De la vie des macgéens

Le 7h est cuit, le 12h est emballé dans du papier alu avec dés de tomates, oignons, courgettes et le tout confit ensemble.


Et l’ail dans tout ça ?!

Hier il en manquait… Aujourd’hui il n’y en a plus !?
 
Et l’ail dans tout ça ?!

Hier il en manquait… Aujourd’hui il n’y en a plus !?
Faut que je t'explique comment il faut assaisoner le gigot avant de l'emballer avec les légumes ? Ahlala, ces rouennais, sortis du canard au sang ils sont perdus zz-.gif
 
Faut que je t'explique comment il faut assaisoner le gigot avant de l'emballer avec les légumes ? Ahlala, ces rouennais, sortis du canard au sang ils sont perdus Voir la pièce jointe 258421
Pffff… Garde-la ta recette ! Internet est mon ami ! Il me dira quoi faire des gousses ! :smuggrin:
 
  • J’adore
Réactions: Romuald
Dans le fion les gousses , dans le fion...:)
 
Après un petit séjour à Perpignan, pour faire plaisir aux amis de @TimeCapsule qui gèrent la ville, je vous signale deux excellents petits restos dans le cœur de ville:


(ils servent un Maury à ne pas manquer)


(12, rue de la Révolution Française, ça ne s'invente pas !)

A l'hôtel de ville, la salle des mariages est en visite libre, on y est accueilli par une charmante dame de couleur. Qui a dit qu'ils étaient racistes ?
 
A l'hôtel de ville, la salle des mariages est en visite libre, on y est accueilli par une charmante dame de couleur. Qui a dit qu'ils étaient racistes ?
J'ai toujours été amusé par ces personnes qui, parlant d'un être humain, éprouvent le besoin de faire référence à leur couleur de peau !
 
Pourquoi faire des émojis de toutes les couleurs ?
Pourquoi faire des shampooings pour cheveux crépus ?
Pourquoi faire des cosmétiques pour les peaux noires ?
T'as raison, les noirs n'ont qu'à mettre de la crème à bronzer comme tout le monde, enfin comme les blancs quoi...

Tu sais les noirs savent qu'ils sont noirs.
Moi j'aime les femmes noires, et si on me demande quelle type de femme j'aime et bien je le dis, j'aime les femmes noires. Comment je pourrais le dire autrement ?

Faut arrêter de se masturber le cerveau avec ça. Ce n'est pas ça le racisme, le racisme c'est associer une couleur de peau à un cliché à la con. Si la femme qui accueilli @boninmi était de couleur ça ne tient d'aucun racisme de le préciser pour illustrer son propos sur la "couleur" politique locale.

Si il avait dit je me suis fait voler mon portefeuille à Perpignan par un noir alors là on aurait pu commencer à débattre.
 
  • J’adore
Réactions: boninmi et Human-Fly
Les « noirs » sont rarement noirs. Ils procèdent le plus souvent de toutes sortes de variations de bruns. Les « blancs » ne sont pas plus blancs. En modélisme, du temps où j’en faisais, on appelait ça couleur « chair ». Les asiatiques, les « jaunes », nous voient comme des « cochons roses ». Ce sont eux les « blancs ». Nous sommes tous des « hommes de couleur » de couleurs indéfinies.

Le descriptif ne me dérange pas plus que « blond », « roux », « brun », grand, petit, gros (= légèrement enveloppé). Ça dépend du contexte.

Sur la crème à bronzer, je me souviens d’une amie « de couleur » un été en Vendée qui se tapait de sacrés coups de soleils malgré sa peau brune. Normal, elle était de Paris. À la fin des vacances, elle avait les marques du maillot car elle était aussi très pudique.

Ma jeunesse… à l’époque on ne posait pas ces problématiques. Il paraît qu’on « progresse ». Ah bon ?!
 
  • J’aime
Réactions: aCLR
@TimeCapsule est tellement premier degré que je me sens obligé d'en rajouter une couche. :)
Nous mettons un pied dans le quartier gitan. Nous constatons qu'il est nettement moins rénové que le cœur de ville. Des maisons sont étayées pour éviter l'effondrement. Un monsieur nous aborde (bouteille de vin sous le bras, pas l'air gitan pour deux sous, semblant déjà un peu imbibé tôt dans la journée). Il nous demande ce que nous cherchons et nous répondons que nous nous promenons. "Ici, c'est les bas fonds" nous indique-t-il. Ce qui est factuellement inexact, le quartier est sur une hauteur à cet endroit.
 
  • Haha
Réactions: Human-Fly
Sinon, vous écrivez comme vous voulez, mais en français, s'agissant d'une personne on parle d'un Noir ou d'un Blanc avec une majuscule si ces mots sont des substantifs.
Pour dire que Machln est noir ou que Truc est blanc, les mots en question sont des adjectifs et prennent dans ce cas une minuscule.

:)


(Après, tout le monde fait des fautes (de frappe ou autre), et je ne fais pas exception. :merci:)
 
Belle tentative !
Pas un sul mot à retrancher à mon post !

PS : attention à tes genoux !


Pour moi, ton post n'est nullement scandaleux.
Il y a eu dans ces échanges des posts que j'ai préférés à d'autres. C'est tout.
Et en ce qui me concerne, il n'y a personne que je puisse accuser ni d'ailleurs soupçonner de racisme à la lecture de ce petit dialogue, qui gagnerait à davantage de sérénité, à mon humble avis.

Et je ne redoute rien concernant mes genoux, ni concernant mes chevilles non plus d'ailleurs.
C'est ma colonne vertébrale qui est en compote.
Le reste de mon ossature est plus ou moins normal, et je ne redoute rien à ce sujet, ni dans les prochaines heures ni sur un plus long terme.
 
À propos de gigot d'agneau et d'ail, ce n'est pas la saison pour l'ail des ours ?

À quelle saison trouve-t-on l'ail des ours ? C'est incomparable ! :happy:
Je me rappelle d’un automne où un pote avait emménagé dans une maison juchée au flanc d’un bois. Le printemps suivant, il vit poindre des centaines de feuilles du talus herbeux. N’y connaissant pas grand chose en botanique, il cru voir du muguet en devenir – et la montagne d’or qui l’attendait le jour de la fête du travail. Plus la floraison avançait, plus il rêvait de son pactole. Habituellement fainéant sur la fermeture de son portail, l’idée qu’un malandrin vienne lui faucher son talus le poussait à s’enfermer à double tour. Jusqu’au matin où les premières fleurs sortirent d’entre les feuilles. Une immense déception l’envahît ! De rage, il passa la tondeuse pour faire disparaître ce rêve devenu cauchemar ! :smuggrin: :dead:
 
Je me rappelle d’un automne où un pote avait emménagé dans une maison juchée au flanc d’un bois. Le printemps suivant, il vit poindre des centaines de feuilles du talus herbeux. N’y connaissant pas grand chose en botanique, il cru voir du muguet en devenir – et la montagne d’or qui l’attendait le jour de la fête du travail. Plus la floraison avançait, plus il rêvait de son pactole. Habituellement fainéant sur la fermeture de son portail, l’idée qu’un malandrin vienne lui faucher son talus le poussait à s’enfermer à double tour. Jusqu’au matin où les premières fleurs sortirent d’entre les feuilles. Une immense déception l’envahît ! De rage, il passa la tondeuse pour faire disparaître ce rêve devenu cauchemar ! :smuggrin: :dead:
Enfin ! Au moins qui suit ! :hilarious: