Se marier, oui à condition davoir une poitrine parfaite :rateau:
Sans pour autant en faire une excuse, elle est loin d'être la seule...La France est dans un déni obstiné quant au coût de la souffrance au travail, qu'elle soit psychique ou physique.
Je revendique ma position dhomme libre et surtout jestime que jai le droit de critiquer lEtat dIsraël comme je le fais car en terre de Palestine, cet Etat né sur les cendres de la Shoah quest Israël pratique à légard des Musulmans ce que les nazis ont infligés aux Juifs durant la seconde guerre mondiale et ça, je ne peux laccepter !
A mon avis, son cas relève de la psychiatrie, pas des tribunaux. :siffle:
Lui faire un procès c’est lui donner une tribune d’où il pourra se faire passer pour une victime.
Bah, il n'a plus de tribune (sauf son blog et son compte facebook) et je ne sais pas si il est encore conseiller dans sa commune. Il s'enfonce tout seul comme con, il finira en prison.
le lien ne fonctionne plus, mais je vois que Macgé explique que Feedly subit une attaque en ce moment..
Tiens ils ont piqué des idées à l'extrême-droite suisse les nazillons.Le président allemand peut qualifier les néo-nazis de « cinglés »
Ils ont même instrumentalisé Romuald ! :eek:
Ils ont simplement repris l'affiche de l'UDC en Suisse. ça serait marrant qu'ils se ramassent un procès pour plagiat![]()
Ils ont simplement repris l'affiche de l'UDC en Suisse. ça serait marrant qu'ils se ramassent un procès pour plagiat![]()
La France est dans un déni obstiné quant au coût de la souffrance au travail, qu'elle soit psychique ou physique. On l'a vu lors de la polémique sur la journée de carence dans la fonction publique : les obsédés du présentéisme n'ont voulu considérer que la diminution des absences de courte durée qui a découlé de la mise en place de cette carence, en affectant d'ignorer que les absences de longue durée liées aux maladies professionnelles et aux accidents du travail, qui représentent l'essentiel des journées de travail non effectuées et sont de très loin les plus coûteuses pour la collectivité, étaient parallèlement en train d'exploser.
On est encore en France dans l'attente d'une enquête épidémiologique poussée qui mesure sérieusement le coût de la souffrance au travail (voir tout de même S. Bejean, H. Sultan-Taieb et C. Trontin, « Conditions de travail et coût du stress : une évaluation économique », Revue française des affaires sociales, n° 2, 2004). En Suède ou en Suisse, où le travail a été fait, on estime ce coût à environ 3 % du PIB. Comme le dit l'auteur de l'étude sur le coût du présentéisme : "[ ] beaucoup dentreprises rechignent encore à investir sur la qualité de vie au travail car elles ne perçoivent pas forcement le retour sur investissement".