@Zebig
Il y a une inspiration dans quelques-unes de tes appellations qui ne me laisse pas insensible, au contraire. « Salon-lavoir » par exemple, alors que dans mon coin le frontispice des vitrines embuées s'orne généralement d'un panneau « laverie ». Avec ta désignation, je tiens salon au chien et ses voisins face au hublot de ta lessive. Je vis la scène avec la fulgurance d'anecdotes de battées à l'eau glaciale de mes aïeules dans ce qu'elles appelaient alors le lavoir communal. De tes images, je me rabiboche avec ces pas-de-portes fort souvent fréquentés par le passé et dont il ne me reste que détestation. Enfin, me restait. Car la convivialité sous-jacente du terme « salon » accolé à « lavoir » estompe quelques tâches et accros de ma mémoire.
…………
Sinon…
Puisque je suis dans les expressions extra-territoriales et le lavomatic, j'en ai croisé une bonne ce matin ! Médor et moi nous promenions le long des quais du fleuve. Green washing oblige, la municipalité a transformé le dock à charbon du siècle passé en espace vert pour le nouveau millénaire. Par contre, elle a été chiche sur les boîtes à ordures. La faute à VigiPirate dirons les mauvaises langues. N'empêche, toujours flanquées par paire, ces bacs transparents incitent à trier les déchets. C'est beau l'incitation…
Mais vaut-elle acceptation ?
Bin… Alors que Médor et moi marchions en direction d'un pont, je vis un sac de fast-food abandonné sur le gazon. Un bel emballage en carton non-blanchi avec une inscription dont vous me donnerez des nouvelles ! Enfin j'espère… Don't leave me alone !
J'ai souris jaune… Et suis rentré en sifflotant un refrain des Communards avec leur reprise de Don't leave me this way !
Il y a une inspiration dans quelques-unes de tes appellations qui ne me laisse pas insensible, au contraire. « Salon-lavoir » par exemple, alors que dans mon coin le frontispice des vitrines embuées s'orne généralement d'un panneau « laverie ». Avec ta désignation, je tiens salon au chien et ses voisins face au hublot de ta lessive. Je vis la scène avec la fulgurance d'anecdotes de battées à l'eau glaciale de mes aïeules dans ce qu'elles appelaient alors le lavoir communal. De tes images, je me rabiboche avec ces pas-de-portes fort souvent fréquentés par le passé et dont il ne me reste que détestation. Enfin, me restait. Car la convivialité sous-jacente du terme « salon » accolé à « lavoir » estompe quelques tâches et accros de ma mémoire.
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Sinon…
Puisque je suis dans les expressions extra-territoriales et le lavomatic, j'en ai croisé une bonne ce matin ! Médor et moi nous promenions le long des quais du fleuve. Green washing oblige, la municipalité a transformé le dock à charbon du siècle passé en espace vert pour le nouveau millénaire. Par contre, elle a été chiche sur les boîtes à ordures. La faute à VigiPirate dirons les mauvaises langues. N'empêche, toujours flanquées par paire, ces bacs transparents incitent à trier les déchets. C'est beau l'incitation…
Mais vaut-elle acceptation ?
Bin… Alors que Médor et moi marchions en direction d'un pont, je vis un sac de fast-food abandonné sur le gazon. Un bel emballage en carton non-blanchi avec une inscription dont vous me donnerez des nouvelles ! Enfin j'espère… Don't leave me alone !
J'ai souris jaune… Et suis rentré en sifflotant un refrain des Communards avec leur reprise de Don't leave me this way !
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