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Deleted member 18124
Invité
Effectivement, mélanger la diffusion illégale d'oeuvres et le fait de raconter des bobards sur Internet (que ce soit sur Twitter), c'est du grand portnawak.
Une fois que tout ça sera au point, on va pouvoir vendre notre technologie anti-pirates/mensonges/désinformation/liberté à l'Iran, entre autre ?
Très bien faite cette "lettre ouverte".Avant le vote solennel du projet de loi Hadopi, le collectif ODEBI adresse une lettre ouverte à nos députés. (...)
Question 1 : les députés savent-ils lire ?Avant le vote solennel du projet de loi Hadopi, le collectif ODEBI adresse une lettre ouverte à nos députés.
Etonnant, non ?©Et notre ami Christophe Tardieu a trouvé un nouveau boulot, il va jouer de la flûte aux rats des villes.
Effectivement, mélanger la diffusion illégale d'oeuvres et le fait de raconter des bobards sur Internet (que ce soit sur Twitter), c'est du grand portnawak.
...Patrick Zelnik. Ce dernier dirige Naïve, label qui édite entre autres Muse et Carla Bruni.
Hadopi, une loi politique
S'il considère la loi Hadopi comme une loi inadaptée et inapplicable, Jacques Attali pense comprendre pourquoi le gouvernement défend avec autant de vigueur cette loi. "Il y a une cohérence. Celle de défendre quelques vedettes politiques très visibles mais qui ne représentent rien. Et qui, si on y réfléchit bien, sont surévaluées au regard de leur utilité artistique, pour ne pas parler de leur utilité sociale", affirme-t-il.
"A gauche comme à droite, il y a l'idée que les artistes ont un pouvoir de nuisance considérable et qu'il vaut mieux les avoir avec soi que contre soi", explique-t-il, ajoutant qu'" il est très important que le gouvernement choisisse son camp. Pour le moment, il semble avoir choisi le camp des majors et de quelques artistes liés aux majors."
Comme dit Jacques Attali :
Hadopi, une loi politique
S'il considère la loi Hadopi comme une loi inadaptée et inapplicable, Jacques Attali pense comprendre pourquoi le gouvernement défend avec autant de vigueur cette loi. "Il y a une cohérence. Celle de défendre quelques vedettes politiques très visibles mais qui ne représentent rien. Et qui, si on y réfléchit bien, sont surévaluées au regard de leur utilité artistique, pour ne pas parler de leur utilité sociale", affirme-t-il.
"A gauche comme à droite, il y a l'idée que les artistes ont un pouvoir de nuisance considérable et qu'il vaut mieux les avoir avec soi que contre soi", explique-t-il, ajoutant qu'" il est très important que le gouvernement choisisse son camp. Pour le moment, il semble avoir choisi le camp des majors et de quelques artistes liés aux majors."
Ça résume la situation non?
ça c'est la partie suivante.
Patrick Zelnik. Ce dernier dirige Naïve, label qui édite entre autres Muse et Carla Bruni.
:siffle:Le dispositif sera "assez sophistiqué et, en même temps, ces mesures pourront tenir sur deux pages", promet M. Zelnik, qui avait soutenu le projet de loi Hadopi.