coup de coeur/de pompe filmique (Parlons cinéma)

Pas grave, moi non plus je comprends pas certaines oeuvres quand je les regarde, pourtant je les aime quand même, on s'en branle quoi et c'est ça qui est bon, une atmosphère par exemple :cool:


ouais :D

de toutes façons, si j'y suis allé en sachant pertinemment que je ne comprendrais rien...juste une vision étrange.... :style:
 
Hier soir, j'ai vu Slevin.
J'ai aodré ce film, autant par son ambiance que pas le jeu des comédiens. Un suspens qui tient la route et une intrigue suffisament embrouillée pour retenir toute l'attention. Un grand moment.
 
Hier soir, j'ai vu Slevin.
J'ai aodré ce film, autant par son ambiance que pas le jeu des comédiens. Un suspens qui tient la route et une intrigue suffisament embrouillée pour retenir toute l'attention. Un grand moment.

Je viens de voir le trailer, et ça m'a l'air franchement marrant.:D (par contre certaines critiques le casse un peu...)
 
Putain mais quelle bouse quoi... y a rien à sauver, j'aurais mieux fais de me casser une jambe que de prendre ce film de merde... j'en attendais pas grand chose mais c'est encore pire que ça :hein:

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Putain mais quelle bouse quoi... y a rien à sauver, j'aurais mieux fais de me casser une jambe que de prendre ce film de merde... j'en attendais pas grand chose mais c'est encore pire que ça
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Qu'il est doux de ne pas être seul… :D
 
Bien que ce soit nul, et que je ne l'ai pas vu... le chauffeur ne compte pas beaucoup dans l'histoire (reve premonitoire du realisateur?)...
Sinon, y'a Trainspotting (1996), si celui ci n'a pas deja ete cité qui est vraiment tres bien, surtout l'ambience ;)
Little Miss Sunshine est pas mal non plus :)
 
"Le goût du riz au thé vert" de Yasujiro OZU.
C'est simple, c'est beau.
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Hier soir j’ai regardé sur Arté un héros très discret de Jacques Audiard avec Mathieu Kassovitz, Anouk Grinberg (:love:) et bien d’autre.

J’ai vraiment apprécié l’histoire de ce grand mythomane qui créa tout son passé pour ce construire un présent/future glorieux pendant la seconde guerre mondial. Une excellente surprise pour moi qui ne l’avait pas vu lors de sa sortie en salle en 1996 ou un précédant passage TV.

Ce fût un très bonne soirée tv, merci Arté. :zen:
 
Vendredi soir : King Kong de Cooper et Schoedsack.
Toujours aussi séduisant, le King.

Lundi dernier : Les Évadés de Frank Darabont.
Excellent film pour la télévision. Bonne distribution, bien ficelé (mieux que le suivant : La Ligne Verte). Toujours un bon moment quand les ordures finissent mal et les gentils finissent bien. Du bon divertissement hollywoodien, donc.
 
Pas grave, moi non plus je comprends pas certaines oeuvres quand je les regarde, pourtant je les aime quand même, on s'en branle quoi et c'est ça qui est bon, une atmosphère par exemple :cool:
Ouais, mais non.
la limite entre l'artistique et la fumisterie est là assez fine.

Je ne suis pas un expert de Lynch (tout ce que j'ai vu, c'est le début de Mulholand Drive - je me suis endormi...) mais, globalement, le côté "je fais des trucs tellement compliqué que il y a que moi qui capte" ça sonne un peu comme "Je fais n'importe quoi mais je m'en fous parce que j'ai une étiquette d'intello suffisante pour faire se pâmer les gogos"

Reste l'atmosphère...
Par exemple, en litérature, j'ai lu un Gibson que j'ai bien aimé (me souviens plus du titre) bien que plein de trucs m'aient échappé, mais il y avait une atmosphère d'hallucination, de rêve éveillé assez agréable.

Je dois être imperméable à l'atmosphère Lynch.
Peut-être aussi que je peux passer par dessus quelques zones d'ombres, pas par-dessus l'ensemble du scénario, atmosphère ou pas.
 
Ouais, mais non.
la limite entre l'artistique et la fumisterie est là assez fine.

Je ne suis pas un expert de Lynch (tout ce que j'ai vu, c'est le début de Mulholand Drive - je me suis endormi...) mais, globalement, le côté "je fais des trucs tellement compliqué que il y a que moi qui capte" ça sonne un peu comme "Je fais n'importe quoi mais je m'en fous parce que j'ai une étiquette d'intello suffisante pour faire se pâmer les gogos"

Reste l'atmosphère...
Par exemple, en litérature, j'ai lu un Gibson que j'ai bien aimé (me souviens plus du titre) bien que plein de trucs m'aient échappé, mais il y avait une atmosphère d'hallucination, de rêve éveillé assez agréable.

Je dois être imperméable à l'atmosphère Lynch.
Peut-être aussi que je peux passer par dessus quelques zones d'ombres, pas par-dessus l'ensemble du scénario, atmosphère ou pas.

Là, en l'occurence, c'est vraiment une affaire de ressenti, parce qu'il n'y a pas grand chose de tangible dans Inland Empire auquel le public de se raccrocher: pas d'histoire ou si peu, tous les repères sont assez vites brouillés, les objets prennent une importance démesurée, les points de vue changent constamment, et du coup, le film devient une expérience visuelle mais aussi carrément physique, je trouve. C'est tout à fait logique qu'on adhère pas, mais il y a un truc dément avec lui, c'est cette capacité à rendre mal à l'aise, à générer des univers délirants et à pénétrer dans les tréfonds (sonnyboy :coucou: ) du cerveau

Bon, au passage, j'suis allé voir Les lettres d'Iwo Jima, après Les mémoires de nos pères, du bon vieux Clint.
J'avais déjà beaucoup aimé le précédent, mais celui-là.. :zen:
 
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Réactions: G2LOQ