Appel à témoins Le Mac que vous avez le plus aimé… et le plus détesté

Il était sorti en même temps que les premiers Power PC 601
C'était encore un Motorola 68040 mais sans coprocesseur arythmétique...
J'ai eu à cette époque le PPC 601 66 Mhz Dos compatible, qui lui fonctionnait très bien (carte Intel DX2 486) surtout sous Win 3.1
 
Je suis étonné de voir tous ces contributeurs qui détestent le 5200. Ce fut mon troisième Mac et je l'ai pour ma part beaucoup aimé. Il était, pour moi, l'évolution naturelle, tout en un du premier Mac et la préfiguration de ce que serait l'iMac. Il avait pas mal de possibilités d'extension, je l'avais gonflé en RAM et mis une carte vidéo dedans pour numériser mes LaserDISC. J'ai débuté Photoshop dessus ainsi que X-Press il me semble. Quoique pour ce dernier c'était peut-être avant. J'avais rajouté un graveur externe, une tablette graphique A6 et bien sûr il pouvait se rendre sur internet, j'ai d'ailleurs commencé chez Compuserve avec lui.

Bref, j'en garde un excellent souvenir, car c'était une machine facilement utilisable, transportable et extensible. Tout ce que représentait Apple pour moi, loin des PC pleins de câbles et impossibles à déplacer facilement. Ce n'était pas le plus puissant des Mac, mais sa facilité d'utilisation changeait tout.

Ah ce 5200, je l'aurais certainement plus aimé si je n'avais pas eu ces soucis d'image avec et cette qualité globale moyenne. C'était le pire Mac que j'ai eu mais je l'ai aimé quand même. J'ai voulu changer le lecteur CD je me suis retrouvé avec les ergots plastiques fendus de la façade en main. Après l'évolution était pratique oui, la carte mère qui sort comme un tiroir, la possibilité de la changer en un clin d'oeil, je me rappelle avoir testé de mettre celle d'un Performa 5300 dessus, ça a fonctionné.

Ça ne m'a pas empêché d'avoir passé de très nombreuses heures dessus et d'avoir eu du plaisir à l'utiliser. J'avais aussi le graveur de CD, carte d'acquisition vidéo, carte TV, carte Ethernet. Il y en avait des possibilités.

Avec ce design celui que je rêvais d'avoir à l'époque était le Performa 5500, en noir. Malheureusement ce n'était pas dans mes moyens.
 
Neuf ls 5200/5300 était très correct (je me souviens que le premier jeu que j'ai testé était Wing Commander IV), mais ils vieillissaient très mal.

J'ai eu le 5500 en noir avec toutes les options.
 
À la réflexion, je n'ai détesté aucun de mes macs. Le premier ordi que j'ai acheté était un mac et je ne l'ai jamais regretté, je ne suis jamais revenu en arrière et je n'ai jamais eu l'obligation de travailler sur un PC (je déteste ça, tout me rebute dans l'ergonomie de Windows et dans les choix de design des fabricants de beaucoup de PC, depuis la police de caractère des claviers jusqu'aux angles douteux des PC portables… ).

Disons donc que le mac dont je garde le plus mauvais souvenir est bizarrement a posteriori, après l'avoir vendu : mon premier mac, le Performa 6400. Payé cher, pour mes finances de thésard en 1996, qui s'est avéré très rapidement limité (notamment à 136 mo de RAM), et qui a été une plaie à revendre (j'ai dû faire presque deux ans de SAV auprès de la personne à qui je l'ai revendu, qui avait toujours utilisé des mac… et qui n'avait jamais vraiment su comment s'en servir)… Mais c'était mon premier mac, j'ai commencé à explorer le monde de l'informatique avec cette machine, c'est avec ce mac que j'ai eu mon premier modem 33k, et je pouvais téléphoner directement depuis ce mac… je ne peux donc pas vraiment dire que je l'ai détesté.
Le second mac que j'ai le moins aimé est mon macbook pro intel de 2017 : je n'ai pas du tout eu de problème avec le clavier papillon, et il tourne encore impeccablement (c'est mon fils qui en profite), mais il avait un SSD de 512 Go et c'était trop peu pour mon usage, sans compter les limitations dûes au processeur Intel qui s'essoufflait vite… pour pas grand chose : 10 fenêtres de Firefox ouvertes, une conversion de fichiers, voire l'ouverture d'une archive un peu lourde.

Pour le mac que j'ai le plus aimé, c'est très difficile à dire, j'ai beaucoup aimé mes macs : je retiendrais un mac de bureau, le PowerMac G4 mirror drive, qui a été le sommet de l'esthétique macbook pour moi : tout en rondeur, ouverture simplissime même à chaud, le double superdrive qui me permettait de copier des tas de disques à l'identique, le firewire 400 pour la vidéo, un rêve d'extensibilité (4 baies internes de disques durs, 4 ports externes…). Je l'ai gardé 4 ans et je l'ai super bien revendu à des musiciens qui utilisaient tous, à l'époque, des powermacs pour leurs sessions d'enregistrement, pour leur fiabilité malgré le bruit d'avion de leurs ventilos à pleine charge. Ça a été mon dernière mac de bureau.
J'ai aussi une affection particulière pour le powerbook G4 alu 12 pouces, un chef d'œuvre de compacité à l'époque, avec ce qui a été pour moi le meilleur clavier Apple (il était bord à bord sur le 12 pouces, à grandes touches alu qui se touchaient les unes les autres, j'ai adoré ce macbook, et je l'ai aussi revendu à une copine qui l'a gardé trois ou quatre ans supplémentaires.
Enfin, mon actuel macbook Pro M1 TouchBar m'a donné la sensation d'une libération : débarrassé des puces intel, le retour de la puissance et de l'obéissance de la machine au doigt et à l'œil. Mais même si j'ai un vrai plaisir à l'utiliser tous les jours, je n'ai plus cette passion pour son usage que j'ai pu avoir pour les machines citées précédemment. Le device Apple qui m'apporte le plus de plaisir aujourd'hui, c'est l'iPad, que j'emmène partout en toute circonstance…
 
Dernière édition:
Indubitablement le tout premier, à savoir le 128 K (oui, 128 kilooctet), le premier d'une longue série. Celui-ci, acheté d'occasion, mais néanmoins à un prix qui ferait peur aujourd'hui s'est vu pour des sommes tout aussi effrayantes, upgrade en 512 K (chez Ginkyo à l'époque, puis en MacPlus chez Mainstay à Bruxelles. Revendu en fin de cycle a un copain de mon fils - sans échapper au condensateur mort réparé là aussi à prix d'or. Premiers émois sérieux avec une version "non officielle" de Staview, et sa facilité dérisoire à établir des courbes de regression de tout degré, qui m'a servi a régler un problème assez ardu dans mon entreprise, laquelle ne mettait alors à ma disposition aucun moyen informatique.

Je passe sur tous les autres, sauf deux :

- le iBook 2001 600 MHz, qui, m'a accompagné dans une période difficile, puis dans mon travail de prestataire en clientèle. Je l'ai toujours, il fonctionne, c'est la dernière machine dont je dispose a fonctionner en mode "Classic (Mac OS ≤ 9.2.x)

- le LC, finalement très décevant

Celui que je regrette de ne pas avoir eu : le Mac Classic Color

--Michel--
 
Pour moi, sans hésitation, le PowerBook G3 "Pismo" occupe la première place. Une machine qui, à l'époque, était en avance sur son temps. Imaginez un Mac portable avec le WiFi, une puissance considérable de 500 MHz pour le processeur, une carte ATI Rage Mobility 128 pour le GPU, du FireWire, des baies d'extension permettant de travailler avec une double batterie offrant une autonomie de 10 heures. J'ai utilisé cette machine pendant des années sans le moindre problème. Son design annonçait déjà les formes de l'iBook palourde, qui était également une belle machine.

En deuxième position, j'ai adoré l'iMac G4 "Tournesol" avec son magnifique support d'écran, un véritable sommet en matière de design à mes yeux. Sur la troisième marche du podium, je place ma machine actuelle, qui m'a réconcilié avec les Mac portables. Mon MacBook Pro 14 M2 est fiable, puissant, avec une autonomie incroyable, une bonne connectique et un look ultra basique.

En ce qui concerne les pires machines, sans aucune hésitation, le PowerBook G4 Titanium prend la première place. Sa mauvaise batterie, les cartes graphiques défaillantes, et la peinture qui s'écaillait en faisaient une machine sortie trop vite, trop tôt, digne d'un prototype. Parmi les catastrophes industrielles, il y a aussi la première génération de MacBook Pro 15' Unibody, sur laquelle j'ai dû changer deux fois la carte mère. Plus récemment, le MacBook Pro 15 avec Touch Bar était également une déception, avec son clavier médiocre, sa connectique ridicule, l'absence de MagSafe, la pomme qui ne s'allume plus au dos de l'écran (j'adorais ce détail). Je n'ai jamais apprécié cette machine qui était peu fiable avec une rupture de la nappe de liaison carte mère-écran (le fameux flexgate). Avant les puces Apple M1, le seul MacBook Pro Intel qui a vraiment tenu ses promesses est le MacBook Pro 15" avec écran Retina mi-2014. Seule la détérioration du traitement anti-reflet pose problème. Mais cette machine avec laquelle j'écris ces lignes 10 ans après sa sortie, reste fiable et agréable à utiliser comme "Mac de secours".
 
J'utilise des Macs depuis leur début ou presque, mais je n'en possède à moi que depuis une vingtaine d'années. Avant, c'était des Mac partagés, dans des labos universitaires ou qui appartenaient à d'autres personnes, à des employeurs, etc.: des Macintosh Plus, SE, SE/30, LC, IIfx... J'ai aussi longtemps utilisé un Macintosh Quadra 950 et un PowerMac G4 ainsi qu'un PowerBook Duo et diverses versions de Mac Performa au travail.

Je pense que les Macs que j'ai le plus "aimés" furent ceux que j'ai pu acheter moi, qui étaient vraiment mon choix personnel. Mon premier portable: un iBook G4 blanc early 2004. Mon premier iMac: un modèle 24" mid-2007.

Mais j'adore mon iMac actuel, un 27" 5K Retina late 2015, toujours vaillant avec ses 32 go de mémoire vive, mais qui hélas commence à se faire vieux.
Mention honorable pour mon Macbook Air M2 2022 devenu ma machine principale au quotidien.

Je n'ai pas de Mac que j'aie détesté. Ils ont tous été et sont toujours, d'une fiabilité exemplaire. Mon pire incident fut lorsque le disque dur du premier iMac lâcha brusquement. Mais grâce à Time Machine et au talent d'un réparateur informatique local, ce fut sans conséquence.
 
Dernière édition:
Le Mac qui m'a le plus frustré fut le LCII. A peine plus rapide que le LC alors qu'il avait un copro 68030 au lieu d'un 68020.

Sinon, celui qui m'a permis de faire le plus de choses fut le Mac IIfx. C'était pratiquement le Mac sans défaut de l'époque. Légendaire.
 
  • J’aime
Réactions: Macounette
Le Mac qui m'a le plus frustré fut le LCII. A peine plus rapide que le LC alors qu'il avait un copro 68030 au lieu d'un 68020.
C'est la première machine que j'ai acheté avec mes propres économies. Frustrant au début, pas du tout car on avait que du PC à la Fac, avant que je lance le projet d'achat de Quadra 700. Donc trop content d'avoir le système 6 et 7, un micro, un lecteur de CD externe (CD 300, mon premier lecteur de CD, que j'utilisais pour écouter de la musique), etc ... j'ai adoré cette machine, et je l'ai upgradé plus tard avec une Sonnet Presto Plus, qui a un 68040/66, un slot mémoire en plus, du coup 42 Mo de mémoire sur ce bon vieux LCII, et un port RJ45 ... une config complète du coup !
 
  • J’aime
Réactions: Macounette
Mes préférés :
Mon premier : un mac plus avec excel 1.0, il m'a permis d'avoir un boulot, je le laissais au travail.
Le tournesol, quelle belle bête.
Le blue bondie avec la stabilité d'os X

Mon mac détesté :
- le power macintosh 5260, je n'ai jamais aimé son esthétisme (pourquoi je l'ai acheté... ?) et je ne sais plus si c'était l'os ou la machine ou les deux, je n'avais que des plantages.
 
N’ayant pas les moyens d’acheter un ordinateur personnel durant plusieurs années, l’utilisation d’un mac est passée par le travail.

En coup de cœur, le mac SE (ou déclinaison)
pour sa facilité d’utilisation, une découverte.

Pour les machines qui tournent sans se faire remarquer : le Mac Pro g5 et les différentes générations de Mac mini (mérite des nuances).

En mauvais souvenir, le power Macintosh g3 bleu/blanc en raison des heures de mal au bide pour monter des vidéos sur cette machine…
 
Pour ma part, je les ai tous appréciés, ils correspondaient à mes besoins de l’époque et j’ai commencé par un Performa lc 475 (la boite à pizza) puis un iMac dv400, un PowerBook g4, un MacBook blanc, un mini i7 16Go et 2 Ssd et le petit dernier un MacBook Air M1
 
Voir la pièce jointe 290239

Le 24 janvier 1984, Steve Jobs montait sur la scène du Flint Center pour présenter le Macintosh 128K, premier membre d’une lignée qui n’a cessé de réinventer l’ordinateur personnel pendant les quarante dernières années. Quarante ans de souvenirs souvent réjouissants, parfois contrariés, toujours passionnants.

Quel Mac avez-vous le plus aimé ou, au contraire, le plus détesté ? Quel souvenir gardez-vous de cette machine, pourquoi vous en serviez-vous, l’avez-vous encore ? C’est le sujet de notre nouvel appel à témoins. Comme toujours, vos réponses seront synthétisée dans un futur article.

Image Anthony Nelzin-Santos
Le Mac qui m’a le plus marqué est celui de mes débuts. C’était un SE/30 que j’ai acheté d’occasion avec une Image Writer et que je suis allé chercher à Paris en train. J’étais chargé comme un mulet, d’autant plus qu’il y avait de la doc avec les deux engins.
Je démarrais dans la PAO, et pour pouvoir travailler correctement, j’ai fait modifier la carte-mère aux USA, où une société a ôté le processeur cadencé à 16 MHz pour en mettre un à 50. Je lui ai mis le maximum de RAM (8 Mo, de mémoire, sic) et un disque de 40 Mo. Enfin, sur son unique spot d’extension, j’ai mis une carte graphique pour piloter un écran Radius Pivot au format A4 en 256 couleurs, qui comme son nom l’indique pivotait sur lui-même, soit en portrait soit en paysage. Enfin, un lecteur Syquest se branchait sur la prise SCSI pour les sauvegardes. Et j’ai produit avec ça ! Parfaitement ! J’en garde encore un souvenir ému.
 
Voir la pièce jointe 290239

Le 24 janvier 1984, Steve Jobs montait sur la scène du Flint Center pour présenter le Macintosh 128K, premier membre d’une lignée qui n’a cessé de réinventer l’ordinateur personnel pendant les quarante dernières années. Quarante ans de souvenirs souvent réjouissants, parfois contrariés, toujours passionnants.

Quel Mac avez-vous le plus aimé ou, au contraire, le plus détesté ? Quel souvenir gardez-vous de cette machine, pourquoi vous en serviez-vous, l’avez-vous encore ? C’est le sujet de notre nouvel appel à témoins. Comme toujours, vos réponses seront synthétisée dans un futur article.

Image Anthony Nelzin-Santos
Mon préféré, pas facile…

• Le Macintosh SE30, pour sa puissance.

• L’iMac œuf en version Snow, avec le FireWire et iMovie pour du montage vidéo abordable et accessible. Et à la même période, les débuts du « haut débit », 512… :)
• l’iMac tournesol en version 20 pouces, pour son écran et son bras articulé, juste génial.

• Je n'ai pas aimé, les Performa !
Pas de mauvaises machines… mais, des machines de raison, et non pas, des machines de cœurs, car on aime Apple aussi pour ça ! Le design, la nouvelle fonction « whaou », tant hardware, que software, l’intégration, la longévité,... et plus que tout, l’utilisabilité !

Merci
Bonne soirée
reymonde007
 
  • J’aime
Réactions: Macounette
C'est comme les histoires d'amour : on n'oublie jamais la première fois. Mon tout premier Mac a été un Mac Classic avec écran 9 pouces noir et blanc. Système 7.1 (toutes ces disquettes dans cette pochette plastique pliable… ). C'était vers 1986, 1987, je crois. J'écrivais sur Word 5.1. Augmenté du formidable ProLexis dans sa version 1.0.
L'entrée dans une autre dimension (après le Waterman et la machine à écrire… ). Plus rien n'a jamais été pareil.
J'en ai eu une quantité d'autres depuis: un 7100, un Power Macintosh bi-processeur 180 Mhz (9100 ? j'ai oublié), un G3 blanc/bleu, deux Mac Mini, un iMac 21 pouces, Un MacBook Pro… C'est probablement une illusion (totale ? pas sûr) créée par un effet de nostalgie, mais je n'ai plus jamais eu l'impression d'avoir affaire à une machine aussi fiable depuis.
 
  • J’aime
Réactions: melaure
Il y a 2 parties dans ma vie professionnelle de graphiste. Ma formation à l'origine est labo des arts graphiques c'est à dire travail de sélection des couleurs avec filtres au banc de repro pour impression couleur CMJN, puis tout ce qui concerne le montage film en imprimerie.
J'arrive dans un studio pub interne à une boîte de vente par correspondance. Au bout d'un an, on s'équipe d'ordis Apple II GS et XPress 1.11. Je suis un peu déçu car venant de la couleur, nous avons des écrans N&B. Peu de temps après on a des écrans 256 nuances de gris. L'informatique me fait ni chaud ni froid mais je découvre XPress qui évolue régulièrement.
Notre vendeur de matos spécialisé Apple arrive rapidement à nous faire évoluer avec les nouveaux MacIntosh dont j'ai oublié le petit nom, si ce n'est que les processeurs sont passé de 68020 à 68040 et qu'on changeait de matos tous les deux ans et qu'on est passés à la couleur avec des écrans pas Apple, peut-être Sony, chépu.
Là, on a commencé à avoir Photoshop (le 4, je crois) et Illustrator
On en a profité pour faire un refit du studio avec une partie ordis et une partie création à la mano.
Sur les photos, un mac et son écran, une LaserWriter, des lecteurs CD et Syquest, une imprimante Epson A3, Une flasheuse Linotronic et un onduleur pour alimenter tout ça...

Ordis-MPG.jpg

Plus tard, j'ai eu un G3 gris bousté et les collègues des Power G3.
Les applications Adobe ont suivi et toujours Xpress version 4, je crois.

Plus tard en indépendant, j'ai eu un G3 graphite celui sans ventilation ce qui l'a tué je pense, et l'adaptateur pour le dongle XPress.
Quand ce G3 est mort, j'ai eu un Imac G5 blanc et je me suis mis à la suite Adobe et découvert InDesign qui a été une révélation.
Le G5 est mort avec gonflement des condensateurs, maladie récurrente sur cet ordi à l'époque.
J'ai terminé ma carrière avec un Imac intel core 2 duo (DDR3) qui est mort à cause de la carte graphique qui a claqué mais que j'ai heureusement pu cloner avec le même trouvé sur LBC et qui n'avait presque pas tourné chez un couple de retraités non-fumeurs.
À la maison, ma compagne a un mini intel core 2 duo en DDR4 qui fait bien son office quand je vois ce qu'il subit. :sorry:

Mon prochain, sera un mini de toutes façons...
 
  • J’aime
Réactions: starsk et boninmi
Celui que j'ai le plus aimé c'était un MBP 15" de 2010. Une machine incroyable à l'époque.
Celui que j'ai le moins aimé est clairement le macbook pro 2017. Une catastrophe intersidérale sur pas mal d'aspects.
 
Joli parcours, mais tu ne réponds pas à la question
Je le dis à un moment : L'informatique me fait ni chaud ni froid donc les machines aussi.
Si je tiens compte du travail accompli, je les aime toutes.
Si je tiens compte des pannes, je les déteste toutes...
En fait, ce sont les systèmes et les applications qui me feraient le plus parler...
 
  • Haha
Réactions: boninmi