Actualités amusantes... Ou pas [V.4].

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"Vraiment, la seule chose que je veux, c'est que tu apprécies ton voyage et qu'il te rende heureuse. Je n'attends rien en retour, je n'attends pas de relation, pas de romance, pas de drogue"

Bien sûr et...

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:p
 
Juste parce que ça m'a fait sourire :D

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allons bon, toi aussi tu t'y mets, à ce genre de désinformation...
(escroc ! :p)

"je rêve d'une société où tout le monde serait comme moi, c'est à dire n'aurait aucune envie de partir en retraite"
 
Oui, j'avais très bien vu qu'Attali parlait de la retraite, du plaisir de travailler encore à un âge avancé, etc.

J'ai agi par pure malveillance, je l'avoue. Je suis prêt à tout pour aider à discréditer ce type. :o

Contempteurs d'Attali, unissez-vous !
 
Pour une fois, nous serions du même côté de la barrière. ;)
 
Oui, j'avais très bien vu qu'Attali parlait de la retraite, du plaisir de travailler encore à un âge avancé, etc.

J'ai agi par pure malveillance, je l'avoue. Je suis prêt à tout pour aider à discréditer ce type. :o

Contempteurs d'Attali, unissez-vous !

Pour une fois, nous serions du même côté de la barrière. ;)

Je ne suis pas un comptempteur d'Attali mais je ne vois pas ce qu'il y a de si affreux dans ses propos.
 
Je ne suis pas un comptempteur d'Attali mais je ne vois pas ce qu'il y a de si affreux dans ses propos.

Je l'ai déjà admis : rien de scandaleux à première vue dans ces derniers propos sur le travail et le souhait que chacun puisse y trouver assez de plaisir pour souhaiter continuer longtemps. :zen:

Mais c'est tout de même un rêve à peu de frais et de peu d'intérêt, un souhait facile d'intellectuel et de nanti, qui sait parfaitement qu'il est aujourd'hui et demeurera à l'avenir un privilégié. Un affichage stérile de bonnes intentions. La formulation employée laisse par ailleurs entendre qu'il se perçoit un peu comme la mesure de toute chose. Et ceux qui connaissent le personnage savent que c'est plus qu'une maladresse de langage. Plus que ces propos précis sur le travail, c'est le personnage et sa prétention à éclairer l'avenir comme conseiller des princes que je voulais attaquer.

C'est fort bien exprimé ici.

Maintenant, si quelqu'un préfère que je me déchaîne sur Alain Minc, je suis disponible aussi… :D
 
http://www.boursier.com/actualites/...ossible-inflation-negative-en-2015-26523.html

j'aime beaucoup le titre. si les journalistes s'y mettent.

Faut lui offrir un dico.
Mais non, c'est de la même eau que l'inversion de la courbe du chomage ou le ralentissement de l'augmentation de l'essence : des mots qui ne veulent rien dire, des 'éléments de langage' comme on dit.
Sauf que j'ai lu l'article (en diagonale, j'avoue), et que du coup ça prend son sens : l'inflation négative, donc pour être clair la baisse des prix, n'est pas vue d'un bon oeil par la BCE car ce serait une des prémisses de la déflation. D'où l'interêt de présenter ça sous un mauvais jour - tu seras d'accord avec moi que 'inflation' et 'négative' ne sont pas vraiment porteurs d'espoir, alors que 'baisse des prix', pour le pékin moyen que je suis, c'est plutôt une bonne nouvelle.

Maintenant ne me demande pas s'ils ont raison ou tort :rose:

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J
Maintenant, si quelqu'un préfère que je me déchaîne sur Alain Minc, je suis disponible aussi… :D
Alors la vas-y, tu peux contempter ce [censuré] à donf', tu as ma bénédiction ! :p :sick:
 
Apparemment (je ne prétends pas être spécialiste en la matière), parler d'inflation négative ne relèverait pas forcément, dans le contexte actuel, de l'élément de langage (ou pas exclusivement…). Pour des raisons techniques, mais aussi du fait de la personnalité du Vice-Président de la BCE, Vitor Constancio.

La déflation décrit la situation d'une économie où est constatée une baisse générale et durable des prix. Comme le phénomène historiquement le plus fréquent, du moins dans la période contemporaine, est bien l'inflation, certains parlent d'une inflation négative. Une vraie déflation est généralisée et affecte toute l'économie, mais le terme est aussi utilisé lorsqu'un seul secteur économique est affecté (par exemple : déflation du marché immobilier).
Cette situation peut être durable (parfois sur une décennie), et parfois auto-entretenue, parce qu'en modifiant les anticipations des agents économiques, ce phénomène les pousse à prendre des décisions qui entretiennent ou accélèrent la tendance.

La difficulté consiste à caractériser statistiquement la déflation. Le phénomène doit être durable et concerne l'ensemble des produits du panier de consommation, et en particulier ceux constitutifs du sous-indice d'« inflation sous-jacente » (inflation des produits non-volatils, c'est-à-dire des produits dont le prix est peu susceptible de varier rapidement au gré des fluctuations des prix mondiaux, comme les produits frais ou l'énergie fossile). On ne parlera donc pas de déflation lorsque la baisse de l'indice des prix est essentiellement entraînée par la répercussion d'une chute des cours mondiaux des prix du pétrole (comme ce fut le cas en Europe à la mi-2009). De même, pour des raisons de saisonnalité l'inflation étant souvent mesurée en glissements annuels (c'est-à-dire en variation d'un mois sur le même mois de l'année précédente), une inflation ponctuellement négative peut provenir d'un effet de base : le glissement est négatif sur douze mois, pour un mois de l'année donné, mais ne représente pas une tendance durable. Ainsi, en 2009, en Europe, l'inflation (mesurée en glissements annuels) est demeurée négative quelques mois, sans qu'il se soit agi de déflation : la transmission aux prix à la pompe de la chute des cours mondiaux du pétrole, par rapport à la période homologue de 2008 (pic des prix pétroliers internationaux d'où des prix à la pompe particulièrement élevés) a fait apparaître un indice d'inflation globale négative, pourtant l'indice d'inflation sous-jacente (qui reflète les mécanismes naturels de formation des prix dans l'économie : prix des produits industriels hors énergie, prix des services...), quoique ralenti, demeurait largement positif. L'Europe n'était donc pas, malgré l'attention médiatique alors portée sur ce sujet, entrée en déflation, loin s'en faut.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Inflation

Précision de V. Constancio (qui dans le passé a montré qu'il n'était pas un spécialiste de la langue de bois : voir ici par exemple) :

Nos experts prévoient seulement une inflation de 0,7% en 2015, mais depuis que cette projection a été réalisée, les prix du pétrole ont continué de chuter, reculant de 15%. Nous nous attendons maintenant à un taux d'inflation négatif dans les mois à venir", a indiqué Vitor Constancio dans un entretien au magazine allemand WirtschaftsWoche. Pour entrer en déflation, "il faudrait des taux négatifs sur une période plus longue", assure le vice-Président de la BCE. "S'il s'agit seulement d'un phénomène temporaire, je n'y vois pas de danger", rassure-t-il.
Source : http://www.boursier.com/actualites/...ossible-inflation-negative-en-2015-26523.html

Toute la question est donc de savoir si cette inflation négative va donc durer et reflète une tendance plus lourde que la simple répercussion de la baisse des prix du pétrole. Si oui, il sera légitime de dire que la zone euro est entrée globalement en déflation.
 
Oui, j'avais très bien vu qu'Attali parlait de la retraite, du plaisir de travailler encore à un âge avancé, etc.

J'ai agi par pure malveillance, je l'avoue. Je suis prêt à tout pour aider à discréditer ce type. :o

Contempteurs d'Attali, unissez-vous !

Jacques Attila : là où il passe le pognon ne repousse pas !

Non mais sérieux à part super bien mener sa carrière et en ramasser un maximum au passage, qu'est-ce qu'il a fait pour l'économie française au moins une fois dans sa vie ce type ?
 
J'ai cru que tu parlais d'Alain Minc... :D

L'un et l'autre pondent des livres qui se vendent : c'est surtout là leur contribution au PNB de notre petite nation.
 
C'est marrant, j'avais l'impression d'avoir dit la même chose en moins de mots un coup avant :D

Pas tout à fait d'accord. Tu vois des éléments de langage là où je vois une prudence raisonnable et une distinction pertinente entre deux situations économiques différentes. Mais tu auras peut-être raison dans quelques mois. :zen:
 
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