De la vie des macgéens

Tu n'es pas si vieux si tu n'as connu que la numérotation à huit chiffres !
Chez ma grand-mère, j'ai connu le boîtier du téléphone sur le mur et l'obligation de passer par une opératrice pour obtenir une communication ... Quelque temps après, j'ai connu aussi le cadran qui permettait d'appeler uniquement en Belgique en formant le numéro du correspondant - Je me souviens encore du n° de téléphone de ma grand-mère ... le 314 !!!! o_O

Tout ceci ne nous rajeunit pas ! :arghh:
 
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Depuis mon école en 6ème. Nous n'avions pas l'automatique. Je me souviens d'une fois ou il avait fallu vider l'école, (pension où en restait 15 jours) tout le monde était malade. Je me vois encore décrocher ce téléphone parler à l'opératrice et lui donner le téléphone à me passer. C'était M. le curé on avait pas encore le téléphone à la maison !
 
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C'était M. le curé on avait pas encore le téléphone à la maison !
Mes parents n'ont jamais eu le téléphone à la maison ... Pour passer un appel on allait au salon de coiffure à côté ... J'avoue que j'en profitais pour reluquer les jeunes coiffeuses toutes aussi avenantes les unes que les autres ! :sorry:
 
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Et tu as réussi à pécho ?
 
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S'il a suivis les conseils de Patlek
Je pense qu'il se s'est pris une bonne baffe plutôt. Surtout si sa mère était là avec lui :)
:hilarious: ... Vers 8/9 ans on n'est pas véritablement équipé pour pécho ! ... :hilarious:
Mais on me donnait des bonbons ... :kiss:
 
Bin moi, j'ai jamais sauté en parachute, et je ne ferai jamais... :nailbiting:
Souvenir...

En panne d’idées pour l’anniversaire des 20 ans de notre gamine, sa mère et moi lui demandons ce qui lui ferait plaisir pour fêter ça dignement.

- un saut en parachute ! :oops:

Ayant déniché l’école ad hoc, nous y allons un dimanche matin (RdV à 8 heures).
Formation durant toute la matinée pour sauter avant le déjeuner.
À l’heure dite, nous voyons un stick de 7 « sauteurs » embarquer dans un bimoteur.
Un moniteur restait au sol près de la cible, avec un lien radio avec chacun des sauteurs numérotés de 1 à 7.
L’engin décolle et la bonne altitude atteinte, largue un sauteur à chaque passage en prenant de l’altitude entre les deux de manière à les « étager » en vertical.
Par chance, ma gamine sautait en #7 avec deux avantages : saut au plus haut, et, surtout, suivi des instructions données à ceux qui la précédaient et l’effet obtenu.

Résultat des courses, la petite se pose à 1 m du centre de la croix cible en faisant un seul pas pour poser fièrement le pied au centre, avec un sourire d’une oreille à l’autre !
Évidemment, la papa était tout fier en se disant que, tout compte fait, il aurait dû l’accompagner !

Beaucoup moins fier quand il s’est aperçu qu’il avait mal enclanché la pellicule dans mon Olympus ! :mad:
 
- un saut en parachute ! :oops:
:up: ... Belle activité dont elle gardera un bon souvenir toute sa vie ! En plus, le saut en lui-même, s'il constitue le point d'orgue de "l'aventure" est précédé de toute la préparation et de l'écolage qui voit monter l'adrénaline au fur et à mesure - C'est top !!!

Par contre, un jour, on m'a proposé un saut à l'élastique ... que j'ai refusé d'office par crainte - je dirais même par "peur atroce" ! :woot:
Sauter d'un point fixe avec l'élastique aux chevilles, dans un silence de mort, très peu pour moi malgré le nombre important de sauts en parachute que j'avais au compteur !
Les seules fois ou j'ai éprouvé vraiment de la peur, c'était quand on devait sauter d'un hélico en statique juste au-dessus de l'eau ... je détestais ça, surtout qu'il fallait utiliser des parachutes américains avec un système de "push" qui permettait, en une pression de se libérer du parachute avant de toucher l'eau pour éviter de s'empêtrer dedans ! :arghh:
Heureusement qu'on tombait dans l'eau... ça évitait de voir que j'avais pissé dans mon froc ! :hilarious: ... :sorry:
 
J'étais un peu anti-militariste mais surtout je skiais tous les jours en saison à la montagne, et ça je ne voulais pas qu'on me le retire.
Me suis engagé dans les commandos à 17 ans...
 
Depuis mon école en 6ème. Nous n'avions pas l'automatique. Je me souviens d'une fois ou il avait fallu vider l'école, (pension où en restait 15 jours) tout le monde était malade. Je me vois encore décrocher ce téléphone parler à l'opératrice et lui donner le téléphone à me passer. C'était M. le curé on avait pas encore le téléphone à la maison !
Chez nous; le premier n° était le 5; le 5 tout simplement...
et 1 seul poste pour toute la brigade de gendarmerie. Et pas de clavier, juste cette manette qu'il fallait faire aller pour avoir l'opératrice...
 
Après ça, voici une histoire vraie...
Un couple a besoin d'une nouvelle armoire et va donc en acheter une à monter soi-même dans un grand magasin de bricolage bien connu. :siffle:
Il se trouve que le vendeur est un voisin dans l'immeuble de ce couple.
Ils reviennent à la maison avec ce kit à monter, assez haut de gamme quand même... :up:
À ce moment, il faut que je précise que l'immeuble en question fait trois étages, est assez ancien mais en bon état, et est situé sur une rue assez passante.
Après plusieurs heures passées à étudier le plan :brb:, compter les fixations, charnières et serrures, l'armoire est enfin montée un dimanche soir. :wacky:
Le lendemain, en rentrant du boulot pour manger, la femme retrouve l'armoire en vrac par terre.
Le soir elle attend sont mari et devant le tas de planches, ils se mettent d'accord pour dire que les fixations n'étaient pas assez serrées. :woot:
Le lendemain matin, la femme se prépare à partir au boulot, (son époux est déjà parti), quand elle entend passer le bus en bas dans la rue et immédiatement le bruit de l'armoire qui s'effondre... :bag:
Elle descend sonner chez le voisin vendeur qui n'est pas encore parti au boulot, il lui explique qu'il passera voir l'armoire en fin d'après-midi. :writer:
La femme arrive, le vendeur aide à remonter l'armoire, puis accepte de boire une petite bière de remerciement.
À ce moment, un bus passe dans la rue, et boum ! L'armoire s'écroule... :hungover:
Là le gars, il se prend la tête et sa trousse à outils, remonte à nouveau l'armoire et rentre dedans afin de vérifier les fixations. :rage:
19h, le mari rentre du travail et entend du bruit dans l'armoire. :nailbiting:
il ouvre la porte et voit le vendeur dedans... :jawdrop:
Le gars lui dit : "Vous allez pas me croire, j'attends le bus"... :happy:



:smuggrin:
 
Le lendemain, en rentrant du boulot pour manger, la femme retrouve l'armoire en vrac par terre.
J'ai rien compris à l'histoire. Il est où le problème ? Qu'est-ce qui faisait s'écrouler l'armoire finalement ?
 
Vous voulez une autre histoire de ma vie de jeune ?
J'attends les ouais !!!!
Vous verrez, celle-là elle est pas mal... :woot:
:bag: :wacky::jawdrop::siffle::pompous::yawn::writer: