Voui...
Prendre aux riches, j'ai rien contre, du moment qu'on prend aux plus riches que moi
Actualités amusantes... Ou pas [V.4].
- Créateur du sujet Nephou
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Voui...
Prendre aux riches, j'ai rien contre, du moment qu'on prend aux plus riches que moi
Ce que je remarque, c'est la manière dont Mamère s'enlise dans son système de défense très langue de bois, qui ne peut en définitive nier qu'il était arrivé en voiture. Or, il a clairement raconté des craques 10 minutes plus tard. Pris sur le fait, il refuse d'assumer. :rolleyes:
Ce n'est pas l'acteur à qui j'aurais pensé en premier, même s'il a joué indiscutablement un rôle clé dans cette fabuleuse aventure, mais bon...
En tout cas, ça nous promet de beaux débats en perspective.
Le coût total de l'implantation de la bête est estimé aux alentours de 180 000. C'est moins qu'une greffe cardiaque (coût global estimé de 250 000), mais dont on pourrait dire cyniquement qu'il s'auto-régule du fait de manque de greffons (1 patient sur 3 inscrit sur les listes de transplantation survit suffisamment longtemps pour être greffé). Là, plus d'autorégulation, et la baisse des coûts une fois la phase "d'industrialisation" atteinte seront certainement marginaux.
D
Deleted member 111510
Invité
"La nouvelle maxime de Wall Street et de la City est : I.B.G.-Y.B.G.
Ill Be Gone, Youll Be Gone, soit en français : « je ne serai plus là, vous ne serez plus là ».
Ca signifie très clairement que les cataclysmes de demain inévitables comme conséquence des comportements daujourdhui ne sont pas leur problème."
Que reste-t-il du capitalisme ?
Le chaos ils s'en lavent les mains, ils seront toujours au chaud les gars si on continue de laisser la finance criminelle gouverner nos hommes "politiques", et pardonner indéfiniment ceux là. "Responsable mais pas coupable". Peut-on encore espérer quelque chose de ces gens qui se disent être les élus de la Nation ?
Ill Be Gone, Youll Be Gone, soit en français : « je ne serai plus là, vous ne serez plus là ».
Ca signifie très clairement que les cataclysmes de demain inévitables comme conséquence des comportements daujourdhui ne sont pas leur problème."
Que reste-t-il du capitalisme ?
Le chaos ils s'en lavent les mains, ils seront toujours au chaud les gars si on continue de laisser la finance criminelle gouverner nos hommes "politiques", et pardonner indéfiniment ceux là. "Responsable mais pas coupable". Peut-on encore espérer quelque chose de ces gens qui se disent être les élus de la Nation ?
Bon, et si on s'occupait un peu du qualificatif 'amusantes' du titre du fil et qu'on laissait tomber le 'ou pas' ? Parce que si vous aimez vous faire peur ou vous déprimer il suffit de lire les journaux ou de regarder la télé. Pas la peine d'en rajouter une couche ici, non ?
M
Membre supprimé 2
Invité
Pas complètement d'accord. S'en tenir à ce qui est amusant, amènerait notamment à exclure l'actualité scientifique insolite, surprenante, mais pas forcément drôle.
Celle-ci n'a rien de scientifique, mais je me demande si elle est drôle ou terrifiante en fait :
Visite du commandant des bases de missiles nucléaires américaines à Moscou : sexe, alcool et chansonnette au restau mexicain
Et bancaire et financière. Tu oublies bancaire et financière. L'association drôle et bancaire et financière c'est un de ces mots que toi seul connaît, mais tu vois ce je veux dire : antinomique en plus compliqué et encore plus antinomique. Une sorte de e(antinomique).
---------- Nouveau message ajouté à 09h40 ---------- Le message précédent a été envoyé à 09h33 ----------
«Une femme de bureau de tabac parlant physique aux petites heures du matin ne fait pas beaucoup de sens selon moi, a déclaré Carey aux enquêteurs selon le Post. On doit faire attention à ça parce que c'est exactement ce que notre entraînement nous apprend, vous savez, les gens vont à la pêche aux informations.»
S'il a vraiment sorti ça comme ça, soit il était pas désaoulé, soit, je ne sais pas, mais il est urgent que les altérations cognitives dont il semble victime évoluent très vite afin qu'il oublie rapidement et définitivement les secrets technologiques nucléaires dont il paraît détenteur...
Dernière édition:
elle l'a reconnu au goût
elle l'a reconnu au goût
Ben, oui, c'était son épicier, quand même.
Et faut bien assurer les fins de mois difficiles.
M
Membre supprimé 2
Invité
Merci.
Du coup, je suis allé voir, et j'ai appris au passage que je faisais tous les jours des trucs fabuleux : des asyndètes, moins souvent, mais quand même, des chiasmes (des miasmes, je savais, mais des chiasmes, je m'impressionne). J'oxymore, je chiasme, j'asyndète.
Dernière édition:
M
Membre supprimé 2
Invité
Très sérieusement, je pense que la poésie est le langage naturel. La prose est un travail pour domestiquer le langage, le formater et le normaliser. Lorqu'on s'exprime sans ces contraintes, on multiplie les figures de style, on raisonne par analogie, on met du rythme, on joue sur les sonorités ou sur la polysémie des mots. Bref, on fait de la poésie.
- M. Charles, dit "Le Téméraire" (Bernard Blier) : J'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier. L'aigle va fondre sur la vieille buse.
- Gros bras 1 : C'est chouette comme métaphore, non ?
- Gros bras 2 : C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
- Gros bras 1 : Oh fait pas chier
- Gros bras 2 : Ça, c'est une métaphore.
En y réfléchissant, c'est pas faux, même s'il faut que j'aille voir "polysémie" (et après on dit que les toubibs ont un jargon épouvantable
)Mais là tu cites du lourd.
À ce propos, mon libraire (et oui, ça existe encore, même si j'y vais surtout parce que c'est le papa du meilleur copain d'un de mes canards, et qu'on rigole bien) m'a signalé ce bouquin qui, semble-t-il, se détache nettement du reste (abondant s'il en est).
Dernière édition:
Je dirais : "À partir du moment où ça ne risque pas de causer une blessure supplémentaires aux victimes de l'évènement en question".
Contrairement à d'autres, je suis persuadé qu'il n'y avait rien de plus qu'une tentative d'humour maladroite de ta part, mais imagine un instant l'effet que ton jeu de mots aurait si sa femme ou son fils tombait dessus ! :hein:
D
Deleted member 18124
Invité
De mon point de vue, on peut rire de tout. Après, tout dépend comment c'est fait.
Éternel sujet, mais le papier semble intéressant. Pas d'accès libre à l'article complet, hélas, et l'abstract n'est pas suffisant pour un sujet pareil...
Le rire et l'ironie sont de très bonnes stratégies de coping (= techniques qu'on emploie inconsciemment ou non pour faire face aux évènements), donc je mettrais les limites assez loin, pour ceux qui ont vécu l'évènement.
Après pour les témoins proches ou lointains c'est plus compliqué. Mon sentiment est qu'on s'auto-censure et/ou que l'émotion ou l'empathie prennent le dessus. Maintenant, dans tous ces évènements, il y'a toujours des anecdotes, des situations ubuesques, qui font rire, tout simplement parce qu'elles sont drôles, et précisément parce qu'elle s'inscrivent dans un drame où elle n'ont pas leur place (je sais pas bien comment m'expliquer...). Et puis il arrive de rire des plaisanteries de ceux-là mêmes qui ont vécu l'évènement.
La légitimité de celui plaisante de l'évènement me semble en effet essentielle. Quand Élie Seimoum, dans un sketch à propos d'une cérémonie funéraire (c'est une incinération) se vante "d'avoir des fours allemands, qui on fait leur preuve", c'est spécial, mais ça fait sourire. Dit par monsieur Le Pen, ce serait une abomination (il ne s'est pas gêné). La même chose vous fait rire ou vomir instinctivement, presque, dès lors que vous avez identifié en amont qui plaisante.
[YOUTUBE]dJ8TUaMaVjM[/YOUTUBE]
Le fameux "bling", à la fin...
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