Tout ceci me rappelle les innombrables : "Putain, putain, merde, vite, vite, file-moi une presse, trouve moi une presse, une serre-joint, là, là-bas, va voir dans la remise, plus grand, tiens le truc ici, appuie, attends je reviens, merde, merde, ça commence à prendre, on va l'avoir dans l'os, redonne-moi un serre joint, l'éponge, où est l'éponge ?, ça coule, va mouiller l'éponge, elle est où la bassine ?, Janine ?!?!! (ça c'est ma mère), t'as pris la bassine ou quoi ?, elle est où ta mère ?, pourquoi elle répond pas ?, merde tiens j'en ai plein les doigts, file-moi un torchon, va chercher une casserole de ta mère avec de l'eau, ramène un autre serre-joint, ça colle merde vite" de toutes les fois où je me suis retrouvé coincé comme petite main avec mon père alors qu'il était décidé à coller un assemblage en bois.
Une situation qui commençait pourtant toujours par le discours suivant : "Quand tu dois coller quelque chose, tu commences par faire l'assemblage à sec, ça te permet de savoir comment tu mets tes presses. Et seulement quand t'es prêt, tu mets la colle".
Merci papa.
Je fais tout comme toi. À part que moi y a jamais personne pour me filer un coup de main.
Merci maman aussi.
Je sais pas ce que tu as bien pu raconter à ma femme, mais elle aussi fait tout comme toi. Elle ne répond jamais quand je cherche la bassine.
Une situation qui commençait pourtant toujours par le discours suivant : "Quand tu dois coller quelque chose, tu commences par faire l'assemblage à sec, ça te permet de savoir comment tu mets tes presses. Et seulement quand t'es prêt, tu mets la colle".
Merci papa.
Je fais tout comme toi. À part que moi y a jamais personne pour me filer un coup de main.
Merci maman aussi.
Je sais pas ce que tu as bien pu raconter à ma femme, mais elle aussi fait tout comme toi. Elle ne répond jamais quand je cherche la bassine.