriver (sic!), et comme de plus en plus d'entre nous on de moins en moins de choses à perdre......Wikipédia en parle bien, sans tous déflorer, aller ouar
Allez je sens le banissement proche, je sors !:siffle: