Là, pour l'instant, la France peine contre un petit...
Apparemment (je n'ai pas vérifié) c'est la première fois que le XV de France enchaîne quatre victoires de suite depuis que PSA en a la charge...L'ambiance est à l'euphorie on dirait… c'est beau de rêver… :rolleyes: :rolleyes:
Apparemment (je n'ai pas vérifié) c'est la première fois que le XV de France enchaîne quatre victoires de suite depuis que PSA en a la charge...
De quoi être optimiste, non ?
Quel grincheux...
Je crois, du moins je suppose (ça reste à confirmer note), que ce que tu décris là s’appelle "l'incertitude du sport"…Et puis, j'ai une théorie sur ce genre de tournois, quelque soit le sport : une équipe ne fait qu'un grand match. Celui où tout se déroule selon le plan de jeu, où chacun excelle dans son rôle, où l'équipe semble marcher sur l'eau, où elle va exprimer son potentiel à son maximum. A cela s'ajoutent les matchs plus quelconques, que l'on gagne plus laborieusement et parfois même un vrai mauvais match où tout va de travers. L'important est de faire coïncider le match parfait avec le moment le plus favorable du tournois. Il est aussi possible que ce moment n'arrive jamais et qu'on se fasse sortir.
Les joueurs du XV de France sont de bons joueurs, voire très bons. C'est le collectif qui pèche, c'est assez clair. ..
Généralité assez osée. Au vu des résultats, sur les 30 dernières années, de divers sports sollectifs (foot, basket, handball et bientôt volley ?)Bonjour,
ce n'est pas nouveau en ce qui concerne les équipes nationales en France, il y a un très bon jeu en club mais dès qu'il s'agit des équipes nationales, cela ne fonctionne pas et ceci est aussi symptomatique dans les autres disciplines, ce problème ne vient ni des joueurs ni des entraineurs mais de la façon dont on envisage et organise ces équipes nationales, mais personne ne veut le voir, alors parfois cela marche, au petit bonheur la chance, et puis quand c'est la catastrophe de nouveau, on remercie a grand bruit l'entraineur et l'on recommence les sottises.
Cordialement.
Généralité assez osée.
Ce n'est pas du tout ce que je disais : le "on" correspondait au public, lecteur de L'Équipe ou des pages sports des quotidiens, qui râle beaucoup et a une mémoire très sélective. Donc pas le même "on" que toi.<...>
non justement, votre constat le prouve, l'on se base sur des "générations spontanées" et non sur la durée et la constance,
<...>