A l'intention de l'officier de renseignement du 502° régiment de stormtroopers
Monsieur l'officier
Le haut-commandement imperial de Sol III, devant l'impudence de certaines populations, a décidé de reprendre énergiquement les choses en main. La première cible désignée pour subir le courroux l'Empire, est une petite île de l'hémisphère nord.
Cependant, avant d'engager des forces en nombre, une mission de reconnaissance poussée a été décidée : malheureusement, celle-ci a disparu sans laisser de traces ainsi que la mission de secours.
Je me suis porté volontaire avec mon escouade de troopers afin d'obtenir les renseignements indispensables avant le déclenchement d'une opération de grande envergure. Des moyens importants nous ont été alloués : nos services techniques ont habilement camouflé un un cargo impérial ainsi qu'un véhicule de transport AT-TT et son unité de ravitaillement pour deux semaines locales.
Nos espions sur place avaient conseillé de nous infiltrer un milieu d'un flux migratoire périodique, afin d'être moins repérables. Cependant, il semble que cette ruse ait été éventée rapidement. En effet, bien que nous adapatant au mode de vie de ces fameux touristes (en particulier les coutumes de l'apéro et du BBQ), nous avons dû nous faire repérer et les indigènes ont utilisé tous les moyens pour saboter notre mission, y compris les plus déshonorants : des armes bactériologiques telles qu'otite, laryngite et la redoutable gastro-entérite :sick:
De plus, ils exploitent un terrain qu'ils connaissent parfaitement : les voies de communication pourraient être qualifiées de peu praticables et les indications routières sont souvent très approximatives, voire réservées à de seuls initiés .
Les forces vives de notre escouades en ont été fortement diminuées. Afin de ne pas compromettre le résultat de la mission, j'ai dû me résoudre à prendre contact avec un individu considéré comme louche par les services de renseignement impériaux mais cependant au fait des moeurs et coutumes des indigènes. Vos services nous avaient dit de ne le contacter qu'en cas de nécessité absolue car il parait qu'il utilise une arme inconnue mais redoutable, dont le nom de code est cdb.
L'homme n'est pas d'une approche facile : fier et susceptible comme la plupart de ses congénères, il se laisse pourtant approcher pourvu qu'on sache l'amadouer. Il est aussi plus fin que ses vetements pourraient le laisser croire : en nous proposant une spécialité locale, certes délicieuse, il devait espérer que rassasiés, nous ne soyons plus aussi vigilants et qu'il pourrait nous soutirer des informations. Ce n'est pas à un trooper véteran qu'on la fait et j'ai éventé ce piège grossier en ne me resservant que 3 fois
Aux troopers les plus jeunes, il a aussi proposé un ersatz d'une boisson planétaire. Je n'ai pas encore découvert son but caché, à moins qu'il s'agisse d'un moyen détourné d'obtenir des subsides de l'Empire, communément appelés subventions.
Finalement, les échanges furent fructueux et nous avons scellé cette rencontre par moult promesses de visites ultérieures.
Toutes les informations nécessaires à la prochaine campagne sont ICI.
Respectueusement
gKatarn, Trooper vétéran
:zen:
NB1 : j'ai pu savoir ce qu'il était advenu des missions précédentes. Les indigènes les ont entrainées puis abandonnées dans un no man's land dont le nom local est "maquis" pour les livrer au supplice dit "du cochon sauvage".
NB2 : dans la photo avec le contact local, vous aurez remarqué sans doute le signe distinctif de ma précédente campagne sur la planète Grug.
Monsieur l'officier
Le haut-commandement imperial de Sol III, devant l'impudence de certaines populations, a décidé de reprendre énergiquement les choses en main. La première cible désignée pour subir le courroux l'Empire, est une petite île de l'hémisphère nord.
Cependant, avant d'engager des forces en nombre, une mission de reconnaissance poussée a été décidée : malheureusement, celle-ci a disparu sans laisser de traces ainsi que la mission de secours.
Je me suis porté volontaire avec mon escouade de troopers afin d'obtenir les renseignements indispensables avant le déclenchement d'une opération de grande envergure. Des moyens importants nous ont été alloués : nos services techniques ont habilement camouflé un un cargo impérial ainsi qu'un véhicule de transport AT-TT et son unité de ravitaillement pour deux semaines locales.
Nos espions sur place avaient conseillé de nous infiltrer un milieu d'un flux migratoire périodique, afin d'être moins repérables. Cependant, il semble que cette ruse ait été éventée rapidement. En effet, bien que nous adapatant au mode de vie de ces fameux touristes (en particulier les coutumes de l'apéro et du BBQ), nous avons dû nous faire repérer et les indigènes ont utilisé tous les moyens pour saboter notre mission, y compris les plus déshonorants : des armes bactériologiques telles qu'otite, laryngite et la redoutable gastro-entérite :sick:
De plus, ils exploitent un terrain qu'ils connaissent parfaitement : les voies de communication pourraient être qualifiées de peu praticables et les indications routières sont souvent très approximatives, voire réservées à de seuls initiés .
Les forces vives de notre escouades en ont été fortement diminuées. Afin de ne pas compromettre le résultat de la mission, j'ai dû me résoudre à prendre contact avec un individu considéré comme louche par les services de renseignement impériaux mais cependant au fait des moeurs et coutumes des indigènes. Vos services nous avaient dit de ne le contacter qu'en cas de nécessité absolue car il parait qu'il utilise une arme inconnue mais redoutable, dont le nom de code est cdb.
L'homme n'est pas d'une approche facile : fier et susceptible comme la plupart de ses congénères, il se laisse pourtant approcher pourvu qu'on sache l'amadouer. Il est aussi plus fin que ses vetements pourraient le laisser croire : en nous proposant une spécialité locale, certes délicieuse, il devait espérer que rassasiés, nous ne soyons plus aussi vigilants et qu'il pourrait nous soutirer des informations. Ce n'est pas à un trooper véteran qu'on la fait et j'ai éventé ce piège grossier en ne me resservant que 3 fois
Aux troopers les plus jeunes, il a aussi proposé un ersatz d'une boisson planétaire. Je n'ai pas encore découvert son but caché, à moins qu'il s'agisse d'un moyen détourné d'obtenir des subsides de l'Empire, communément appelés subventions.
Finalement, les échanges furent fructueux et nous avons scellé cette rencontre par moult promesses de visites ultérieures.
Toutes les informations nécessaires à la prochaine campagne sont ICI.
Respectueusement
gKatarn, Trooper vétéran
:zen:
NB1 : j'ai pu savoir ce qu'il était advenu des missions précédentes. Les indigènes les ont entrainées puis abandonnées dans un no man's land dont le nom local est "maquis" pour les livrer au supplice dit "du cochon sauvage".
NB2 : dans la photo avec le contact local, vous aurez remarqué sans doute le signe distinctif de ma précédente campagne sur la planète Grug.
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