Actualités amusantes... Ou pas [V.4].

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On vit une époque formidable

Pitain...
D'accord le mec est un gros con, ce qu'il a fait est plus que nul et méprisable, mais franchement son geste nécéssite-t-il des appels au meurtre et des pétitions adressées à deux ministres ? Sans compter que son nom ayant été divulgué il doit avoir chaud aux fesses...
 
Ca reste à voir.

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Ne me relance pas là-dessus. On a rebaptisé ça "sismothérapie" et on y colle vite fait même les "dépressions sévères" dont parle BigDidou s'ils sont un peu trop récalcitrants dans certaines cliniques.
J'ai fait un burn out (prolongé — dont je suis sorti dans un sale état, du coup) et c'était la hantise de ma compagne qu'on m'y fasse passer ou que je finisse par demander moi-même d'y aller. La "clinique" faisait pratiquer ça par des potes d'à côté totalement non qualifiés. J'ai vu un type qui y avait eu droit : il marchait en se tenant aux murs. Ce genre de visions d'horreur, on en reste marqué pour la vie et ça fout une envie carabinée de foutre le feu à certains "établissements".
Pour la "sismo", la différence avec les bonnes vieilles méthodes (auxquelles ont goûté des gens comme Althusser — lisez son bouquin quand il dit que les médecins diagnostiquèrent ensuite une "légère tendance à la paranoïa" (noonnn ? Comment est-ce possible ?) c'est qu'on vous endort et on vous inocule un peu de curare (oui, comme les condamnés à mort et sans doute pour les mêmes raisons : que vous ne bougiez pas de façon trop inquiétante). C'est donc moins impressionnant mais les dégâts, parfois irréversibles sur le cerveau sont bien là, eux.

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La psychiatrie aurait sérieusement besoin d'une thérapie à la lance d'incendie. Il y a une tripotée de gens qu'il faudrait définitivement empêcher de nuire, et une bonne partie des autres, on devrait leur interdire de prétendre qu'ils soignent qui que ce soit.

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Là, je suis mort de rire (jaune).

Vaut mieux le caveau des bannis que ce dont je parle plus haut.



Mais bon, tant que ça paye la jaguar du maître des lieux, hein ?


J'aurais dû effectivement préciser que je ne parlais que d'une petite portion des milieux psychiatriques, ceux des CHU (qui sont par ailleurs loin d'être parfait, ce n'est pas moi qui vais mettre à dite du bien de la psychiatrie), mais, où même là où il reste une grande violence institutionnelle, en général plus faute de moyens que d'autre chose, bien qu'il y ait des améliorations, lentes, certes, mais certaines.
L'introduction d'un contrôle judiciaire dans les hospitalisations sous contrainte a été très salutaire et ça a transformé le respect du droit des patients, quand juge joue le jeu.
Pour le curare, tûes dur, c'avant toit pour que le patient ne se blesse pas. L'effet collatéral sur sa sécurité fait que l'emploi du curare impose que les les exceptionnelles sismos se fassent au bloc, avec un anesthésiste attentif, un plateau d'intubation prêt et tutti quanti...
Enfin, en CHU...
 
Dernière édition:
Les sismo ne sont pas du tout exceptionnelles (et même en CHU, j'ai des doutes). De toute façon qui va en CHU ? En général, c'est encore pire. On fait comme dans la clinique dont je parle : on bourre tout le monde de cette merde super à la mode d'Anafranil, on leur colle des anxio à hautes doses dès qu'il bouge une oreille, et bien plus longtemps que ne le permet la posologie recommandée. Si ça bouge encore, on te finit aux neuroleptiques.

Quant aux "fous", j'ai déjà vu comme on les traite (les piqûres pour un mois collé aux schizophrène qui les laissent à l'état semi-humain pendant plusieurs jours, parce que c'est plus simple que d'adapter le traitement "en ambulatoire").

Les dépressions sévères sont très nombreuses. Et ça ne va pas s'arrêter. Parce que :
1. On refuse d'admettre comme une cause directe et principale les conditions de travail (on essaie de faire sauter les quelques centres qui prenaient le problème de front — si je ne m'abuse les gestionnaires ont fini par avoir Marie Pezé qui mettait cette vérité dérangeante un peu trop en avant).
2. Quand on "soigne" en fait on enfonce. On "oublie" de dire à quelqu'un à qui on colle des AD combien de temps il mettra à se désintoxiquer de ces merdes. On "oublie" aussi de lui dire que les effets secondaires sont en réalité dévastateurs (anéantissement de la libido, tremblements, prise de poids, sommeil, dérèglement d'à peu prés tout : à mon avis le système hormonal, la gestion de l'insuline etc. en prennent un gros coup dans les dents— et je ne parle que des AD soi-disants sans effets secondaires — mort de rire!). On oublie de leur dire que ça peut même leur bousiller le foie. On oublie surtout de leur dire que ça ne sert strictement à rien et qu'une méta-analyse a prouvé (même si l'interprétation est étrangement prudente pour les dépressions lourdes) que ça ne méritait pas le nom de médicament, d'un point de vue scientifique.
Comme on "oublie" de dire aux électrocutés que leur mémoire va peut-être se barrer, qu'ils vont ressembler à des zombies pendant "un certain temps" (à dire avec la voix de Fernand Raynaud) et que cette méthode "scientifique" n'est basé que sur un empirisme bordélique et une énorme dose d'aveuglement.

---------- Nouveau message ajouté à 15h37 ---------- Le message précédent a été envoyé à 15h34 ----------

On va rendre la philo obligatoire en fac de médecine. Avec un peu de chance ça remettra un peu les idées en place de la prochaine génération... :D
 
On vit une époque formidable

Pitain...
D'accord le mec est un gros con, ce qu'il a fait est plus que nul et méprisable, mais franchement son geste nécéssite-t-il des appels au meurtre et des pétitions adressées à deux ministres ? Sans compter que son nom ayant été divulgué il doit avoir chaud aux fesses...

ouais !

l'exemple :siffle:

encore heureux que ce n'est pas Dieudonné qui ait martyrisé le chat :D
 
On vit une époque formidable

Pitain...
D'accord le mec est un gros con, ce qu'il a fait est plus que nul et méprisable, mais franchement son geste nécéssite-t-il des appels au meurtre et des pétitions adressées à deux ministres ? Sans compter que son nom ayant été divulgué il doit avoir chaud aux fesses...

Encore une victime du Web 2.0. Le web "communautaire" encourage tous les connards de ce genre à coup de PTDR etc. Le Web "communautaire" adore aussi lyncher. Pas de pot.
En même temps, on a bien dit que les tueurs en série commençaient comme ça ?

Personnellement je n'irais pas chialer sur le sort de ce sinistre connard. La connerie l'a rendu célèbre, la connerie lui aura fait la peau. La messe est dite !
 
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Réactions: ergu
2. Quand on "soigne" en fait on enfonce. On "oublie" de dire à quelqu'un à qui on colle des AD combien de temps il mettra à se désintoxiquer de ces merdes. On "oublie" aussi de lui dire que les effets secondaires sont en réalité dévastateurs (anéantissement de la libido, tremblements, prise de poids, sommeil, dérèglement d'à peu prés tout : à mon avis le système hormonal, la gestion de l'insuline etc. en prennent un gros coup dans les dents— et je ne parle que des AD soi-disants sans effets secondaires — mort de rire!). On oublie de leur dire que ça peut même leur bousiller le foie. On oublie surtout de leur dire que ça ne sert strictement à rien et qu'une méta-analyse a prouvé (même si l'interprétation est étrangement prudente pour les dépressions lourdes) que ça ne méritait pas le nom de médicament, d'un point de vue scientifique.

T'y vas un peu fort là nan ?? :rateau:
Un AD (Seroplex/deroxat) a changé ma vie y a pas loin de 10 ans, quand j'étais de plus en paralysé par une anxiété généralisée, crises de paniques à répétition, dépression, perte d'appétit, perte de tout. Je voulais pas le prendre le machin au début, je n'avais plus confiance aux médecins et à leurs pilules à la con, et en plus il m'a rendu encore plus malade les 15 premiers jours, mais ça a marché pourtant et même super bien. Je me suis alors senti libre tout simplement et tout mon comportement à changé, je me sentais enfin moi même, sans toutes ses barrières qui m'empêchaient d'agir, de tout simplement vivre. Ça ne m'a absolument pas bousillé le foie, je n'ai constaté aucune prise de poids lié au traitement, c'était seulement parce que j'avais à nouveau de l'appétit et que j'avais besoin de me remplumer un peu, mes analyses de sang sont nickelles, tout va bien. Je n'ai pas constaté un seul effet secondaire et certainement pas sur la libido bien au contraire. Donc non ce n'est pas la même chose pour tout le monde non plus, et je ne pense pas qu'il faille généraliser à ce point.
 
Dernière édition:
Je ne peux pas dire pour le Seroplex et le Deroxat (pas les mêmes AD, par contre). Quant à ce que j'ai pu connaître, ça aide au début, et ensuite ça enfonce. Je me dis que ça peut marcher quand on les prend six mois et qu'on arrête, mais dès qu'on va plus loin, ça te fout dans le trou plus qu'autre chose. Les effets secondaires sont gérables au début, c'est leur installation dans le temps qui devient catastrophique (et je ne parle des bombes atomiques utilisées par les psychiatres, juste des "gentils" ISRS présentés comme des bonbons.

D'ailleurs cette histoire de prise courte ça contredit le rapport de la méta-analyse dont je parlais :
— aucun effet pour les dépressions "légères" -> allez voir un psy
— effet sur les dépressions sévères (écart rendu significatif contre placebo... par la baisse de l'efficacité du placebo!).

On pourrait dire l'inverse donc :
— Si vous vous en sortez en moins de six mois vous pouvez y aller, vous n'aurez pas le temps de morfler.
— Si vous êtes apparemment parti pour du lourd, surtout pas, et surtout allez voir un psy(chologue) ou faites une thérapie qui marche, parce que là vous allez payer trop cher au niveau des effets secondaires.

J'ai tout de même de temps en temps croisé des personnes sous AD qui avaient toutes les caractéristiques de mauvais effets secondaires : tremblements très importants, pupilles qui danse la gigue, énervement et volubilité morbide.
C'est ce qui arrive quand on tourne à 2 ou 3 cachetons par jour.
 
Dernière édition:
Oui, dans les hôpitaux universitaires, c'est très rare, et ça correspond à des situations où on peut pas faire autrement. Je connais un peu le milieu, les pratiques, et surtout les référentiels et les protocoles. Quant aux baisses de budget, et donc du manque de personnels, c'est vraiment pas aux professionnels qu'il faut le reprocher,
Quant à la philosophie, ça va, merci, pour un certain nombre.
Pour l'exemple, un de mes maîtres qui fut l'inventeur du concept du service d'accueil et d'orientation des urgences. Anesthésiste, mais littéraire de formation, il était latiniste et helléniste, parlait couramment latin. Bien des staffs se terminaient par une formation sur les philosophes antiques, les stoïciens, et par voie de conséquence Descartes, Spinoza ; amateur des bonnes choses, il aimait bien confronter les stoïciens aux épicuriens. J'ai largement approfondi tout ça après, et, par la pratique de la pleine conscience, me suis rapproché de la méditation, et donc, forcément du bouddhisme. Et je suis loin d'être un cas isolé. Alors nous avons bien des défauts, des moutons noirs, mais, bon, la généralisation à outrance, les médecins et la médecine responsable de tous les maux, mauvais objet sociétal, on en a beaucoup souffert dans les années 90-2000. Ça s'est un peu tassé, mais ça continue... Après si on est tous des cons sadiques et incompétents, on n'est pas obligé de venir nous voir.
... Contrairement aux profs, l'école étant obligatoire jusqu'à 16 ans, et contre lesquels, conscient de leur malaise, de leurs difficultés je me garderais bien de dire le 1000e de ce j'ai reçu et reçois encore régulièrement dans la gueule, la preuve encore ici.
Ça va, merde :mad:

---------- Nouveau message ajouté à 18h36 ---------- Le message précédent a été envoyé à 18h06 ----------

Tiens, voilà la réalité des gros connards qui pensent qu'a vider le cerveau de certains (c'est aussi de l'actu) :

"L’Union française pour une médecine libre (UFML), organise le 18 février prochain, le premier “jour noir” en hommage aux médecins qui se sont donnés la mort, ou sont dans la souffrance.

L’organisation présidée par le Dr Marty, rappelle des chiffres : alors que le suicide représente 5,8 % des causes de mortalité dans la population générale, il atteint 14,8 % parmi la population médicale soit un taux 2,48 fois supérieur à la moyenne nationale.

“Le burn-out, souvent porte d'entrée du suicide, menace plus de 50 % des médecins. Les causes sont établies, souvent intriquées : surmenage, difficultés administratives, ordinales, financières, divorces, addictions, agressions de plus en plus fréquentes et violentes, déconsidération...” énumère la structure en regrettant que tous les rapports sur le sujets, depuis 2003, soient restés lettre morte. Et qu’aucune sanction envers des responsables administratifs n’aient été prises. "


Dans un amphi de 100 étudiants en médecine 15 mourront en se suicidant. Bien fait pour ces crétins incultes.


---------- Nouveau message ajouté à 18h38 ---------- Le message précédent a été envoyé à 18h36 ----------

Autre actu médicale, plus légère, mais non moins inquiétante (l'ARS, ou Agence Régionnale de Santé sont nos Yeux de Moscou) : http://www.zataz.com/news/23219/ars--paps--hack.html
 
Dernière édition:
Suicide et dépression. Électrochocs et camisole chimique. Les joies du métier de médecin et du boulot de prof.

Pas de doute, je suis dans le bon fil pour vous expliquer pourquoi la zone euro n'est pas une zone monétaire optimale. :o
 
Suicide et dépression. Électrochocs et camisole chimique. Les joies du métier de médecin et du boulot de prof.

Pas de doute, je suis dans le bon fil pour vous expliquer pourquoi la zone euro n'est pas une zone monétaire optimale. :o


Tu prêches un converti...
 
@BigDidou. Mon médecin lui-même se plaint de la dégradation des "humanités" en médecine, du niveau d'orthographe de ses jeunes confrères, par exemple (résultat d'une sélectionnite scientiste via la trop fameuse terminale S, où tout élève digne de ce nom est censé aller).

Je ne vais pas en remettre une couche dans l'auto-contrition, mais je sais pertinemment que soignant, c'est un boulot épuisant. Soit, ceci dit :

1. Les types auxquels j'ai eu affaire ne sont pas des soignants (ils n'en méritent pas le nom) : ils cachetonnaient les consultations de 2mn en faisant attendre les "patients" toute la matinée pour ces fameuses 2mn. On le les voyaient pas le reste du temps. Le téléphone était laissé à une boîte privée qui tarifait hors de prix les communications, les portables étaient confisqués. Quasi aucun soin psychologique (apparemment des stagiaires étaient engagées, étaient visiblement débordées et au bord du burn-out aussi).

2. Dans les CHU, on gére la crise sans cesse, soit, mais on cachetonne à tout va aussi. Par contre on cachetonne essentiellement dans le sens médicamenteux du terme, beaucoup moins sans doute dans le sens pécunier du terme (vive le public).

---------- Nouveau message ajouté à 21h33 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h29 ----------

Maintenant je suis le premier à être horrifié de la gestion délirante imposée aux hôpitaux et de ce qu'on demande aux personnels pour faire des économies sur la bête.
Comme pour les profs : la variable d'ajustement n'a qu'à se taire et serrer les dents.
 
Voilà, en toute amitié, faut pas se tromper de cible. C'est vrai que des fois on salope le bouleau, mais franchement, ça nous amuse pas plus que les profs ou les flics de le faire,
Fait exploser les ARS une à une, multiplie par deux le budget des hôpitaux (comme celui des écoles, de facs...), et on en reparle. Tu verras que dans les métiers de la santé, comme dans l'éducation, et même chez les flics tant décriés, y a pleins de gens qui voudraient tellement mieux faire. C'est peut-être pas un hasard non plus si c'est les trois métiers qui se suicident le plus...
 
Allez, arrêtez de déprimer et prenez exemple sur ce type ;) :

Il touche enfin terre après 16 mois et 12 000 km de dérive dans le Pacifique
Pour se sustenter, il pêchait à main nue des tortues, des poissons, et capturait des oiseaux. Les jours où il ne pleuvait pas, il buvait du sang de tortue pour se désaltérer.
Il paraît d'ailleurs que c'est excellent le sang de tortue, si l'on en croit l'Académie des sciences d'Ouzbékistan (personnellement, je ne jure que par la science ouzbèque
crazy.gif
) : Boire du sang de tortue pour prolonger la vie - Libération
 
Un auteur que je connais. J'ai l'une de ses BD chez moi.
 
Tu peux aussi pisser contre des chênes ou des platanes, tu sais ! :D


Arf, tu sais, on a beau se croire dur comme un chêne, mais finalement on s'enflamme, vite par moment.
Les veilles branches qui sont ici le savent.
Et c'est vrai qu'en étant des fois obligé de saloper le travail, on a vraiment l'impression de scier la branche sur laquelle on est assis.
Voilà, j'ai dû en manquer quelques uns, mais je fais confiance à Pascal pour nous montrer de quel bois il se chauffe.
 
Histoire d'en rajouter une couche, je raconterais bien un truc qu'il faut lire jusqu'au bout.
Après être passé plusieurs fois aux urgences récemment (publiques et privées), je me suis dit : c'est comme ça qu'on traite les gosses à l'école publique, aussi ?

Comprendre : on bosse dans des conditions qui vont jusqu'à l'ignoble et le vexatoire (étant gérés la plupart du temps par des gens qui nous détestent), on se tape des classes surchargées et sur-chargées en prime de gamins dont les autres ne veulent pas. Les autres en question, eux, vont jusqu'à sélectionner uniquement ceux qui vont leur permettre de faire de bons chiffres au bac. Nous on a tout le reste, et dans des conditions où ça devient de plus en plus ingérable.

Quand je vois le temps que je passe à essayer d'obtenir une conduite vaguement correcte de la part d'une partie de mes élèves, et que je réalise à quel point ça "impacte" (comme on dit) sur ce que je peux donner à ceux qui se comportent bien, ça me navre.
Dans les classes plus "hard" là ça devient une gestion de crise.

Il suffirait de plus de moyens et de plus d'appui de la part de ceux avec qui on bosse, d'effectifs raisonnables, etc.
Mais non : faut faire faire des économies aux contribuables (et il va bien falloir trouver un moyen d'économiser le fric qu'on va — encore — filer aux entreprises très prochainement).
 
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