Et là, tu ne devineras jamais...

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sonnyboy a dit:
Certes non, mais tellement agréable ! :D
pas pour tout le monde (enfin sa dépend des fois). :D
 
DocEvil a dit:
Cela dit, si quelqu'un de plus réactif et/ou de plus inspiré veut la prendre, la main, qu'il ne se gêne pas... :siffle: :D


Bon, l'inspiration
que j'attendais ne m'est pas venue dans la nuit. Je creuse mes méninges mais je n'arrive pas à trouver l'anecdote juste qui collera au mieux à ce sympathique fil.
J'avais bien une idée mais l'ayant déjà postée par ici, je vais m'abstenir.

En attendant de trouver de quoi répandre une couche de n'importe quoi issue de ma piêtre existence sur cette tartine cybernétique, je préfère passer la main.



:zen:



P.S : Rezbaaaaa ? t'es sûr de pas vouloir ?
 
En attendant que le pur fils retrouve son inspiration, voici une petite histoire dans le style de celle du doc où je suis me suis, également, senti très seul ;)

Lors d'un concert de musique de chambre, j'avais la tâche de jouer les maîtres de cérémonie, en présentant les ½uvres et la formation au public. Traditionnellement, il s'agit de prendre la parole entre chacune des pièces pour jouer de bons mots et ainsi, vulgariser notre passion auprès d'un public parfois novice. Or, ce soir là, assistaient au concert quelques personnalités du monde de la musique classique, organisateurs de festivals ou investis de missions culturelles... A vrai dire, pas de pression particulière de ce coté là, le programme était bien rodé et j'avais toute confiance dans la maîtrise des autres musiciens participant au concert. Juste un petit enjeux supplémentaire quant à des contacts possibles pour d'autres concerts. Seulement voilà...

La salle, assez vaste, nécessitait semble t'il de faire cette fameuse présentation du concert à l'aide d'un micro. Ce genre d'ustensile n'est pas le compagnon de prédilection du musicien classique, cette anecdote le démontrera d'ailleurs encore une fois. Le concert débute donc, et dès la fin de la première pièce, j'empoigne le micro pour déclamer mon sermon. Hélas, le technicien de la salle a parfaitement fait son travail, et il y a environ 2 secondes de délai entre ma parole sur scène et le son de ma voix qui parvient dans la salle.

Je parle mais déjà mon oreille écoute ce que je viens de prononcer. Je me concentre mais je ne parviens pas à me détacher de cet écho. Je m'accroche au bribes de texte annotées sur mon pupitre mais je vois arriver la panade... Et là, vous ne devinerez jamais...
 
La lumière s'est éteinte, et lorsqu'elle s'est rallumée, la violoniste avait sa main dans ta culotte ?
 
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Réactions: Mateuss
Tu as commencé à lire une phrase en boucle ?
Tu as commencé à bégayer ?
 
L'oreille vers l'écho, les yeux scotchés sur le papier, tu perds ton sang froid, la tension monte et et et... par mégarde tu touche le pupitre avec ton pied et il se renverse, malheur !! :eek: Les feuilles volent partout et tu ne sais plus ce que tu dois dire. :heu:
 
Le public a scandé...uine chanson....une chanson....
 
J'avais aussi pensé à truc comme ça, mais plutôt qu'il se mettait à chanter sans que le public le lui demande :D
 
rezba a dit:
La lumière s'est éteinte, et lorsqu'elle s'est rallumée, la violoniste avait sa main dans ta culotte ?

Ca ne serait pas une mauvaise expérience dans ce cas là :D

jpmiss a dit:
Le quatuor s'est révélé etre "I Muvrini" déguisés Rondo Veneziano et vous avez tous fini en chantant la main sur l'oreille.

Je sais bien que tout le monde - ou à peu près - est disposé à faire n'importe quoi pour gagner sa croûte dans ce période de vaches maigres mais faut pas pousser mémé dans les orties :D

molgow a dit:
Tu as commencé à lire une phrase en boucle ?
Tu as commencé à bégayer ?

Molgow a trouvé. En fait je me suis mis à écouter ce que je disais et à tourner en boucle comme un vieux phono qui rebondit sur le centre d'un vinyle :D Ca donnait a peu près ça :

"... la pièce que vous allez maintenant pouvoir écouter est tirée d'une ½uvre originale pour cette formation... (blanc) hum... cette composition originale composée pour cette formation à l'origine... (blanc, putain je vais jamais m'en sortir)..."

la dessus me viens sans doute à l'esprit que dans la salle m'écoutent avec attention les oreilles de quelques huiles de la culture de notre beau pays, ce qui bien entendu ne m'aide pas à faire abstraction de cet abruti qui répète tout ce que je dis dans la salle. Bref, après avoir copieusement bafouillé quelques phrases dont la construction grammaticale ferait pâlir de honte le sieur Macinside, j'ajoutais à cette déroute une confusion totale dans mes notes, le compositeur sud américain était né à Vienne en 1786, avant d'avoir pour mentor Robert Schumann, qui comme chacun sait est un grand auteur lyrique italien. Je passe sur les yeux médusés de mes coreligionnaires se demandant comment j'allais rétablir la situation. :D

A molgow donc, en attendant le pur fils ;)
 
Tu as lu ton texte à l'envers pour contrer l'écho .. :siffle:

Ouppss .. j'arrive trop tard ...
ce forum est pareil à ton expérience .. les réponses s'entremêlent et font désordre :love:
 
bengilli a dit:
A molgow donc, en attendant le pur fils ;)

Arf... j'aurais mieux fait de me taire :D

Bon si quelqu'un veut continuer, qu'il le fasse. Pour l'instant, je n'ai aucune idée d'histoire à raconter... :heu:
 
Mon grand moment je l'ai eu aussi un jour que je partais en voiture en vacances pour l'italie
Javais à l'époque une vieille Fiat qu'il était impossible de re-démarrer si on avait coupé le moteur alors qu'il était en surchauffe ... le pointeau du carburateur se bloquait semble-t-il et il suffisait d'être très très patient pour que la situation se rétablisse automatiquement en se refroidissant

J'arrive donc devant le poste frontière Suisse/Italie et là une file d'attente interminable m'attendait.
Grrr .. mètre par mètre j'avançais péniblement vers la ligne de démarcation pendant que degré par degré la temperature de mon moteur en faisait de même

Arrivé enfin au contrôle, la temperature était dans le rouge ... je laisse donc tourner le moteur et écoute attentivement les mots habituels du douanier "rien à déclarer?"
Et là c'est le coup de grâce ... sans doute ma réponse était-elle empreinte de nervosité dûe à l'inquiétude pour mon moteur .. toujours est-il que le douanier me demande d'ouvrir le coffre arrière!!
... et là vous de devinerez jamais la suite :D
 
Ta femme découpée en morceaux, bien rangés dans des sacs congélation.
 
Malheureusement la chaine du froide avait été rompue, et t'as eu un PV !
 
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Réactions: molgow
A l'arrière de ta voiture, il y avait... le moteur !
 
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