Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0

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La reprise des Stranglers :love:

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Le dernier Amon Tobin est Magnifique. :up:
Je recommande chaudement le drenier opus d'Amon Tobin. :up:
JE ne peux que plussoyer
Que ceux qui pensent que le Tobin tourne en rond, que tous ces albums se ressemblent, jettent une oreille sur ce disque où des instruments traditionnels (Harpe, violons, piano, ...) font leur apparition aux côtés des machines.

Ce disque semble avoir été conçu un peu comme un concept, une performance avec divers intervenants externes et dont certaines pistes ont laissé une belle part à l'improvisation face au micro.

Certes, ce disque reste un album d'Amon Tobin où l'on retrouve sa patte si caractéristique avec des percussions très présentes.
Mais, il ouvre parallèlement des voies nouvelles.

Sehr interessant.

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Réactions: jugnin
DEBUSSY - Les trois sonates
avec Pascal Rogé au piano, Régis Pasquier au violon, Bruno Pasquier à l'alto, François Guye au violoncelle, Philippe Bernold à la flûte, Frédérique Cambreling à la harpe.

C'est beau. :) :cool:

:heu: Bizarrement, c'est un CD que j'ai emprunté, et je n'en trouve pas trace pour me le procurer… petite édition sans doute (ADDA ?)
 
Dimanche soir tranquille ... pour se reposer de la perte d'une heure de sommeil ! :D

Donc petit disque de deux fortes personnalités du dub :

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« Le canada, on ne le répètera jamais assez, est devenu ces dernières années la terre d'accueil de l'excellence musicale. On ne compte plus les disques qui atteignent à chaque fin d'année les tops de la presse spécialisée. Sans pour autant avoir la même exposition médiatique, le hip-hop canadien n'échappe pourtant pas à cette règle du bon goût et peut même se vanter d'être aujourd'hui aussi influent et inspiré que le pays, père fondateur du genre, qui lui fait face. Cependant si on pouvait labelliser les genres comme on labellise certains de nos breuvages favoris, ce hip-hop mériterait pour sûr une Appellation d'Origine Contrôlée tant il nous apparaît depuis l'éblouissant Vertex de Buck 65 singulièrement différent de ce qu'en général nous nommons hip-hop. En effet lorsqu'on regarde de plus près ce qui se fait au beau pays des caribous, il serait déjà de bon ton de redéfinir l'Idéal-type du b-boy. Au canada celui-ci peut être blanc, avoir comme modèle Johnny Cash, porter des chemises en laine en plus d'être à carreaux, détester le Moët, les Blunts, les putes aux fessiers rebondis et leur préférer le whisky sans âge, la clope sans filtre et les femmes sans seins, rapper comme d'autre chante du blues, écouter le Wu-Tang le pieds dans la boue, la canne à pêche dans une main, un livre de Burroughs dans l'autre, sentir la paille humide plutôt que le bitume froid et croire encore que sa musique à une âme. Ce type ainsi défini a aussi son genre : une sorte de folk-rap brumeux, un maître à la syllabe redondante : Soso, fondateur avec son pote poivre et sel Epic du label Clothes Horses Records, et son chef-d'œuvre caché : l'intrigant Birthday Songs. Sorti à l'origine en 2002, ce disque réédité récemment par les aventureux japonais de Hue est aussi simple et délicat que l'homme qui en est à l'origine. Un petit bijoux de rap lo-fi, mi-instrumental mi-chanté, sans fard et sans paillette, dont la noirceur lumineuse n'a pas pris une seule ride. Les beats y sont lents, pesants et métronomiques, les samples tous porteurs d'une mélancolie minimaliste, les instruments sortent des notes qui visent directement l'émoi (un piano cafardeux, une guitare fragile, un violoncelle fugitif, un harmonica presque mort) et les textes rares d'intelligence et de poésie touchent à des sujets souvent graves et personnels. Bref dans Birthday Songs c'est du songwriting hanté, rêche et tendu qui est à l'œuvre, prouvant une fois n'est pas coutume que le hip-hop peut être tout aussi poignant et sérieux qu'un bon vieux titre de Will Oldham. »

Via Ada
 
Mathias Delplanque aka Lena aka Bildo
Floating Roots
Du dub assez minimal, des expériences sonores quasi bruitiste parfois, pour amateurs du genre ;)



Je découvre ce nantais avec son dernier album en date, sorti en 2004. On peut aussi aimer sa dernière création SOL. Insubordinations 2006, performance sonore pour l'émission Epsilonia de Radio Libertaire (Paris), que l'on trouve en lien sur la page Myspace de l'artiste comme d'ailleurs quelques extraits sur sa page myspace de son prochain, The Uncertain Trail, sortira en mai prochain.

Bien envie de voir ce que ça donne en live :siffle
29 mars 2007 à l'OPA, Paris / 3 avr. 2007 au Tryptique, Paris
11 mai 2007 Festival Patchwork, Bessancourt
1 juin 2007 Citadelle Electronique à Besançon
18 juin 2007 à L'Olympic de Nantes

Site officiel de MD
MySpace de MD
MySpace de Lena (à jour)

Je découvre et j'apprécie :zen:
 
Ces derniers jours, cela a été en boucle : "The Isness" et "Alice in Ultraland" de FSOL (aka Amorphous Androgynous) et "Living in a Giant Candle Winking at God" des Transit Kings (aka Alex Paterson et d'autres).
Les deux disques de FSOL sont étranges, psychédéliques, avec plein (trop) d'instruments partout. Trop de guitares et de chanteur malhabile. Pour le reste, cette prolifération cache des machines toujours bien huilées et branques. Une sorte de Air qui ne serait pas de Versailles. Il y a des moments de pure magie qui rachètent tous les inachèvements de ces albums.
Celui de Paterson est sympathique, avec de grands moments orbiens. Je n'y peux rien, j'adore ce que fait ce type [un problème de gènes, sans doute] ;)
 
Le canada, on ne le répètera jamais assez, est devenu ces dernières années la terre d'accueil de l'excellence musicale.

Le genre de commentaire qui me :rolleyes:

Enfin, pour prouver que c'est pas gratuit, un disque d'un canadien qui fait dans "l'excellence musicale" :

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Richie Hawtin - Decks, EFX and 909

Un mix de 99 avec des platoches, des effets et une TR-909, la fameuse boite a rythme que lon retrouve dans la plupart des productions techno.

Hawtin a toujours ete a la recherche de nouveaux concepts, essayant de repousser les limites avec la technologie du moment. A la fin des 90s, ce mix fait une sorte de bilan des productions et vous en met plein les oreilles sans jamais tabasser. De la finesse, sans les moufles donc :D

Ce CD etait sortit sur M_nus, son label canadien a lui, qui a ete precurseur dans la techno minimale.

Bonne semaine a toutes et a tous :)
 
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Réactions: bompi
Je plussoie le commentaire introductif et le choix de ce bel album.
 
:D :D :D il me fait le coup à chaque fois et ça marche :D manque juste le ptit smiley qui va bien :D héhéhéhéhé :D
 
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Réactions: Fab'Fab


Le jour où j'ai découvert la musique des Youngs Gods et cet EP puis, juste derrière l'album T.V. Sky, début 1992, je me suis dit que c'était ça, c'était vraiment ça la musique que j'aimais, que j'aimerai toujours: la force brute des guitares retravaillées, des samples distordus, une batterie monstrueuse, une voix incroyable, une présence sur scène envoutante :love:
Ensuite il y a eu l'hommage à Kurt Weil et bien d'autres albums… et pas mal de concerts, d'évolutions.
20 ans plus tard, les Jeunes Dieux le sont toujours autant; 16 ans plus tard, ce morceau est toujours aussi tellurique :love: :siffle:

En attendant leur prochain album, Super Ready / Fragmenté… le 16 avril

The Young Gods
Skinflowers EP
Skinflowers (Courtney Speed Love Mix)
Skinflowers (Edited Version)
Skinflowers (Brainforest mix)


A l'écoute, le Brainforest mix fait explicitement référence de par les samples à Little Fluffy Clouds de The Orb et que le nom original, Brain Forest Mix - The Orb Style, a été changé lors de la sortie de ce 2e EP.
 
et les titres qui durent 20 minutes :love: :love: :love:

C'est ex aequo mon préféré avec Skinflowers :)

Ne loupez pas les TYG s'ils passent près de chez vous. Et si vous êtes sensibles des oreilles, n'oubliez pas vos bouchons auriculaires :rateau:
 
C'est ex aequo mon préféré avec Skinflowers :)

Ne loupez pas les TYG s'ils passent près de chez vous. Et si vous êtes sensibles des oreilles, n'oubliez pas vos bouchons auriculaires :rateau:


J'étais allé les voir à l'Ubu(toute petite salle) il y a quelques années déjà : tellurique !!! :D :cool: :love: