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Les banques européennes rattrapées par la faillite de Detroit

Les banques du Vieux continent ont acquis pour un milliard de dollars de dette de Detroit. Elles relativisent l’impact du défaut de la ville.

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Pas de quoi s'inquiéter, vraiment ! Vont nous pondre une petite augmentation d'impôts et financer tout ça avec de l'argent public, de toute façon, argent que les banques nous reprêteront avec intérêt, mais seront, quelques temps après, dispensées de rembourser ! :siffle:
 
Non, mais je n'avais effectivement jamais réfléchis en ces termes.
Pour la TVA, que je trouve injuste à cause du même principe (plus t'es riche, moins tu paye proportionnellement à tes revenus), mais pas pour cet abattement.
Dont acte :zen:

Oui mais les impôts indirects ont un effet indolore, à l'inverse de l'impôt sur le revenu qui lui est douloureux et qui a un taux progressif. La mise en place d'une TVA avec taux progressif est juste impossible, de plus cela sera considéré comme de la discrimination.

L’abattement est injuste pour le même principe et on a pris les 10% mais cela s'applique à tous les abattements, sauf que le principe est la progressivité sur l'impôt sur le revenu et aussi l'individualisation (avec les pouvoirs de contraintes qui vont avec, administration fiscale) et non sur la TVA. Enfaite toutes les niches fiscales détruisent totalement l'intérêt de la progressivité.

C'est une question de point de vue après :)

:zen:
 
Pas de quoi s'inquiéter, vraiment ! Vont nous pondre une petite augmentation d'impôts et financer tout ça avec de l'argent public, de toute façon, argent que les banques nous reprêteront avec intérêt, mais seront, quelques temps après, dispensées de rembourser ! :siffle:

C'est comme si c'était déjà chose faite et c'est plié, emballé, pesé.
En bonne logique libérale.
Inévitablement. :hein:
 
Accounting for the ethnic unemployment gap in France and the US

Un article intéressant vient de paraître sur le très bon portail économique VoxEu.org.

Partant du constat que le taux de chômage des immigrés d’origine africaine en France est supérieur de 6 points à celui des nationaux (aux E.-U., l’écart entre blancs et noirs est de 9 points de pourcentage), l’étude de Gobillon, Rupert et Wasmer montre qu’une part non négligeable de ce décalage peut être expliquée, en France, comme aux E.-U., par des facteurs purement spatiaux, le temps de déplacement domicile-travail des immigrés ou des noirs américains étant plus long. En France, cette donnée pourrait expliquer entre 17% et 25% de la différence observée entre les taux de chômage des minorités immigrées et des nationaux.

Cette étude confirme trois faits bien connus des sociologues, géographes et économistes qui ont étudié la question, bien qu’ils restent souvent ignorés du grand public.
- La concurrence qu’apportent les immigrés aux nationaux est limitée, compte-tenu de leur taux de chômage plus élevé et de leur spécialisation dans certains secteurs d’activité ou certains postes particuliers. Les effets de l’immigration sur le marché du travail sont en fait mitigés. Elle contribue à accroître légèrement le taux de chômage global, mais aide en contrepartie à répondre à la pénurie de main-d’œuvre que connaissent divers métiers.
- Les discriminations à l’embauche ne peuvent pas être considérées comme les seules responsables du taux de chômage élevé des immigrés. Ne s’attaquer qu’à ces causes ne fera pas disparaître entièrement ces disparités.
- Les ségrégations socio-spatiales sont bien connues pour les E.-U., mais sont moins étudiées dans le cas français. Eles jouent pourtant un rôle important et tendent à s’accentuer, compte-tenu des caractéristiques du marché de l’immobilier en France. Là aussi, la ghettoïsation ne relève pas forcément d’une volonté de mise à l’écart de telle ou telle catégorie de population, mais s’inscrit dans une logique économique (on se loge là où les loyers sont faibles) ou socioculturelle (on se regroupe par affinités).
 
Cette dame a le sens de la formule tout de même : « Il est rare de voir un tueur en série diriger sa propre enquête » est plutôt bien trouvé, s'agissant de Cahuzac.

Oui. Cela, c'est bien trouvé. :D
Par contre, tout le cinéma tient dans la mise en scène de celle qui fait mine de tomber de (très) haut et n'aurait jamais cru... :siffle:
 
Cette dame a le sens de la formule tout de même : « Il est rare de voir un tueur en série diriger sa propre enquête » est plutôt bien trouvé, s'agissant de Cahuzac.

Tueur en série non, mais trafiquant, dealer et j'en passe, ça arrive... On l'a vu il n'y a pas si longtemps avec certains policier devla BAC de Marseilles... :(

Sinon, pour le meurtre en série, je n'ai effectivement que des exemples cinématographiques.
Souvenons nous de Mickey Rourke dirigé par Alan Parker avant qu'il sombre (Rourke, pas Parker). A voir et revoir...
 
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