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Superbe la source de la vidéo de la prof, un site de fachots ! Bravo ! :mouais:
Et elle, elle vote FN aussi ? Comme par hasard elle est contre la politique du gouvernement, qui va nous emmener selon elle, à la même situation catastrophique qu'en Belgique ? Ah bon ? Mais de quelle politique parle-t-elle donc ? Les 60 000 enseignants supplémentaires ? Le réaménagement des cours ? La politique d'immigration peut-être ? :siffle:

Bon ok les fachots du site défrançisation reprennent la vidéo à leur compte, mais justement c'est ça qui dérange car ont l'a bien compris, d'après la prof, si y a tant de violences dans les classes, c'est à cause des Maghrébins.
Elle dresse tout de même un bilan super caricatural, celui qui plaira aux médias et aux sites extrémistes. Je connais bcp d'enseignants, en banlieue sensible ou pas, ma chérie a déjà enseigné à des BTS et elle aime bcp ces classes qui sont assez studieuses bien qu'elles soient remplies de bougnoules... Dire qu'on apprend à lire à ses classes entières c'est du foutage de gueule total.

Bref, dire qu'il n'y a pas de problèmes c'est mentir, mais faire penser que c'est comme ça partout et tout le temps, c'est de la propagande.
 
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Je ne pense pas qu'on puisse étiqueter cette dame extrême droite parce qu'un site facho l'a repris. Je me risque à dire ça avant de faire une recherche, quitte à me tromper, parce que je me fous de me tromper (je n'en mourrai pas) et que j'aime bien tenter d'abord de juger sur pièce pour faire avancer le débat (dialogue?).
Elle dit qu'elle s'est retrouvée dans une classe de "français langue étrangère". Terminologie utilisée réellement ou façon d'en parler ? Ca peut être un fait. Elle dit qu'elle a dû faire un boulot pour lequel elle n'a pas été formée.
Par ailleurs elle parle de violence. Je n'ai pas réussi à savoir si elle parlait des même classes (et quand bien même, si c'était la vérité, on ne peut pas non plus la camoufler).

La violence de certaines classes, je n'ai pas de mal à y croire (j'ai eu mon lot moi-même, mais pas au point qu'elle décrit). Il ne faut pas se voiler la face non plus. Et l'administration, effectivement doit bien laisser tomber les profs assez souvent. Je te l'ai peut-être déjà dit, mais j'ai eu des classes d'électeurs du FN (toute une classe) et des classes où il fallait faire attention à défendre mollement Darwin. J'ai eu des classes où le vol et l'insulte sont banalisés et considérés comme des comportements normaux.

J'ai eu des classes en-dessous du BTS (les mêmes élèves qu'en BTS mais aussi ceux qui n'iront pas), mais pas de collège (qui ont eux-mêmes des élèves qui n'iront pas en terminale). Par contre, j'en entends régulièrement parler.

Ce qui m'emmerde, c'est que seuls ceux qui ont démissionné peuvent parler de ce qui se passe réellement.

On a tué l'hôpital public (mais il paraît qu'il refait des bénéfices, donc tout va bien). On est en train de tuer l'école publique de la même manière : vous voulez bosser, allez dans le privé ! Sinon, c'est patronage pour tout le monde.
Alors, bien sûr, on se bat, mais souvent aussi on fatigue...
 
Je ne pense pas qu'on puisse étiqueter cette dame extrême droite parce qu'un site facho l'a repris.

Mais je l'ai précisé, c'est en jugeant ses propos, ses paroles, ses réflexions que je l'ai étiquetée FN, assumé ou pas. Comme par hasard la vidéo est reprise par un site de faf... son discours leur plait donc, que ça soit fait exprès ou non.
Dans son discours y a justement aucune nuances, il est parfait pour distiller les propos du FN, mets toi à la place du téléspectateur, il entend ça et se dit qu'on est plus chez nous et qu'il n'y a que des singes dans les classes.

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Édite ta citation, c'est réglé par le modo...

rien :D
 
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[…] Je connais bcp d'enseignants, en banlieue sensible ou pas, ma chérie a déjà enseigné à des BTS et elle aime bcp ces classes qui sont assez studieuses bien qu'elles soient remplies de bougnoules... Dire qu'on apprend à lire à ses classes entières c'est du foutage de gueule total.

Bref, dire qu'il n'y a pas de problèmes c'est mentir, mais faire penser que c'est comme ça partout et tout le temps, c'est de la propagande.

Les BTS, c'est déjà un niveau post-Bac. Il y a eu auparavant un écrémage important. Ce n'est pas à ce niveau que se posent pour l'essentiel les problèmes (mais il y a toujours des exceptions).

Par ailleurs, la manière dont le système dissimule la réalité, volontairement, ou par incapacité à la mesurer, encourage inévitablement à la diffusion des rumeurs et des exagérations. L'Éducation nationale a échoué à mettre un place des systèmes fiable de mesure des violence et incivilités. Qu'il s'agisse de faire appel au signalement systématique des faits d'une certaine gravité (défunte base SIGNA), ou de se contenter d'un sondage sur la base d'un échantillon de 1000 établissements (enquête SIVIS depuis 2007), le résultat est toujours le même : les proviseurs et principaux sont réticents à faire connaître les problèmes rencontrés, de peur de dégrader l'image de leur établissement et de nuire à leur carrière. Donc, le taux de non-déclaration des incidents est élevé et tend à s'accroître au cours de l'année, le premier trimestre étant mieux renseigné que le second, lui-même mieux renseigné que le troisième. Pour 2007-2008, première année de fonctionnement de SIVIS, les données sur le climat de l’établissement n'étaient ainsi disponibles que pour 43 % des éléments de l'échantillon de l'enquête au troisième trimestre… 10% des établissements choisis se permettaient même un black-out total sur l'ensemble de l'année (media.education.gouv.fr/file/2008/73/7/NI-08-34_40737.xls‎).

Pour des données officielle 2011-2012 (dépouillement de l'enquête SIVIS) : http://cache.media.education.gouv.f...nts-publics-second-degre-2011-2012_232595.pdf

Éric Debarbieux est l'universitaire français qui a le plus étudié ces questions. Il est loin de faire dans l'alarmisme politisé. Il notait cependant en 2004 que les enquêtes de victimisation aboutissaient à des pourcentages d'élèves victimes de violences physiques ou verbales beaucoup (c'est même un euphémisme) plus élevés que les données relevées par le Ministère : Éric Debarbieux, « Les enquêtes de victimation en milieu scolaire : leçons critiques et innovations méthodologiques », Déviance et Société, 2004/3 Vol. 28, p. 317-333 (http://www.cairn.info/revue-deviance-et-societe-2004-3-page-317.htm).

Bref, si les non-fachos persistent à laisser aux fachos le monopole de la dénonciation des problèmes, il ne faudra pas qu'ils viennent ensuite gémir des conséquences politiques et sociétales de ce déni.
 
Les BTS, c'est déjà un niveau post-Bac. Il y a eu auparavant un écrémage important. Ce n'est pas à ce niveau que se posent pour l'essentiel les problèmes (mais il y a toujours des exceptions).

Oui mais justement mais la prof se plaignait aussi d'une classe de BTS, c'est pour ça que j'ai relevé, mais c'était en Belgique.

Bref, si les non-fachos persistent à laisser aux fachos le monopole de la dénonciation des problèmes, il ne faudra pas qu'ils viennent ensuite gémir des conséquences politiques et sociétales de ce déni.
Ça on est bien d'accord, mais bon de là à dire "bien fait pour eux" (je caricature), non. Comment briser cette omerta ? Quand on voit comment fonctionne et agit un rectorat, un bunker stalinien, ça fait peur. Ma compagne a eu le malheur de dénoncer les dysfonctionnements qu'elle subissait, ses souffrances, sans passer par les voies hiérarchiques, en s'adressant aux 1ers ministres que sont Chatel et Peillon, bah je peux te dire qu'elle est grillée dans le publique maintenant et que ça vire au harcèlement (elle est contractuelle). Alors qu'elle a un très bon rapport d'inspection de la plus réputée et sévère inspectrice de l'académie, qu'elle n'a que des éloges des chefs d'établissements, quand ces derniers appellent le rectorat à son sujet, ils ont droit je cite à "elle travaille bien celle-là ?", "elle ouvre un peu trop sa bouche", "l'insoumise" qu'ils l'appellent (le recteur et la responsable des non titulaires, les 2 là qui se sont fait taper sur les doigts de par sa faute). Donc imagine pour les nouveaux entretiens, heureusement qu'elle est protégée avec son rapport d'inspection, son dernier entretien d'ailleurs, le directeur a été très froid et distant durant les 20 premières minutes avant de lui faire part de ce qu'on lui avait dit sur elle et de son incompréhension face au rapport et surtout face à la personne qu'il voyait devant lui. Comme par hasard ensuite elle a eu droit à un contrôle fiscal, et pour les oraux du bac, c'est elle qui a le plus de candidats et de loin, de là imaginer qu'elle a manqué le capès interne (non anonyme) de peu à cause de ça, il n'y a qu'un pas, c'est ce qu'on lui a dit clairement un directeur en tout cas. Donc va dénoncer dans ces conditions là...
 
Çæ serait pourtant simple de mettre en place une base de données sur le site du ministère, où les enseignants viendraient eux-même signaler les faits (de manière assumée, avec tous les détails : ref de la plainte déposée, entre autres), et ce sans passer par une quelconque voie hiérarchique !

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Oui mais justement mais la prof se plaignait aussi d'une classe de BTS, c'est pour ça que j'ai relevé, mais c'était en Belgique.

Ce qui correspond à un niveau CP/CE1 en france :rateau:

Saint Coluche, priez pour moi ! :D
 
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Réactions: JPTK
Il faut voir aussi qu'à un niveau plus "calme" mais extrêmement pénible, on est dissuadé de prendre la moindre sanction. On ne peut pas évacuer un élève qui accumule les "incivilités" dans une salle de classe et nous pourrit un cours parce que le renvoi d'un cours n'est possible que si notre vie est en danger (en exagérant à peine). Ce genre d'impunité n'améliore pas l'ambiance et ouvre la porte à un sentiment généralisé d'impunité qui peut aller loin.
En général pour qu'un prof menacé obtienne une vraie sanction il faut largement qu'il insiste.

Je ne pense pas, dans l'absolu, qu'on puisse juger de l'intention d'un discours aux gens qui essaient de le récupérer.
J'avoue que je me suis posé la question aussi pour cette dame, mais je me contente de me la poser.
Je pense qu'il faut aussi mettre tous les problèmes sur la table, comme Cratès, parce qu'en diabolisant certains discours on fait effectivement le lit des extrêmophiles.

Dire par exemple que certains élèves sont complètement installés dans la victimisation systématique et ne voient même plus quand ce sont eux qui agressent, c'est énoncer un fait. Je l'ai constaté largement. Quand ce fait ne trouve d'écho que chez des cinglés d'extrême droite ou vous vaut des réactions délirantes de certaines personnes bardés de ce que j'appelle des "tics de gauche", ça fait peur ("t'as pas le droit de dire ça, sinon t'es...")

Nietzsche (qui s'est avéré bien placé pour dire de telles choses) avait bien mis en garde contre les faux amis. Autant il avait une logique du "bon ennemi" (ayant une valeur) autant il savait que certaines personnes incapables de comprendre ses textes pouvaient les mésinterpréter complètement. Aujourd'hui encore, des antisémites sont assez cons pour croire qu'il fait partie de leur bande (lui qui parlait des "braillards antisémites") et certaines belles âmes voient la même chose dans ses écrits, toujours pour la même raison : mal comprenants.

Maintenant, la nana, c'est pas du Nietzsche, hein !!! soyons justes... Mais pas sûr que ce soit du chauvin rasé non plus...

Allez, quelqu'un fait une recherche ?
 
Nan mais je suis pleinement d'accord mais là cette vidéo c'est pas sérieux, y a même pas un "nan mais des fois ça se passe bien aussi hein..." ou encore "c'est pas tout le temps comme ça non plus". J'espère que c'est coupé et monté, que le livre n'est pas comme ça du début à la fin (et ça j'en doute justement sinon y a vraiment un soucis) parce que ce n'est pas possible d'être objectif et de dresser un bilan comme le sien. Déjà un établissement c'est un tout, si y a pas d'autorité chez le dirlo, c'est tout le reste qui fonctionne mal voir pas. Mon ex était prof, je suis resté 9 ans avec et l'actuelle est prof aussi, bah elles ont plus souvent eu droit à des établissements où il y a une solide équipe éducative, de la solidarité et donc des sanctions qui fonctionnaient. Ils n'étaient pas tous isolés dans leur coin à ne pas parler de leurs problèmes et le chef d'établissement ainsi que le CPE et autres prenaient les problèmes à bras le corps. Alors je suis pleinement d'accord pour parler des problèmes, bien évidemment, mais on ne peut pas mettre en avant que cela sans avoir un discours faussé.

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Voilà, le livre doit-être bien plus intéressant que cette vulgaire vidéo :
Charlotte Charpot est une jeune enseignante parachutée pour sa première affectation dans la banlieue de Nîmes au sein d'un établissement devenu au fil des agressions et des incidents un bunker pour ses professeurs et ses élèves. Rien ne lui sera épargné : les élèves qui défèquent derrière les portes, les enfants battus par leurs parents, les caillassages de voiture et l'indifférence de sa hiérarchie. Epuisée par ses années d'enseignement, Charlotte décide de rejoindre Bruxelles et d'enseigner dans la capitale de l'Europe là, où le système scolaire applique ce qui n'est encore en France qu'au stade de recommandations du Ministre de l'Education nationale. Voilà l'auteur, plongée dans la réalité du " flexi-prof ", ce prof qui au gré des horaires enseigne le français, l'histoire, la géo et les claquettes ? Pourquoi pas si le directeur de l'établissement l'exige. Ce n'est pas tout, voici maintenant venu le temps des insultes proférées par les élèves, les parents ou les " grands frères ". Le temps des menaces physiques, des intimidations sans oublier la monstrueuse attitude d'un directeur qui, par son refus de sanctionner la violence au profit d'un sordide racolage d'élèves, mène l'auteur au bord du gouffre. Cette histoire cynique, dure et vraie est celle du parcours d'un prof emblème de tous les profs. Eux qui doivent assurer une " garderie sociale " face l'abandon de l'autorité parentale, négocier, ruser, résister à la violence verbale, psychologique et physique des élèves. Mais ce que dénonce ici l'auteur, c'est la violence interne de l'Ecole : violence de l'abandon des enseignants par leur hiérarchie, violence du détricotage de la solidarité inter-profs, violence des règlements internes souvent flous ou non adaptés à cette nouvelle génération d'élèves, enfin, violence politique de réformes mal pensées. Comment survivre sans devenir fou de souffrance ?

Je vois ce qu'elle voulait dire en parlant de la comparaison avec la Belgique, en France aussi on veut que le prof devienne plus flexible, par exemple qu'il ne soit plus uniquement prof de français mais qu'il enseigne une autre matière aussi, et puis qu'il soit aussi vigile et technicien de surface, psychothérapeute, assistant social et j'en passe.

Bref j'arrête là, on est pas au comptoir :cool:
 
Oui mais justement mais la prof se plaignait aussi d'une classe de BTS, c'est pour ça que j'ai relevé, mais c'était en Belgique.


Ça on est bien d'accord, mais bon de là à dire "bien fait pour eux" (je caricature), non. Comment briser cette omerta ? Quand on voit comment fonctionne et agit un rectorat, un bunker stalinien, ça fait peur. Ma compagne a eu le malheur de dénoncer les dysfonctionnements qu'elle subissait, ses souffrances, sans passer par les voies hiérarchiques, en s'adressant aux 1ers ministres que sont Chatel et Peillon, bah je peux te dire qu'elle est grillée dans le publique maintenant et que ça vire au harcèlement (elle est contractuelle).

Je sais, je vis ça au quotidien. C'est déjà difficile quand on est titulaire, mais cela devient invivable lorsqu'on a le malheur d'être non-titulaire. Mon expérience personnelle est un peu différente de celle de ta compagne (je souhaite bonne chance en passant à cette courageuse collègue). Dans mon un bahut, le Proviseur est connu comme étant un « cas ». Le Rectorat sait que ses méthodes de management aboutiront à des conflits partout où il sévira. Cela protège un tout petit peu les contestataires. Mais le maître-mot est le même partout : « Ne faites pas de vagues » !


Les gens qui ne connaissent pas le milieu enseignant et ne perçoivent de ses revendications que leur dimension corporatiste devraient pourtant se persuader que lorsque nous défensons notre métier, c'est aussi dans l'intérêt des jeunes. Une lecture instructive : http://www.lemonde.fr/societe/artic...inactifs-decourages-de-tout_3422155_3224.html
 
Vu comme ça, le cas de cette prof-là est assez exemplaire. Tout ce qui est dénoncé ici, c'est la stricte vérité. Ce qui attend les profs et, soyons clairs, du même coup les élèves est clairement mis en avant. Et c'est bien ce qu'on voit arriver gros comme une maison.

Qui peut avoir un intérêt à avoir une équipe torturé, désolidarisée, réduite à une apparence de cohésion pour le paraître et se méfiant les uns des autres au fond. Personne ne peut vouloir ça ? Si ! Un authentique gestionnaire qui ne voit que les chiffres veut très exactement ça.
 
Nan mais le bac ça coûte cher de toute façon :rateau:
Vous servez à rien :o

En tout cas la gamine se syndique dès la rentrée, en attendant bah elle bosse dans le privée et oui... le pire c'est qu'ils savent très bien que si elle a son capès, elle va saisir le tribunal administratif pour le manque à gagner niveau salaire parce qu'elle est titulaire d'un DEA et qu'elle est payée bac+4 dans le publique et bac+3 dans le privée, vu qu'il y a largement jurisprudence dans le domaine, elle aura gain de cause, ça représente quand même 250 € par mois de manque à gagner. Et puis on pourrait rajouter une petite charge pour harcèlement moral aussi tiens :cool:
Raisons de plus de ne pas lui donner son capès du coup ! :rateau:
Je sais même pas si elle va retenter l'année prochaine, ça coûte lui coûte 600 € pour rien, du coup elle va viser direct l'agreg et puis voilà, fuck.
 
Nan mais le bac ça coûte cher de toute façon :rateau:
Vous servez à rien :o

En tout cas la gamine se syndique dès la rentrée, en attendant bah elle bosse dans le privée et oui... le pire c'est qu'ils savent très bien que si elle a son capès, elle va saisir le tribunal administratif pour le manque à gagner niveau salaire parce qu'elle est titulaire d'un DEA et qu'elle est payée bac+4 dans le publique et bac+3 dans le privée, vu qu'il y a largement jurisprudence dans le domaine, elle aura gain de cause, ça représente quand même 250 € par mois de manque à gagner. Et puis on pourrait rajouter une petite charge pour harcèlement moral aussi tiens :cool:
Raisons de plus de ne pas lui donner son capès du coup ! :rateau:
Je sais même pas si elle va retenter l'année prochaine, ça coûte lui coûte 600 € pour rien, du coup elle va viser direct l'agreg et puis voilà, fuck.
Ca m'intéresse : je suis dans la même situation (DEA + une première année d'un doctorat arrêté faute de sous à l'époque).
Mais s'il y jurisprudence, il vont bien être obligé de légiférer.
 
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Réactions: albert-r

2850€/mois pour un duplex de 173 m² au Champ de Mars.
No comment...
L'Express fait bien de rappeler que c'est "nettement inférieur" au prix du marché.
Mais qu'elle se rassure, pour ce prix là, elle trouvera probablement rien dans le Marais.

Sinon, je me demande à quelle banque alimentaire ils sont inscrits : avec les 36000€ par an de revenus qu'ils déclarent plus les 9000€ de Jalons, une fois le loyer payé, il leur reste 900€/mois pour vivre à deux dans ce quartier:siffle: Ça doit pas être facile tous les jours.

---------- Nouveau message ajouté à 07h53 ---------- Le message précédent a été envoyé à 07h13 ----------

Enllève tes lunette et lèche moi voir voir tes yeux.

Si vos gamins reviennent de l'école avec les yeux rouges, auraient-ils lu trop de mangas ?
 
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