Actualités amusantes... Ou pas [V.4].

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N'empêche, quand on lit tous ces discours plus ou moins scientifiques, partout, dans tous les sites de presse et de réactions, tous ces gens qui nous expliquent toutes ces histoires de petits trous noirs, et qu'après, on dit que c'est moi l'obsédé sexuel, ça me troue le Q !
 
Oui. Je suis pas une tapette de blondinet à mèche.
:D
 
ca fait bien longtemps que j'ai plus de mèche. VAs faire un tour sur les AP, tu verras! :siffle:

Ohlà, mal m'en prendrait, j'y verrais des gens dans la vie réelle. Vos avatars me suffisent. :D
 
Ben à Paris non plus, et bien que nous n'y ayons pas de collisionneur (je ne compte pas l'anneau de rideau de Saclay), nous n'y manquons pas de collisions, ce qui est tout de même un comble (mais donne du travail aux imprimeurs de constats amiables, c'est toujours ça de pris :siffle:). :D

Pascal?
la taille d'un trou noir créé avec une collision de particules serait de combien?
(au fait, il ne serait pas censé se résorber, non?)
(enfin,... vu mes non-connaissances dans ce domaine... )

la terre version oeuf mollet, il fallait vraiment que je vois ça.

Pfff...
 
Pascal?
la taille d'un trou noir créé avec une collision de particules serait de combien?
(au fait, il ne serait pas censé se résorber, non?)
(enfin,... vu mes non-connaissances dans ce domaine... )

la terre version oeuf mollet, il fallait vraiment que je vois ça.

Pfff...

Pour commencer, faudrait déjà qu'une collision de particules puisse créer un trou noir, ce qui, à l'échelle du VHC me parait difficilement envisageable, ce qui est d'ailleurs heureux pour nous, parce que si des collisions de 18 Tev pouvaient créer des trous noirs, il y a beau temps que l'univers n'existerait plus, car des gerbes de particules résultant de collisions d'une énergie de plusieurs ordres de grandeur supérieure, il s'en produit à chaque seconde dans notre atmosphère.

Pour créer un trou noir, même si on parvenait à créer un collisionneur capable d'atteindre des Pev (Peta électrons volts : 1 Pev = 1000 Tev), ça ne suffirait pas. Pour fixer un peu les choses, les 18 Tev du VHC, c'est moins que ce qu'une simple mouche déploie comme énergie pour voler :siffle: :rolleyes:

Nan, comme l'an 3000 est un peu loin pour eux, ceux qui aiment se faire peur (et faire peur aux autres) n'hésitent pas à chercher d'autres sources et tirent sur tout ce qui bouge ! :mouais:
 
bien ce que je pensais... (mais, en fait, la durée de vie d'un trou noir ne dépend pas de l'information qu'il a acquise au début, non? on pourrait avoir des trous noirs qui durent le temps d'un pet de mouche, pour reprendre l'expression... :zen:
Ah, ça c'est sûr qu'il y aura toujours des enfoirés pour faire peur aux gens.


(Enfin, moi, je suis mal placé... Quand on a commencé à parler (autour de moi, hein... ) de collisions au LHC pouvant impliquer des trous noirs (si je me souviens bien, j'avais 11 ans, je crois....), le premier truc que j'ai pensé, c'était: cool on va pouvoir voir enfin comment ça marche, et si on peut en faire une méga giga extra source d'énergie (le coup du trou noir (l'âne courant après une carotte en créant de l'énergie :p). (mais je suis sûrement taré) )

Edit: Dans l'atmosphère, 20 TeV?
La vache. Le vent solaire? (le gros, hein :D)
 
La durée de vie d'un trou noir est une inconnue, mais on pense qu'ils pourront sans doute survivre à l'Univers, les trous noirs n'absorbent pas de l'information (du moins pas en tant que telle) mais de la matière, et il n'y a pas de rapport établi "quantité absorbée/durée de vie".

Dans l'atmosphère, les collisions entre particules de haute énergie et celles de l'atmosphère peuvent dégager une énergie de l'ordre de la centaine de Tev, si ma mémoire est bonne, et non, ça ne représente pas la vache, seulement trois ou quatre de ses mouches, tout au plus :cool: :D
 

l'article en question a dit:
On sait que la déviation d’un faisceau lumineux éclairant la Lune à partir de la Terre se déplace plus vite que la vitesse de la lumière à la surface de la Lune, sans que la lumière elle-même dépasse la vitesse limite,

:eek::eek:

Perso, moi je savais pas :rose:
Et si quelqu'un pouvait m'expliquer (succintement mais clairement), il aurait droit à toute ma gratitude :cool:
 
Ça doit être une histoire d'indice de réfraction ... non ? Si on considère la terre comme un dioptre ...
 
:eek::eek:

Perso, moi je savais pas :rose:
Et si quelqu'un pouvait m'expliquer (succintement mais clairement), il aurait droit à toute ma gratitude :cool:

Je poste pas souvent :o, même si j'ai appris pas mal de trucs grâce à ce forum, pour le coup si je peux renvoyer l'ascenseur...

En fait il s'agit d'une expérience imaginaire. Imagine qu'on utilise un faisceau laser pointé sur la lune à partir de la Terre et qu'on puisse voir le point lumineux sur la surface de la Lune.

Maintenant on met le laser sur un dispositif qui tourne à une vitesse angulaire de 1 degré par seconde. Le point lumineux sur la Lune va se déplacer en ligne droite.
La vitesse de ce déplacement est proportionnelle à la vitesse angulaire du laser et à la distance Terre-Lune, selon la relation : v= theta*d (v:vitesse de déplacement du point lumineux à la surface de la Lune; theta:vitesse angulaire du dispositif sur Terre; d distance Terre-Lune, environ 380 000 km)

Résultat: le point lumineux se déplace à 380 000 km/s à la surface de la Lune, sans que la lumiere du laser n'ait dépassée 300 000 km/s sur le trajet Terre-Lune.
 
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Réactions: Romuald
Je poste pas souvent :o, même si j'ai appris pas mal de trucs grâce à ce forum, pour le coup si je peux renvoyer l'ascenseur...

En fait il s'agit d'une expérience imaginaire. Imagine qu'on utilise un faisceau laser pointé sur la lune à partir de la Terre et qu'on puisse voir le point lumineux sur la surface de la Lune.

Maintenant on met le laser sur un dispositif qui tourne à une vitesse angulaire de 1 degré par seconde. Le point lumineux sur la Lune va se déplacer en ligne droite.
La vitesse de ce déplacement est proportionnelle à la vitesse angulaire du laser et à la distance Terre-Lune, selon la relation : v= theta*d (v:vitesse de déplacement du point lumineux à la surface de la Lune; theta:vitesse angulaire du dispositif sur Terre; d distance Terre-Lune, environ 380 000 km)

Résultat: le point lumineux se déplace à 380 000 km/s à la surface de la Lune, sans que la lumiere du laser n'ait dépassée 300 000 km/s sur le trajet Terre-Lune.

Là ou le bas blesse, c'est que justement, on ne peut pas le voir, d'une part, et que d'autre part, même si on pouvait, on ne le verrait se déplacer qu'à 300 000 Km/s, et non à 380 000. Il suffit d'observer un jet d'eau en rotation pour comprendre pourquoi :siffle:

Navré d'avoir coincé l'ascenseur entre deux étages ;)
 
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