Mon nouveau départ est synonyme de résignation
Sous un malentendu ça peut marcher !
J’avais trop envie de le noter ça.
Plus sérieusement, sous mes airs de dure à cuire, je suis quelqu’un de mentalement fragile, j'ai grandi et appris à prendre sur moi, c’est ma décision d’abdiquer.
Toutes les épreuves que la vie m’a faite endurées m’ont développé un nouvel état d’esprit :
Celui de m’accommodé, uniquement dans mes bons jours, à votre bon vouloir et faire l’effort de ne parler, au moins aux personnes me démontrant une forme d’intérêt.
Et tous les jours je recommence.
J’aimerais tant que les gens cessent de s’inquiéter pour des choses ridicules et sans importances, des petits stress insignifiants, des déceptions minimes.
Ces moments où vous vous plaignez de choses dérisoires, vous arrive-t-il de penser à quelqu’un qui fait face à un réel problème ?
NON, bien sûr. Tout et, le monde tourne grâce et, surtout autour de vous.
Êtes-vous le nombril du monde ?
Rappelez-vous que nous connaîtrons tout le même sort : la MORT.
Travaillez sur votre santé mentale, émotionnelle et spirituelle aussi. Ainsi vous réaliserez combien la stupide image du corps parfait, transmise par les médias sociaux est futile.
Supprimez tous vos contacts qui vous font vous sentir comme une merde, que ce soit un ami ou non.
Soyez impoli, en colère pour votre propre bien.
Soyez reconnaissant pour chaque jour où vous ne souffrez pas et même les jours où vous avez un sacré rhume, un mal de dos ou une cheville foulée, acceptez que ce n’est pas amusant, mais que ça ne vous met pas à l’article de la mort et ça s’en ira.
Plaignez-vous moins et aidez plus.
Personne ne comprendra au grand jamais, hélas, ce que je ressens.
Il m’est tellement difficile de l’exprimer oralement ; peut-être grâce à cet écrit j’ai pu trouver une évasion, mais là encore taper sur un clavier, comme je ne peux plus écrire à la main, est un exploit tellement ce geste me demande une dextérité ainsi qu’une concentration que je n’ai plus.